[10/11] Championnat de National

[fan_racing]

Victoire d'Amiens à Rodez (0-2). Une journée à oublier pour nous, même si on reste à un point (virtuellement quatre) de Guingamp.

[argueti]

Comment les supporters peuvent-ils aider/sauver notre club ? Il faudrait qu'on soit 25000 lors des derniers matchs, à 10€ la place ça aiderait la trésorerie et ... Hilali en passant mais a t-on le choix ?

[alphons]

jusqu a fin avril il reste 3 matches, luzenac, orleans et amiens,.......
je ne vois pas hilali prendre de decisions (convention & Racing) avant cette date. Je pense par contre que si les resultats ne sont pas favorable au racing, le depot de bilan est probable apres le match face a amiens.

[alphons]

Comment les supporters peuvent-ils aider/sauver notre club ? Il faudrait qu'on soit 25000 lors des derniers matchs, à 10€ la place ça aiderait la trésorerie et ... Hilali en passant mais a t-on le choix ?

ben on ne peut rien faire malheureusement .....a part soutenir l equipe et esperer que le racing attrape cette 3eme place.

[Tenor]

Comment les supporters peuvent-ils aider/sauver notre club ? Il faudrait qu'on soit 25000 lors des derniers matchs, à 10€ la place ça aiderait la trésorerie et ... Hilali en passant mais a t-on le choix ?

strictement rien, impuissant.
N'oublions pas toutes les casseroles qui trainent encore aux pruds que j'avais à maintes reprises répétées.
Ces 2-3 dernières années, il y a eu tellement de conneries de faites, et de décisions qui ont été prises à l'emporte pièce, qu'inévitablement un jour il faudra trouver un coupable qui doit payer.
Ici en l' occurrence c'est le tout dernier arrivé du haut de sa trentaine tassée, qui paiera avec sa cohorte de financiers londoniens. Rappelez vous aussi les discussions avec l'oncle Sam de l'argent facile gagné en Irlande ...on sait ce qu'il en est advenu la-bas.
Nous payons les pots cassés, nous payons l'illusion donnée par ces parachutés qui n'ont jamais rien fait d'autre que de vivre à crédit sur le dos du club, ajoutons aussi les nombreux contrats signés et dénoncés quelques mois après, les nombreux procès en instance : il va falloir passer à la caisse maintenant...pour chlore de mon coté, lorsqu'on est obligé de faire des économies sur les tondeuses, l'issue est toute trouvée, malheureusement.

[Tenor]

Au fait, le calendrier des pronos en National n'est pas à jour

[lolo]

pour chlore de mon coté (...)

C'est pas caustique, mais ça décape quand même!

[Tenor]

Yes ça décape fo(u)rt effectivement, merci de l'avoir relevé

[fan_racing]

Plabennec et Pacy l'emportent dans les dernières secondes, ceux que les Colmariens n'avaient pas su faire contre les Bretons il y a une semaine. Les voilà relégués à trois points de la zone de flottaison, malgré leur résultat convenable à Beauvais. Point positif cependant : leurs concurrents possèdent un et deux matchs en plus qu'eux, rien n'est donc perdu. A condition de gagner à domicile.

[argueti]

Mort à l’arrivée ?

Avec trois points de retard et un match de plus que Guingamp, 3 e, le RCS est au bord du précipice à cinq rencontres de la fin. Comme avec Créteil l’an passé, Laurent Fournier pourrait finir avec la médaille en chocolat autour du cou, et son club disparaître de la carte du football pro.

C’est l’ultime branche, en partie déjà sciée, à laquelle se raccrochent les amoureux du Racing, mais aussi son président Jafar Hilali. Pour avoir une chance d’échapper à un dépôt de bilan qui se dessine chaque jour un peu plus, à mesure notamment que s’enlise le conflit entre la section professionnelle et l’association support qui gère le centre de formation, toute une région espérait une remontée immédiate en Ligue 2. Mais ce matin, après deux nuls consécutifs (1-1 contre Créteil, puis avant-hier à Luzenac), le retour au 2 e échelon national a du plomb dans l’aile. Et, avec lui, la cigogne qui orne le logo d’une institution plus que centenaire, pro depuis 1933, touchée en plein vol par le pistolet à six coups de Guingamp, d’une précision diabolique avant-hier à Colombes contre Alfortville (6-0).

Dans son malheur, le RCS bénéficie au moins d’une chance : en National, la différence de buts particulière prime la différence de buts générale. Auteurs d’un nul 0-0 à Roudourou, puis vainqueur des Bretons 2-1 à la Meinau, les hommes de Laurent Fournier ont ainsi le bonheur de les devancer dans ce domaine.

Mais si le goal-average général était le critère prioritaire, ils compteraient non pas trois, mais quatre points de retard. Car après s’être enrayée en février (1), la mitraillette costarmoricaine dessoude de nouveau à tout va. Elle a atteint sa cible à 70 reprises en 34 matches, autant que Bastia, co-meilleure gâchette du National. Les hommes de Jocelin Gourvennec affichent une différence de buts monstrueuse (+ 41), nettement supérieure à celle du RCS (+ 23). Ils sont invaincus depuis neuf journées (6 victoires, 3 nuls, 21 points sur 27). Huit de leurs 19 succès - contre deux seulement au RCS - ont été acquis par trois buts d’écart au moins, ce qui confirme qu’ils en ont sous le pied.

Les Bleus, eux, en ont surtout gros sur la patate. La complainte de Milovan Sikimic avant-hier à Luzenac ( « avec l’équipe et le coach, nous nous sentons seuls. Ça commence à me gonfler ») en dit long sur le ressenti – le ressentiment plutôt – d’un effectif livré à lui-même, sans président à ses côtés (Ndlr : Jafar Hilali a « disparu » depuis deux mois et demi), ni garantie sur l’avenir.

Dans moins d’une semaine, la SASP (2) et l’association support devront avoir ratifié une nouvelle convention de gestion. Faute de quoi, le Racing ne pourra pas se réinscrire en championnat. Mais n’est-il pas de toute façon condamné à disparaître ?

On s’extasie quand arrive un texto !

Il y a peu encore, Laurent Fournier se félicitait de recevoir des SMS d’encouragement et de félicitations de son président qui – faut-il le rappeler – l’avait viré le 21 janvier avant de se raviser dans la nuit du 22 au 23. Depuis décembre 2009, le Racing en est là : à s’extasier - de façon assez surréaliste - à chaque SMS d’un président fantôme qui, en pleine guerre avec l’association, ne juge pas utile de venir à Strasbourg pour tenter de renouer le fil rompu de la confiance. Peut-on raisonnablement négocier par texto et mails ?

Voilà désormais 18 mois que le club bas-rhinois survit dans ce monde un brin virtuel, clone de celui dans lequel évoluent ses dirigeants à la City de Londres. Mais la réalité va bientôt rattraper la virtualité. Quid de la position de la Ville et d’un Alain Fontanel, adjoint aux finances et médiateur, exténué à force de se heurter à un mur d’incompréhension ? Quid de celle de l’association RCS qui, confrontée à une montée qui s’éloigne, doit se dire que donner son bas de laine à Jafar Hilali conduirait fatalement à son effilochage ? « Si l’association donne son argent à Hilali, elle accélère sa mort », prédisent sans distinction tous les observateurs privilégiés du club. « En revanche, si elle le garde, elle aura une base pour participer à la reconstruction. »

Même si la non-montée n’est pas encore mathématique, peut-être serait-il effectivement plus sage d’envisager sérieusement un plan B. « Mais un plan B est-il seulement possible ? », s’interroge l’un des proches du dossier. La réponse ne serait-elle pas contenue dans la question ?