[07/08] 9ème J: Strasbourg / Le Mans : 0-1

L'actualité du Racing en championnat
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GeoGeo
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Message par GeoGeo »

télésupporteur a écrit : bellaid-paysley bon défensivement, pas d'apport offensif
:lol: :lol: je vois mal paisley faire une course de 80m pour aller marquer... :lol:
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FM17
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Message par FM17 »

si en relais...40m + Lacour 35m + Camdini 5 m !!
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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Pinon
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Message par Pinon »

DNA a écrit :Du pimpant à  l'ordinaire

Après sa défaite domestique contre le Mans (0-1), le Racing est passé au lot habituel d'un promu. A savoir la nécessité d'engranger au plus vite des points pour assurer le maintien. Même s'il n'y a pas lieu de céder à  la panique, ça commence doucement à  urger.

Personne ne pourra le lui enlever. Avant la venue du Mans, le Racing avait gagné le droit de rêver. A la faveur d'un début de saison chatoyant, marqué par trois victoires de rang - Auxerre, Toulouse, Lens -, la troupe de Jean-Marc Furlan avait pris un peu d'avance sur son tableau de marche.

«Cette défaite ne change rien»

Une victoire aurait permis de camper devant les portes de l'Europe. Soit une perspective inespérée pour un promu, au quart du championnat. C'est loupé. Romaric, l'homme fort du Mans, a douché les ardeurs naissantes, ramenant le Racing à  des perspectives beaucoup moins grisantes.
« Cette défaite ne change rien, parce que l'on est encore dans le ventre mou, tempère l'entraîneur alsacien. Ce qui est logique pour une équipe qui joue le maintien. Un nul, ça n'aurait pas non plus modifié grand-chose, mais d'un point de vue psychologique, c'est quand même décevant. »
Prudent, pour ne pas dire précautionneux, quand son équipe flambait au coeur de l'été, Furlan se montre aujourd'hui tout aussi mesuré. Le Racing n'a peut-être que pris deux points lors de ses quatre dernières sorties et vient de briser sa belle série d'invincibilité domestique qui courrait depuis fin avril 2006, pas question pour autant de céder à  la panique.

Pas un but en quatre matches...

« Si on avait été dominés de la tête et des épaules, vous pouvez vous dire que c'est catastrophique, poursuit le coach. Ça n'a pas été le cas. D'où le sentiment de frustration qui nous habite. A regarder le pourcentage de possession et le nombres d'occasions, on est devant. Encore faut-il marquer. »
Marquer, voilà  donc le principal souci d'une formation qui tourne en rond devant le but adverse depuis maintenant quatre rencontres. A l'image d'un Wason Renteria des plus inoffensifs et d'un Eric Mouloungui nettement moins tranchant, les attaquants strasbourgeois marquent actuellement le pas. Comme le redoutait Furlan tout au long de la semaine, le «manque de fraîcheur et de spontanéité» a lourdement pesé sur le rendement des siens.
« On sentait qu'il y avait moyen de trouver la faille, mais on n'a pas su faire le dernier geste décisif, analyse Grégory Paisley. Surtout, on est tombés sur un adversaire qui a bien joué le coup, en faisant bloc devant son but après l'ouverture du score. »
Un argumentaire repris à  son compte par Jean-Marc Furlan, qui a progressivement adjoint au seul Renteria toute sa garde offensive, à  savoir Alvaro Santos, puis Gameiro, finalement le plus en vue, et Mulenga. Cette addition d'individualités n'a pas payé.

Trop de buts sur coups de pied arrêtés

« Il ne faut pas que les garçons en fassent une fixation », insiste Furlan, toujours prompt à  protéger ses attaquants. Il est vrai que l'absence d'Abdessadki et le choix de ne pas utiliser Johansen a aussi privé le Racing d'un meneur attitré. Une option forcément discutable quand la défaite vient sanctionner les débats. Mais comme on ne refait pas l'histoire...
Dans les prochains jours, le staff technique devra aussi se pencher sur un autre problème récurrent : l'inquiétante propension à  encaisser des buts sur coup de pieds arrêtés - cinq sur six - et celle, tout aussi crispante, à  mal négocier les ballons sur ces mêmes situations à  l'autre bout du terrain. Pas un corner n'a ainsi abouti, pas un coup-franc n'a inquiété Pelé...

«Gagner contre Amiens dès mercredi»

Histoire de se rassurer, les Ciel et Blanc pourront toujours se dire qu'ils n'ont pas encaissé le moindre but sur une phase de jeu construite. «On ne va pas tout remettre en question à  cause d'une défaite, ponctue Cohade. Il faut se reconcentrer pour gagner contre Amiens dès mercredi.»
Battre les Picards à  la Meinau, en 16es de finale de la Coupe de la Ligue, serait en effet le meilleur moyen de reprendre un tant soit peu confiance et de préparer le derby archi-important à  Metz, samedi un quinze.
«Strasbourg sera un match à  gagner», répond en écho Francis de Taddeo, l'entraîneur mosellan. A défaut d'être clinquant, octobre s'annonce déjà  déterminant.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo

Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais

Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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argueti
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Message par argueti »

DNA a écrit :Du pimpant à  l'ordinaire

Après sa défaite domestique contre le Mans (0-1), le Racing est passé au lot habituel d'un promu. A savoir la nécessité d'engranger au plus vite des points pour assurer le maintien. Même s'il n'y a pas lieu de céder à  la panique, ça commence doucement à  urger.

Personne ne pourra le lui enlever. Avant la venue du Mans, le Racing avait gagné le droit de rêver. A la faveur d'un début de saison chatoyant, marqué par trois victoires de rang - Auxerre, Toulouse, Lens -, la troupe de Jean-Marc Furlan avait pris un peu d'avance sur son tableau de marche.

«Cette défaite ne change rien»

Une victoire aurait permis de camper devant les portes de l'Europe. Soit une perspective inespérée pour un promu, au quart du championnat. C'est loupé. Romaric, l'homme fort du Mans, a douché les ardeurs naissantes, ramenant le Racing à  des perspectives beaucoup moins grisantes. « Cette défaite ne change rien, parce que l'on est encore dans le ventre mou, tempère l'entraîneur alsacien. Ce qui est logique pour une équipe qui joue le maintien. Un nul, ça n'aurait pas non plus modifié grand-chose, mais d'un point de vue psychologique, c'est quand même décevant. » Prudent, pour ne pas dire précautionneux, quand son équipe flambait au coeur de l'été, Furlan se montre aujourd'hui tout aussi mesuré. Le Racing n'a peut-être que pris deux points lors de ses quatre dernières sorties et vient de briser sa belle série d'invincibilité domestique qui courrait depuis fin avril 2006, pas question pour autant de céder à  la panique.

Pas un but en quatre matches...

« Si on avait été dominés de la tête et des épaules, vous pouvez vous dire que c'est catastrophique, poursuit le coach. Ça n'a pas été le cas. D'où le sentiment de frustration qui nous habite. A regarder le pourcentage de possession et le nombres d'occasions, on est devant. Encore faut-il marquer. » Marquer, voilà  donc le principal souci d'une formation qui tourne en rond devant le but adverse depuis maintenant quatre rencontres. A l'image d'un Wason Renteria des plus inoffensifs et d'un Eric Mouloungui nettement moins tranchant, les attaquants strasbourgeois marquent actuellement le pas. Comme le redoutait Furlan tout au long de la semaine, le «manque de fraîcheur et de spontanéité» a lourdement pesé sur le rendement des siens. « On sentait qu'il y avait moyen de trouver la faille, mais on n'a pas su faire le dernier geste décisif, analyse Grégory Paisley. Surtout, on est tombés sur un adversaire qui a bien joué le coup, en faisant bloc devant son but après l'ouverture du score. » Un argumentaire repris à  son compte par Jean-Marc Furlan, qui a progressivement adjoint au seul Renteria toute sa garde offensive, à  savoir Alvaro Santos, puis Gameiro, finalement le plus en vue, et Mulenga. Cette addition d'individualités n'a pas payé.

Trop de buts sur coups de pied arrêtés

« Il ne faut pas que les garçons en fassent une fixation », insiste Furlan, toujours prompt à  protéger ses attaquants. Il est vrai que l'absence d'Abdessadki et le choix de ne pas utiliser Johansen a aussi privé le Racing d'un meneur attitré. Une option forcément discutable quand la défaite vient sanctionner les débats. Mais comme on ne refait pas l'histoire... Dans les prochains jours, le staff technique devra aussi se pencher sur un autre problème récurrent : l'inquiétante propension à  encaisser des buts sur coup de pieds arrêtés - cinq sur six - et celle, tout aussi crispante, à  mal négocier les ballons sur ces mêmes situations à  l'autre bout du terrain. Pas un corner n'a ainsi abouti, pas un coup-franc n'a inquiété Pelé...

«Gagner contre Amiens dès mercredi»

Histoire de se rassurer, les Ciel et Blanc pourront toujours se dire qu'ils n'ont pas encaissé le moindre but sur une phase de jeu construite. «On ne va pas tout remettre en question à  cause d'une défaite, ponctue Cohade. Il faut se reconcentrer pour gagner contre Amiens dès mercredi.» Battre les Picards à  la Meinau, en 16es de finale de la Coupe de la Ligue, serait en effet le meilleur moyen de reprendre un tant soit peu confiance et de préparer le derby archi-important à  Metz, samedi un quinze. «Strasbourg sera un match à  gagner», répond en écho Francis de Taddeo, l'entraîneur mosellan. A défaut d'être clinquant, octobre s'annonce déjà  déterminant.

Séb.K.
L'Alsace a écrit :Entre réalisme et réalité

Faute de se montrer réaliste ces temps-ci (aucun but inscrit depuis six heures et demie), le RCS, battu avant-hier à  la Meinau par le Mans (0-1), redécouvre « sa » réalité : celle d'un promu.

Tout le monde s'était pris à  rêver. Les Strasbourgeois les premiers. Mais une solide équipe du Mans leur a remis en tête ce que Jean-Marc Furlan appelait hier au décrassage « la normalité de l'histoire récente et des objectifs du Racing. Le supporter passionné veut être champion. Nous aussi. Mais à  Strasbourg, il y a des réalités économiques et sportives incontournables. » L'entraîneur général avait évoqué ce duel face au Mans comme une rencontre pouvant « ouvrir des perspectives » à  ses joueurs. « Il ne l'a pas permis », convient le coach qui, au-delà  de l'échec, éprouve une grosse contrariété : « Quand on a une certaine idée du foot et de sa mise en spectacle, on ne peut être que déçu. J'aurais aimé que nous arrachions le nul. Le Mans est arrivé avec une stratégie défensive. Il s'y est tenu et s'est montré brillant dans son application. »
Une formation sarthoise que le Racing n'a pas suffisamment bousculée. Pour deux raisons majeures, selon Stéphane Cassard : « Lors de nos victoires sur Auxerre, à  Toulouse et contre Lens, nous manifestions une grosse présence devant le but. Nous l'avons aujourd'hui un peu moins. Nous manquons aussi de jus. Dans l'euphorie de la remontée en L 1, on ne s'en est peut-être pas rendu compte sur le coup, mais lors des matches à  haute intensité contre Marseille, Auxerre et Lens, nous avons laissé beaucoup de forces. Sans parler de nos mi-temps à  10 à  Nice et Saint-Etienne. Nous subissons un contrecoup. Ce n'est pas anormal. Ça fait partie d'une saison qui – on le sait – va être difficile et longue. Mais il ne faut surtout pas paniquer. Nous devons continuer à  appliquer nos idées directrices et tout faire pour redémarrer une dynamique. Le match de Coupe de la Ligue contre Amiens (mercredi 21 h à  la Meinau) tombe bien. Après, nous aurons dix jours pour penser au derby à  Metz (le samedi 6 octobre). »

« Nos attaquants découvrent la L 1 »

Deux chiffres n'en retiennent pas moins l'attention : un, le Racing est muet depuis plus de 4 matches (386 minutes) ; deux, il a encaissé 5 de ses 6 buts sur coups de pied arrêtés (plus un « autogoal » d'Abdessadki). « Depuis la nuit des temps, quand une équipe ne marque pas, on cherche le pourquoi du comment », relativise Furlan. « On en revient aux réalités économiques et sportives. À l'exception de James Fanchone, qui n'a pas trop joué l'an passé, nos attaquants découvrent la Ligue 1. Si tu as les moyens d'investir une grosse somme sur deux mecs d'expérience, le discours change. Quant aux buts concédés sur coups de pied arrêtés, ils signifient que nous ne sommes guère mis en danger dans le jeu. Et je préfère ça, car c'est plus facile à  régler. Si nous n'encaissons jusqu'à  la fin de saison que des buts sur coups de pied arrêtés, nous terminerons parmi les trois meilleures défenses. » L'entraîneur général ne s'alarme pas davantage du manque de fraîcheur de ses troupes. « C'était presque couru d'avance. Quand un promu réalise un tel début de saison, fait preuve d'une telle concentration d'énergie et que ses joueurs tournent presque en surrégime en termes d'investissement psychologique, il en paie fatalement le prix. Je n'en suis pas étonné, comme je sais déjà  ce qui va se passer dans les dix mois à  venir pour un club de notre stature. » Personne ne pourra lui reprocher de perdre le sens des réalités.

Public ingrat

Le public de la Meinau – on ne parle pas ici du kop qui ménage rarement ses encouragements – aurait-il, une fois de plus, la mémoire courte ? Mis en échec par une formation mancelle qui n'a pas son pareil pour quadriller le terrain, le Racing a essuyé avant-hier soir non seulement un revers, mais aussi quelques bordées de sifflets, pendant et après le match. Une réaction assez lamentable pour qui se souvient que les Strasbourgeois n'avaient plus perdu à  la maison depuis le 30 avril 2006 en championnat, enchaînant 17 victoires et 6 nuls. Depuis un mois et demi, chacun louait d'ailleurs le jeu développé par le RCS façonné par Jean-Marc Furlan. Un peu d'indulgence pour ce premier « dérapage » n'aurait pas été superflu.

Cassard masqué

Sans chercher d'excuse sur le but encaissé face aux Manceaux, Stéphane Cassard a livré hier sa version des faits, qui éclaire l'événement d'un jour nouveau. « Comme le coup franc est lointain, je demande trois joueurs dans le mur, dont un qui sort sur le tireur, Guillaume Lacour en l'occurrence. Or, Coco (Renaud Cohade) se place d'abord dans ce mur comme 4e homme, avant de s'en extraire et de se placer plein axe, juste sur la trajectoire du ballon. Je me décale alors sur mon côté gauche pour voir la balle qu'il me masque et à  l'arrivée, entre la trajectoire fuyante et le rebond juste devant moi, je suis pris à  contre-pied. Je n'avais aucune visibilité. »

Szelesi touché au genou

Le latéral droit hongrois souffre d'une légère inflammation du genou gauche. « Rien de bien méchant », précise le médecin du RCS, François Piétra. « Le cas échéant, le coach ne prendra pas de risque pour le match de mercredi contre Amiens. Mais en principe, ça devrait aller pour Zoltan. Seul Yacine Abdessadki (lésion au mollet gauche) reste aux soins. Haikel Gmamdia et Emil Gargorov ont repris. »

Du changement contre Amiens

Jean-Marc Furlan avait déjà  annoncé que Nicolas Puydebois disputerait les Coupes dans les buts strasbourgeois. Le gardien remplaçant sera donc titulaire mercredi contre Amiens. D'autres devraient récupérer du temps de jeu à  l'occasion de ce 16e de finale. « Pascal (Johansen) a besoin de jeu pour exprimer son talent. Lui et Kévin (Gameiro) sont pratiquement des titulaires à  part entière. Alvaro Santos devrait jouer. Abou aussi peut-être. »

Stéphane Godin
L'histoire est en marche ...
EDES
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Message par EDES »

J'ai regardé le match à  la TV. Je n'ai qu'un commentaire à  faire sur la prestation du racing: affligeant, insipide et soporifique !!!
Racing, jetzt geht's los !!!
Barwadel
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Message par Barwadel »

Quand on lit que Furlan parle d'un manque de fraicheur . . . . . . . . . .

Le jour ou nous aurrons droit à  la "semaine anglaise" , je ne sais pas ce que feront ces simili professionnels ! :evil:
Parti comme c'est parti , on va sans doute rester !
EDES
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Message par EDES »

Ce qui m'a le plus fait ch... c'est que même mené 0-1, on joue à  la baballe, enfin on attend, avec un coup de bol les autres vont mettre un csc.
Racing, jetzt geht's los !!!
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