[08/09] 11ème J: Strasbourg / Troyes : 0-0

[FM17]

Pinon, quand Furlan parle de beau jeu en annoncant fier comme un coq que c est sa marque de fabrique je deviens fou...A force de peter plus haut que son cul, il est clair qu au moindre faux pas il en a pour son grade ! j assume ce que je dis, ce mec est intelligent mais son égo surdimenntionné, son manque d humilité et sa propention à  rejeter la faute sur les autres me dérangent...Je n aime pas le type, l entraineur est très moyen...pas nul, juste très moyen...
Si tu lis bien, j ai toujours dit qu en L2, bien jouer était une utopie...IL faut gagner on est d accord...Papin a été démolit ici alors que l Racing avec des Deroff, Strasser, Lacour, Vergerolle, Camadini titulaires est monté !! cette année l équipe est beaucoup plus forte et ne joue pas mieux...De plus,j ai clairement pris position pour le maintien de Furlan en cas de remontée....

[argueti]

Comme à  un tournant

Entre la sensible baisse de rythme actuelle dans sa saison, un calendrier de haute volée à  venir et sa place de leader, le Racing peut nourrir quelques sentiments paradoxaux après sa quelconque production de vendredi. Il devrait les éclaircir bientôt.

Après l'angine de poitrine angevine, le Racing a préféré se tenir bien au chaud en privilégiant quelques prudentes certitudes, face à  Troyes. Il n'a guère pris de risque, s'est contenté de guetter une éventuelle boulette auboise, qui n'est jamais venue, et s'est presque volontiers résigné à  un petit match nul qui ne restera pas dans les annales de l'histoire du foot. 0-0, c'est rarement une publicité incarnée pour le ballon rond, mais ça vaut un point. Les acteurs alsaciens de la rencontre ont néanmoins fait la fine bouche à  l'heure des commentaires. « C'est une petite déception, on a essayé de tout donner, souligne Kandia Traoré, aussi volontaire qu'imprécis vendredi. Après la défaite d'Angers, on a cherché à  se remobiliser pour tout de suite rebondir. Mais on a vu que la L 2, c'est un championnat difficile. » C'est peut-être un championnat difficile, mais on y voit donc ces temps-ci un Racing qui tire la langue. L'équipe strasbourgeoise a construit son exceptionnel bilan comptable inaugural (cinq victoires en autant de matches notamment) sur un poil de réussite, avec des succès décrochés à  l'arraché. Le vent aurait-il tourné ? « Par rapport à  notre rythme de points du début, on ne peut que difficilement faire mieux », a lâché Jean-Marc Furlan pour édulcorer le bilan du soir face à  son ancien club. Mais il a aussi eu une analyse sans concession du contenu de la rencontre : « Ce sont deux points de perdu, quasiment zéro tir. On a entamé trop lentement, les 45 premières minutes étaient médiocres, on a été en manque d'inspiration. » Au final, l'explication est toute trouvée avec des lacunes « par rapport à  la fraîcheur ». Au quart de la saison, il y aurait de quoi s'inquiéter, mais le camp d'en face s'est montré au diapason avec un Ludovic Batelli nourrissant « des regrets, par rapport au manque de vélocité » de ses joueurs.

Des échéances de haut vol

Aubois et Alsaciens seraient donc dans le dur alors qu'ils n'ont disputé que onze matches de L 2 sur les 38 au programme. Pour le Racing, la crainte peut se révéler d'autant plus justifiée que pointent à  l'horizon des échéances de haut vol. La bande à  Furlan n'a jamais rendu visite à  un adversaire en aussi bonne santé au classement qu'Ajaccio (7e), où elle ira lundi prochain. Elle recevra ensuite Lens, puis pourra se consacrer à  une parenthèse (sans doute trompeuse) en accueillant Tours, avant d'effectuer le court voyage sur l'hostile terrain de Metz. D'objectives sources d'optimisme radoucissent néanmoins le panorama strasbourgeois. La largeur de son groupe doit permettre à  Furlan de faire jouer une concurrence rafraîchissante. Emil Gargorov peut astiquer ses crampons pour entrer en action dès le coup d'envoi sifflé en Corse : le Bulgare est un atout dans la manche alsacienne que le staff technique est susceptible de jouer d'entrée. Rudy Carlier ou encore Simon Zenke peuvent constituer des solutions pour passer outre quelques lassitudes. En défense, Steven Pelé devrait reprendre l'entraînement mardi. Sur un plan plus pragmatique, le temps de passage strasbourgeois demeure remarquable. Le RCS en L 2 version Furlan compte quatre points d'avance au bout de onze journées sur celui de Papin. Quatre points, ce n'est pas rien. Un seul peut même correspondre à  un grand bonheur. Demandez un peu à  Ludovic Batelli. Avec Amiens, en dépit d'une saison achevée sur une série de cinq victoires et même douze succès en seize matches, il avait échoué au pied du podium à  un point d'un Racing qui reprenait l'ascenseur vers la L 1 à  l'été 2007. Il n'est jamais complètement justifié de négliger un point de pris, même au terme d'un médiocre match automnal. Jusqu'à  lundi et le match Tours - Lens, le leader fait un peu grise mine, mais le leader est Alsacien.

François Namur

Un cap à  tenir

Même s'ils ont décéléré, entre leur première défaite l'autre vendredi à  Angers (3-0) et leurs premiers points perdus à  la Meinau avant-hier contre Troyes (0-0), les Strasbourgeois restent calmes, mais attendent d'en savoir plus le lundi 27 à  Ajaccio.

La grève aurait-elle eu des effets bénéfiques pour un Racing en perte de vitesse si elle avait entraîné le report de son match prévu le lundi 27 octobre à  Ajaccio ? On ne le saura jamais, puisque la menace des footballeurs professionnels français a été écartée et puisque la rencontre aura bien lieu. Mais à  l'évidence, les hommes de Jean-Marc Furlan traversent une passe un brin délicate à  l'heure des premiers frimas automnaux. Moins d'allant dans le jeu, moins de percussion, moins de liant entre les lignes, moins de changements de rythme : le coup de moins bien saute aux yeux. En milieu de semaine, J.-M. Furlan avait d'ailleurs allumé quelques signaux d'alerte en soulignant devant les médias, mais aussi son groupe, la baisse de régime constatée à  l'entraînement. « Quand vous prenez autant de points en 10 matches, il est difficile de maintenir un tel rythme », positive-t-il toutefois aujourd'hui, « Le championnat est ainsi fait qu'il y a des soirées comme ça : on reprend la place de leader le jour où on perd nos deux premiers points à  domicile. C'est pour ça que dans une saison aussi longue, il faut rester calme. » Cette place de leader ne tient cependant qu'à  un fil ténu. Lens, simplement devancé au nombre de buts marqués (avec le même goal-average), pourrait bien la récupérer demain en match décalé à  Tours.

« Il ne faut pas avoir peur »

Vendredi, le RCS, toujours meilleure équipe à  domicile (16 points sur 18), a incontestablement laissé passer une belle occasion de remettre un peu de distance avec ses poursuivants. Car Boulogne et Metz ont également trébuché chez eux. Dernière équipe invaincue, les Boulonnais ont chuté pour la première fois face à  Sedan (0-1), tandis que les Messins se révélaient incapables de battre Bastia à  Saint-Symphorien (0-0). « Ç'aurait pu être un bon coup pour nous, c'est un coup de travers », s'efforce d'en sourire Kandia Traoré. « Il faut attendre le match à  Ajaccio pour voir si on connaît vraiment un trou. Si ça ne colle pas là -bas, peut-être faudra-t-il se poser des questions. » En attendant, les Strasbourgeois refusent de céder à  l'alarmisme, encore moins à  la panique. « Il ne faut pas avoir peur. La peur fait perdre ses moyens », tranche Renaud Cohade. « Nous étions partis sur un gros rythme, mais nous savions bien que nous n'allions pas tout gagner cette saison. Et surtout pas 5-0. Contre Troyes, nous avons manqué de fraîcheur collective et nous sommes tombés sur une équipe bien en bloc. Nous aborderons les prochains matches avec méfiance, mais sérénité. Il reste du travail, nous le savons. Mais il y a aussi du positif : l'ambiance est bonne, nous sommes toujours invaincus à  la Meinau… Inutile de gamberger. Nous vivrons encore des moments difficiles. C'est là  qu'il faudra être costauds comme nous avions su l'être il y a deux ans au cours de matches de bien pire qualité que celui contre Troyes. » « On a peut-être un coup de moins bien, mais je ne pense pas que ça puisse nous atteindre », corrobore Quentin Othon, « Face aux Troyens, nous avions un bon état d'esprit, même s'il nous a manqué ce but qui aurait pu nous faire du bien. Après la claque reçue à  Angers, c'est un point positif. Maintenant, il faut passer à  autre chose, nous concentrer sur notre semaine de travail et analyser nos difficultés à  l'extérieur avant le prochain match à  Ajaccio. » Bref, garder la tête froide et le cap avant le voyage en Corse. Un faux pas de Lens demain en Touraine y contribuerait.

Stéphane Godin

[Pinon]

Pinon, quand Furlan parle de beau jeu en annoncant fier comme un coq que c est sa marque de fabrique je deviens fou...A force de peter plus haut que son cul, il est clair qu au moindre faux pas il en a pour son grade ! j assume ce que je dis, ce mec est intelligent mais son égo surdimenntionné, son manque d humilité et sa propention à  rejeter la faute sur les autres me dérangent...Je n aime pas le type, l entraineur est très moyen...pas nul, juste très moyen...
Si tu lis bien, j ai toujours dit qu en L2, bien jouer était une utopie...IL faut gagner on est d accord...Papin a été démolit ici alors que l Racing avec des Deroff, Strasser, Lacour, Vergerolle, Camadini titulaires est monté !! cette année l équipe est beaucoup plus forte et ne joue pas mieux...De plus,j ai clairement pris position pour le maintien de Furlan en cas de remontée....

Je peux pas te dire si elle joue moins bien ou mieux, tout ce que je remarque c'est qu'avec JPP on a rarement était premier et qu'avec Furlan on n'avait plus quitté cette place depuis aout mais surtout, l'équipe possède l'une des meilleurs attaque du championnat, ce n'est pas rien

Maintenant, comme tu dis, le beau jeu ne sert à  rien en Ligue 2 et les équipes qu'on rencontre sont avant tout motivé à  ne pas perdre et joue en bloc, parfois ce bloc saute et parfois il est plus costaud ...

Ensuite, oui, descendre pour reconstruire c'est mieux, il suffit de voir Le Mans, Nancy, Lille, Saint Etienne, Valenciennes ... mais descendre pour remonter puis redescendre et encore remonté ca n'amène rien sauf la vision qu'on reste un club instable et qui perd ses meilleurs joueurs tous les ans

[FM17]

= Strasbourg depuis 30 ans
sinon ne compare pas l effectif de cette année avec celui d il y a 2 ans...heureusement que le Racing va remonter !

[Pinon]

Et oui, car le supporter de base veut avant tout voir son équipe sous les feux des projecteurs et que si le Racing reste deux saisons en L2, et ben il n'y aura plus que deux pelés et trois tondus au stade

[FM17]

Le supporter de base paie un abonnement et ca le fait chier de voir jouer Vannes ou Tours il est vrai...Il ne comprend pas non plus comment une ville aussi grande que Strasbourg ne soit pas en L1 !

[Seb T.]

Tu crois vraiment que le supporter de base (sans vitres electriques) arrive à  se poser autant de questions à  la fois ???

Moi je pense qu'il se demande juste pourquoi Gilbert Gress ne revient pas et pourquoi on a retiré la bierre avec alcool et les merguez crues Ritter de La Meinau...

[Sam.]

Putain, enfoiré de Seb T, c'est exactement mes interrogations !!!!

Sam.

[enzy]

Tu crois vraiment que le supporter de base (sans vitres electriques) arrive à  se poser autant de questions à  la fois ???

Moi je pense qu'il se demande juste pourquoi Gilbert Gress ne revient pas et pourquoi on a retiré la bierre avec alcool et les merguez crues Ritter de La Meinau...

Tu as juste oublié Patrice Harquel

[Tenor]

Tu as juste oublié Patrice Harquel

moi j'aimais bien ce mec qui savait mettre de l'ambiance et chauffer le stade...alors que celui qui est en ce moment ...Filser non ? pas terrible du tout. Et on comprend rien de ce qu'il radote et débite dans son micro
Cà  fait amateur tout ça non ?