SR Colmar

[D520]

l'an dernier , Aupic était un élément essentiel de la montée de Colmar .
L'Alsace et les DNA avaient des portraits élogieux de ce gardien ....

[argueti]

Et ça continue ...

Battus par des Beauvaisiens qui n'ont pas eu à forcer leur talent pour prendre les trois points, les Colmariens s'enfoncent dans la crise. Les mots de leur entraîneur sont durs comme jamais.

Difficile d'espérer quoi que ce soit dans une rencontre quand on donne le bâton pour se faire battre avant de refuser celui tendu par l'adversaire. Le premier but beauvaisien ? Presque une plaisanterie. Loïc Meyer protège un ballon qui se dirige beaucoup trop lentement vers la ligne de but. Aupic ne sort pas et pressé par Louisy-Daniel, le défenseur envoie la balle en corner. Botté par Bernardet, il arrive sur la tête de Makuma qui ouvre le score.

En l'espace de deux minutes, Colmar se retrouve déjà la tête sous l'eau

Le cadeau beauvaisien ? Presque sur le coup d'envoi. Dieye est légèrement retenu dans la surface, M. Lesage désigne le point de penalty. Rangdet s'avance et le tire sur la gauche de Lucas. Le gardien picard a choisi le bon côté et se détend pour mettre la balle en corner. Et voilà comment, en l'espace de deux minutes, Colmar se retrouve déjà la tête sous l'eau. Comme si cela ne suffisait pas, les Colmariens, particulièrement accueillants avec leurs visiteurs cette saison, vont offrir le deuxième but, après dix minutes de jeu dans la seconde période. Le coup franc sifflé par M. Lesage se situe à 35 m du but. Pendant que les Verts se regroupent pour former un mur, les Beauvaisiens jouent vite. Bertin D'Avesnes a tout le temps pour centrer et déposer le ballon sur Loisy-Daniel qui trompe Aupic à bout portant. L'ASBO, meilleure équipe du championnat l'extérieur, n'en demandait pas tant. Les Picards, qui n'ont pas eu besoin de montrer grand-chose pour se diriger vers une victoire facile, se relâchent en fin de match. Ce qui permet à Zerbini de marquer après une partie de billard. Un petit exploit puisque c'est le premier but colmarien au Stadium depuis quelque 450 minutes et la réussite de Mezriche contre Rodez, le... 21 août.

« On n'a pas le niveau. Les joueurs, moi »

Les Colmariens se battent jusqu'au bout, c'est-à-dire pendant dix minutes. C'est trop peu pour espérer quoi que ce soit. Trop peu pour éteindre la noire colère d'un Damien Ott peu enclin à protéger ses joueurs à la fin du match. Positif après la défaite à Plabennec, le coach colmarien n'épargne cette fois personne. « On n'a pas le niveau. Les joueurs, moi. Pas la peine de philosopher, de donner dans la littérature, on n'a pas le niveau et c'est tout. Plabennec avait le niveau pour revenir à 2-2, ils l'ont fait, pas nous. Je comprends que le public râle, on ne les fait pas rêver, je suis même surpris qu'ils n'aient pas sifflé plus tôt. » Damien Ott parle de la nécessité de « se réveiller » - une évidence, avec 8 points au compteur en 15 rencontres - avant de dégainer le bazooka. « On a un gardien qui n'est pas capable d'arrêter un ballon, des attaquants pas capables de mettre un penalty. Des gens dans le club estiment peut-être que c'est moi, que je n'ai pas le niveau, c'est leur droit de le penser. Maintenant c'est au club de tirer toutes les conséquences. » A quatre jours du déplacement à Fréjus/Saint-Raphaël, la sérénité a disparu du panorama colmarien, peut-être pour longtemps. Et ce n'est pas la moindre des conséquences de cette 5e défaite de la saison à domicile.

Cyril Tromson

OUCHHHH

[Tenor]

l'an dernier , Aupic était un élément essentiel de la montée de Colmar .
L'Alsace et les DNA avaient des portraits élogieux de ce gardien ....

J'en doute pas pour remplir les journaux, tout le monde y à droit lorsqu'on expose un événement comme la montée de Colmar.
Mais sur le peu que j'ai vu y compris les buts encaissés cette année dans chaque match, il n'est pas irréprochable , ce gardien ne tient pas la route, désolé de le dire sèchement, il fallait réagir et l'entraineur a fait passer les priorités dont celle du gardien ce qui est évident. Sans doute trop tardivement à mon avis.

[D520]

AUPIC. - Désigné principal responsable des deux dernières défaites (2-1 à Plabennec, 1-2 devant Beauvais) par le staff technique, Thomas Aupic ne sera pas du déplacement à Frejus/Saint-Raphaël. Thomas Fedrigo, sa doublure, sera titularisé pour la deuxième fois de la saison, après Bastia - SRC. Une situation a priori transitoire. « La priorité est désormais à la recherche d'un gardien de but », confirme Jean-Louis Jaegli, le vice-président. Aupic est-il pour autant tricard aux SRC ? Non, répond Jean-Louis Jaegli. « Peut-être que dans un mois il sera à nouveau excellent et récupérera sa place. En attendant, il jouera avec la Deux ». Le recrutement d'un nouveau gardien aura dans l'immédiat une autre conséquence : le défenseur central, Kevin Lacroix, proche de s'engager avec les Verts ces derniers jours, devra patienter. « Nous avons les disponibilités pour un seul joueur. » La signature d'un second contrat passerait par une augmentation du budget, validée par la DNCG.

LUCAU. - A propos de DNCG, elle ne se réunissait pas hier. Les SRC ne savent toujours pas si Chiguy Lucau sera qualifié samedi. Le statut du joueur fédéral prévoit pourtant une décision après quatre jours, en cas de passage devant la DNCG. Le délai est largement dépassé mais il n'y a pas lieu de spéculer pour autant. « L'avis n'a pas été rendu. S'il avait été négatif, on nous l'aurait dit ou on nous aurait demandé des pièces justificatives », précise Jean-Louis Jaegli.

HISTORIQUE. - L'Étoile Football Club de Fréjus/Saint-Raphaël, adversaire des SRC samedi, est la plus jeune formation évoluant en National. Et pour cause, le club est né le 2 juin 2009 de la fusion de l'Étoile sportive fréjusienne et du Stade raphaëllois.

MONTÉE. - Les deux clubs aujourd'hui réunis sous une même bannière ont parfaitement choisi leur moment pour associer leurs forces. Porté sur les fonds baptismaux en mars 2009, le projet de fusion concernait alors un club de CFA (Fréjus) et une formation de CFA 2 (Saint-Raphaël). En fin de saison, le premier gagnait le droit de jouer au 3e étage français et disposait ainsi de moyens bien plus importants.

PREMIER. - Avec 1 000 licenciés et 49 équipes, le nouveau club est devenu le plus important de la Ligue de Méditerranée. Il bénéficie désormais de subventions intercommunales et non plus municipales.

SURPRISE. - Pour sa saison de rookie, l'ESFSR a terminé au 9e rang final avec 54 points (le même total que Cannes). Les Azuréens devançaient Luzenac, autre promu, d'une longueur.

AMBITION. - Pour sa deuxième saison à ce niveau, Fréjus/Saint-Raphaël était annoncé parmi les principaux outsiders du championnat. Après 15 journées, l'Étoile est effectivement au rendez-vous avec 25 points au compteur et une 7e place provisoire, à quatre longueurs du podium.

DOMICILE. - Cette saison, Fréjus/Saint-Raphaël a pris 17 de ses 25 points au stade Eugène-Pourcin de Fréjus (5 victoires, 2 nuls). Le prochain adversaire des SRC a inscrit 11 buts sur sa pelouse pour seulement deux encaissés.
BASTIA. - Depuis la visite des Colmariens en Corse, Bastia affronte systématiquement l'adversaire que rencontrent les Alsaciens la journée suivante. Et comme à chaque fois, c'est une équipe qui vient d'être battue par les inarrêtables Corses que les SRC retrouveront. Mais si les Bastiais avaient précédemment étrillé Gap, Gueugnon, Plabennec, Beauvais, ils ont peiné contre les Méditerranéens, ne s'imposant que 1-0 en toute fin de rencontre.

Cyril Tromson

[D520]

Aupic en question, avec Chiguy Lucau à Fréjus ?

Hier soir, la qualification de Chiguy Lucau n’était toujours pas entérinée par la Fédération française de football. Le nouvel attaquant des Verts devrait ronger son frein jusqu’à ce matin au grand dam des dirigeants colmarien. « Normalement tout est ok, explique-t-on chez les Verts. Nous allons rappeler la FFF demain matin (ce matin). Logiquement, un joueur fédéral devrait être qualifié en deux jours. Mais quand la masse salariale du club est encadrée par la DNCG, comme c’est le cas de Colmar, le délai est de quatre jours. Mais nous ne voyons toujours rien venir. »

DNCG. Les dirigeants colmariens préparent le budget actualisé qui sera présenté à la Direction nationale du contrôle de gestion le 15 novembre. Le président Roland Hunsinger et ses deux vice-présidents, Jean-Louis Jaegli et Gilbert Meyer, se sont ainsi penchés sur un budget qui pourrait être revu à la hausse et qui pourrait permettre aux Verts d’envisager la venue de renforts.

Renforts. Pour l’instant, c’est le statu quo chez les Verts. Après la signature de Chiguy Lucau, le staff des SRC n’avance pas trop sur les autres joueurs mis à l’essai.

Gardien. Celui des Verts était au centre de nombreuses discussions, à l’issue de la défaite face à Beauvais. Thomas Aupic, brillant lors de la première saison en CFA et la saison dernière avant sa blessure traverse une période de doute. Alors qu’il était revenu dans le coup à Gap, malgré le but « casquette » dans les premières minutes, le gardien n’a été décisif ni à Plabennec ni face à Beauvais, deux rencontres lors desquelles les Colmariens ont encaissé trois buts marqués de la tête dans les six mètres.

Blessure. Guillaume Créquit, que Damien Ott a titularisé à Plabennec et contre Beauvais, ne sera pas du voyage à Fréjus. L’avant-centre des Verts souffre en effet d’une luxation acromio-claviculaire, qui l’éloignera des terrains pendant 3 semaines. C’est Thomas Régnier qui le remplacera dans le groupe qui décollera de Strasbourg vers Nice demain. On devrait également y retrouver Loïc Fortuna.

[Tenor]

Oui et cette période de doute qui dure depuis un petit moment a couté des points en attendant.
On verra par la suite s'il est capable de rebondir dans le bon sens du terme
Au fait Cassard n'est-il pas disponible ? Ce qu'il fait à Boulogne, il aurait pu le faire à Colmar en National pour clore sa carrière dans la région avec un recyclage au bout...mais là il semble mal parti

[D520]

Tout près du bonheur

Les Colmariens pensaient avoir fait le plus dur en ouvrant le score puis en évoluant à onze contre neuf. Mais l'Étoile s'est accrochée et a arraché l'égalisation à la 90e'. Cela ne gomme pas le mieux observé dans le jeu alsacien.

Que retenir de ce match ? Le point pris par les SR Colmar d'abord. Si on leur avait dit avant le match qu'ils allaient rentrer de Fréjus avec un point dans les valises, ils auraient tous signé des deux mains. Mais le verre ne peut être qu'à moitié plein, si l'on tient compte des circonstances. En tête à une demi-heure de la fin du match grâce à un penalty de Régis Kittler - ça fait deux marqués pour deux manqués depuis le début de saison ! - les Colmariens se sont surtout retrouvés en double supériorité numérique. Ils avaient donc toutes les cartes ne main pour prendre non pas un mais trois points et se relancer complètement dans la course au maintien.

Même ballottés, les Colmariens n'ont jamais été débordés

Malgré toute leur bonne volonté, les Colmariens se sont alors crispés et ont fini par céder, encaissant une nouvelle fois un but à la dernière minute après celui déjà concédé à Plabennec. « On s'est crispé parce qu'on ne sait plus gagner, ça fait six mois - deux mois et demi en fait, mais qui pu donner l'impression d'en durer plus du double, ndlr - qu'on n'a plus gagné », avoue Damien Ott. « Évidemment, tu leur dis de ne pas reculer, de garder la balle. mais ce n'est pas si facile », poursuit un coach finalement satisfait de ce point, mais au-delà de la performance de son équipe. « Il y a tellement de positif dans ce match que je ne veux pas trop revenir sur cette déception de ne pas avoir gagné ». Car même ballottés - en première mi-temps - les Colmariens n'ont jamais été débordés. Avant la pause, les Verts n'ont été mis en danger que sur coups de pied arrêtés et sur une incursion d'Orinel sauvée par Fedrigo. Le système à trois défenseurs axiaux a bien fonctionné. Le bémol, une animation offensive réduite à un duo Zerbini-Dieye, qui a souffert avant le repos, les latéraux ayant peu apportés en attaque. Après la pause, les Colmariens ont fait jeu égal avec leurs adversaires, avant même la première expulsion. Dieye puis Zerbini se sont créé les meilleurs occasions. Il faut apprécier le moindre rayon de soleil et ce point en est un

La sortie prématurée de Fernandez a même plutôt eu tendance à déstabiliser les Alsaciens. « Notre système nous était alors moins favorable. J'aurais alors pu repasser en 4-4-2, mais je ne l'ai pas voulu car l'équipe est à la recherche de certitudes », donc de stabilité. Et tant pis si l'égalisation tardive de Hedaini a ensuite privé les Alsaciens de temps pour tenter de forcer la décision. Dans la situation difficile que vivent les Colmariens, il faut apprécier le moindre rayon de soleil. Et ce point en est un. Le mieux observé à l'extérieur face à une équipe qui est passée à cinq minutes - la durée du temps additionnel - de sa première défaite à domicile doit malgré tout être confirmé. Validé par une victoire. Après tout, à Plabennec, les Colmariens avaient tenu 75 minutes avant de concéder l'égalisation, hier soir ils ont résisté pendant 89 minutes. La prochaine devrait donc être la bonne...

Cyril Tromson

[D520]

À une minute de l’exploit

Au terme d’un match courageux, les Colmariens, qui ont rarement été débordés par Fréjus, un candidat à l’accession, ont ramené un point du Var (1-1). Un petit point quand on songe qu’ils menaient 1-0 et qu’ils ont joué pendant près d’une demi-heure à onze contre neuf avant d’être rejoints à la dernière minute.

C’est dans une configuration inédite que les Colmariens ont débuté la rencontre, hier soir à Fréjus. L’entraîneur des Verts a en effet décidé de renforcer sa défense en alignant trois centraux, Holbein, Meyer et Kerssane, dans l’axe, M’Tir et Meslein restant sur les côtés. Une tactique qui a plutôt bien réussi. « On a beaucoup de satisfactions, disait Damien Ott. On va donc se contenter de ce point ».

Les Verts sont bien en place et parviennent à bien tenir le ballon. Il reste que les Varois sont les premiers en action sur un coup franc des 20 m de Ramos que Fedrigo extirpe de la lucarne (10 e). Les Colmariens peinent pour sortir et Fréjus profite du moindre contre ou de la moindre perte de balle pour porter le danger dans le camp alsacien. Mais l’arrière-garde tient le choc.

De fait, les défenses prennent constamment le pas sur les attaques et les seules occasions notables sont le fruit de ballons perdus et de balles arrêtées. Sur un coup franc de Ramos, Henaini met sa tête au-dessus (23 e) et suite à un raid solitaire de Diallo, Orinel parvient à enrouler sa frappe que Fedrigo va pêcher dans son coin (31 e). Le gardien colmarien est encore mis à contribution juste avant la mi-temps sur un tir d’Orinel servi dans la surface par Henaini (41 e). Sur le corner, il est un peu court, mais la tête de Fernandez passe au-dessus. De leur côté, les Alsaciens ne parviennent pas trop à approcher des buts de Gibert qui sort néanmoins avec autorité sur des centres de M’Tir et Kittler.

Kittler prend ses responsabilités

Les Colmariens sont plus incisifs au retour des vestiaires. Inlassablement, Kittler et ses coéquipiers repoussent les Varois et ne se privent pas pour porter le danger devant les buts de Cartier. Le gardien de Fréjus s’impose une première fois sur un tir de Dieye, lancé dans les 16 m par M’Tir (50 e). Dieye, encore lui, est rattrapé par Joinville cinq minutes plus tard (55 e).

Mais le meilleur reste à venir. Les Varois s’énervent et Fernandez voit rouge à la suite d’un tacle assassin sur Grimm à 40 m de ses buts (57 e). Fréjus va boire le calice jusqu’à la lie sept minutes plus tard. Zerbini, qui s’offre un grand pont sur Joinville. Le petit attaquant se présente seul face à Gibert, mais est retenu par le maillot par Fajr. M. Butault n’hésite pas et indique le point de penalty tout en infligeant le rouge au dernier défenseur. Régis Kittler prend ses responsabilités et ne laisse aucune chance à Gibert (0-1, 64 e).

À onze contre neuf, les Colmariens font tourner le ballon. « Notre système a bien fonctionné, remarque Damien Ott. En surnombre ça allait moins bien et j’aurais pu repasser en 4-4-2. Mais j’avais peur de déstabiliser mes joueurs. » Paradoxalement, ce sont effectivement les Varois qui retrouvent leurs automatismes. « J’ai vu des valeurs et des hommes chercher un bon résultat à neuf contre onze », disait d’ailleurs Athos Bandini, l’entraîneur de Fréjus.

Une égalisation stupide

En effet, alors que Tighazoui voit sa tête passer à côté des buts varois (84 e), Orivel voit son coup franc des 25 m dégagé en corner par une tête verte (88 e). Deux minutes plus tard, Grimm, au milieu du terrain et sans pression, rate sa passe destinée à M’Tir et envoie le ballon en sortie de touche. Sur la rentrée, Moulin d’une transversale trouve Orinel qui centre pour Henaini. L’attaquant n’a plus qu’à marquer de la tête pour l’égalisation (1-1,90 e). « On n’a tellement plus l’habitude de gagner qu’ils nous auraient mis un but à cinq contre onze, avoue Damien Ott. Mes joueurs ne sont pas parvenus à se libérer et ont fini crispés. Et pourtant, ils savaient qu’ils avaient tous les atouts en main pour finir le match tranquillement. Mais je ne peux pas leur en vouloir. De toute façon on aurait tout de suite signé pour ce résultat. »

D’autant que sur une dernière charge de Meyer sur Henaini, l’arbitre aurait pu siffler un penalty pour Fréjus (90+3). Cela aurait vraiment été cruel pour les Verts.

Ce résultat ne sort cependant pas les Colmariens des bas-fonds. Il va encore falloir se battre pour voir l’horizon s’éclaircir.

[fan_racing]

Ils sont quand même très mal barrés avec ce genre de résultats.

[L'homme de la vallée]

J'étais à Colmar-Gueugnon : ça pue la 20ème place.
Ils auraient du gagner avec plusieurs buts d'écart, comme à Fréjus samedi.

C'est juste le 13ème match sans victoire quoi...

Pour passer 16ème il faudrait "juste" aligner 4 ou 5 victoires d'affilé quoi !
Mais en tant que néophytes à ce niveau on ne peut pas leur en vouloir. Pour le Racing en revanche...