[09/10] 32ème J : Istres / Strasbourg - 2/0

[argueti]

La pauvreté des notes

[argueti]

C’est loin d’être gagné

Incapable d’imposer un semblant de jeu sur la pelouse d’Istres, 19 e de L2 au coup d’envoi, le Racing a perdu du terrain dans sa lutte pour le maintien. Ce matin, la zone rouge n’est plus qu’à quatre points et les interrogations quant au niveau de jeu subsistent.

Après neuf mois d’un travail compliqué, poussif et fastidieux, et alors que pouvaient se dessiner avec précision les contours d’un maintien en Ligue 2 en cas de bonne performance sur la pelouse d’un relégable, on se disait que, peut-être, le Racing se trouvait en posture idéale pour enfin donner naissance à une première victoire loin de ses bases cette saison. Malheureusement, l’heureux événement n’a pas eu lieu hier soir dans un stade Parsemain qui n’avait pourtant rien d’hostile (2300 spectateurs seulement). Et la 16 e tentative de succès à l’extérieur a donc abouti à une nouvelle fausse-couche. Rageant, et même plus sincèrement inquiétant pour un Racing qui se retrouve ce matin à quatre points de la zone rouge et qui va devoir rester sous haute tension ces prochains jours. « Il va bien falloir que je comprenne pour quelle raison cette équipe d’Istres a su être plus technique, plus volontaire, plus solidaire et plus enthousiaste que la mienne, résumait lucidement Pascal Janin à l’issue des débats. Mes joueurs m’ont paru très empruntés et ce n’est vraiment pas encourageant. Ce genre de prestation amène à l’évidence beaucoup de questions dans mon esprit. »

La première période est dénuée d’un véritable fil conducteur, le ballon voyageant de manière assez partagée d’un camp à l’autre. Si les premières occasions chaudes sont ainsi istréennes (frappe de Rivière bien captée par Cassard 10 e, puis tentative hors cadre de ce même Rivière après une mauvaise relance du gardien du Racing 16 e), les suivantes sont strasbourgeoises. Mais ni le ciseau acrobatique de Fauvergue boxé par Ménétrier (18 e) ni le tir légèrement trop croisé d’Othon (31 e) ne bouleversent la première partie de rencontre.

Peu à son aise défensivement, notamment dans un couloir droit où Abadie est littéralement mis au supplice par Nouri (le jeune Strasbourgeois cédera d’ailleurs sa place dès la 36 e à Khiter, obligeant Lacour à prendre position dans le couloir), le Racing se trouve de plus en plus souvent dans l’obligation de parer au plus pressé. En tout cas jusqu’à la 42 e minute de jeu et l’ouverture du score des Provençaux.

Le Racing sans défense

A la réception d’un corner mal dégagé par la défense alsacienne, Coulibaly dévie involontairement le ballon au second poteau où son compère Doumbia est seul au monde pour le pousser victorieusement de la tête. Le retour du vestiaire n’inverse pas la donne et ne gomme toujours pas la criarde fébrilité défensive des hommes de Pascal Janin. Pour preuve, Istres n’attend pas plus de quelques secondes pour se procurer deux nouvelles occasions par Rivière et Nouri et trouver finalement Cassard à la conclusion

Mais à trop se reposer sur les réflexes de son dernier rempart, le Racing finit une nouvelle fois par se faire surprendre peu avant l’heure de jeu sur une erreur de… son dernier rempart. Servi en retrait par Sikimic et gêné par la présence de Rivière dans ses basques, Cassard relâche bien malgré lui le cuir et permet à El Bahri de marquer dans le but vide. Les Strasbourgeois ont beau se précipiter en direction de l’arbitre, celui-ci ne bronche pas et accorde le but (2-0, 56 e). Ceux qui auraient préféré les voir se ruer vers les buts istréens en seront pour leurs frais. Car ce sont encore les joueurs de Pasqualetti qui assurent le spectacle au cours de la dernière demi-heure, notamment par El Bahri (71 e), Saïfi (79 e) et Kessany (88 e). Côté strasbourgeois, seul Gueye parvient à s’illustrer sur une frappe à bout portant, mais sa tentative est déviée in extremis par le tibia d’un défenseur (85 e). « J’ai apprécié que l’arbitre ne fasse pas jouer de trop longs arrêts de jeu, pouvait grommeler le président Jean-Claude Plessis. Il y a des soirs où l’on préfère que ça s’arrête assez vite. » On a déjà vu le nouveau boss strasbourgeois plus optimiste.

En jeu

Les notes : Cassard 4,5 ; Abadie 3 ; Khiter 3,5 ; Maire 4 ; Sikimic 4 ; Fanchone 3 ; Lacour (cap) 3,5 ; Rodrigo 3 ; Baning 3 ; Othon 5 ; De Carvalho 4,5 ; Fauvergue 4,5

De notre envoyé spécial Pierre Chatelus

[Its_me]

Quand je lis le résumé, je me pose plusieurs questions :
- Pourquoi sortir Abadie alors que jusqu'à ce qu'il sorte, d'après le résumé, il n'y avait pas de réelles occases pour Istres ??? Cette saison, dès que Lacour n'est plus au milieu, il n'y a plus de jeu.
- Pourquoi laisser jouer ce Banning ???

En fait le problème qu'on a eu hier soir était réellement au niveau de la finition. Apparament on a eu plusieurs occases nettes en première mi-temps. Pas sûr qu'une fois menés au score Istres ait eu les trippes pour revenir. Là au contraire on relance un concurrent ...

[alain p]

quand l'envie n'y est plus
quand on voit les décisions prises par le coach
pourquoi DAMOUR va en equipe de france U19 donne le premier but marque le dexieme et ne joue pas a 19 ans tu peux jouer avec les pros
MARCOS expliquer moi pourquoi un joueur qui est en forme physique qui a envie de jouer ne joue pas
Pourquoi il n'y a pas de fond de jeu rien, la tactique s'est mettre devant sur fauvergue et apres ont verras " BIZARRE "
je comprend que les joueurs en ont vraiment ras la casquette

[télésupporteur]

l'entraîneur est un histrion

[Tenor]

l'entraîneur est un histrion

tu exagères là

[argueti]

Mon dieu le deuxième but

Quel dommage pour le retourné

[Its_me]

Y'a un fantome qui retient Sikimic sur le but On a l'impression qu'il est paralysé et tombe tout bizarrement en avant

[argueti]

Sans parler du dégagement gag de Cassard ...