[04/05] 8ème CDLL : RCS / Lille : 1-1 (4-2 t.a.b.)
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Carlier - Cabaye.. peu importe finalement... il a marqué et c'est tant mieux.LFP a écrit : Devaux, Kanté, Cabaye et finalement Niang envoyaient le Racing pour la quatrième fois de son histoire en quarts de finale de la Coupe de la Ligue après 1997, 2000 et 2002.
Ni la contradiction n'est marque de fausseté, ni l'incontradiction n'est marque de vérité.
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ben si tu regardes bien, il est encore en train de tomber quand la balle lui reviens dessus.Placebo19 a écrit :Clair pour Carlier mais j'ai pas compris pourquoi il n'a pas reffrapé au lieu de lever les bras au ciel en pensant qu'il avait marqué
Mais bon, il en marquera d'autres
il pouvait pas la rejouer
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BEn une fois relever je pense qu'il peut encore nous gratifier d'une petite frappe car Malicki lui aussi était toujours à terre
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Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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Au bout de la nuit
Le Racing a validé son ticket pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue, mardi soir, après une parfaite séance de tirs au but.
Sur un terrain très difficile, gelé et enneigé sur les deux tiers de sa surface, le Racing Strasbourg et Lille ont offert un spectacle de qualité à ceux qui ont bravé le froid mardi soir à la Meinau, dont tous nos lecteurs n'ont pas trouvé hier le compte-rendu en raison de l'heure tardive. Menés pour la première fois au score à domicile depuis la prise de fonction de Jacky Duguéproux, suite à une réussite de Makoun dès le retour des vestiaires (47e), les Alsaciens ne se sont pas affolés, accentuant leur pression et égalisant grâce à Farnerud (72e). Il fallait ensuite recourir aux prolongations pour départager les deux formations. Si la première ne donnait rien, les locaux allaient se créer deux énormes occasions au cours de la seconde sans faire preuve d'efficacité. Dès la 106e, un déboulé de Boka à gauche offrait un caviar à Niang, qui butait sur Malicki. Carlier, en embuscade, frappait en force à côté. Dans les arrêts de jeu, Niang imposait son physique, effaçait Vitakic, mais, seul aux 6 m, trouvait encore Malicki à la parade. Le gardien nordiste, doublure habituelle de Tony Sylva, allait ensuite s'incliner sur les quatre tirs au but strasbourgeois, effectués par Devaux, Kanté, Carlier et Niang, même s'il était très malheureux sur l'essai de Carlier. Mais il avait de toute manière déjà été abandonné par ses coéquipiers Tafforeau et Dernis, le premier trouvant la main de Vercoutre qui détournait le ballon sur son poteau, le second glissant au moment de frapper. « Je suis très heureux de notre performance, glissait Arthur Boka, qui se révèle match après match sur le flanc gauche de la défense. Nous avons prouvé que nous sommes en forme et que nous ne nous laissons plus battre sur notre terrain. Nous nous sommes battus jusqu'au bout et je pense qu'un vrai groupe est né, avec plus d'envie, plus de rigueur à l'entraînement, avec un entraîneur qui nous fait confiance tout en nous mettant de la pression ». Jacky Duguépéroux pouvait arborer un franc sourire, parlant de « seconde demi-cadeau de Noël » après le succès acquis en championnat trois jours plus tôt face à Rennes. « Tout le monde a pu partir en vacances l'esprit libre et serein. Mon équipe a du caractère et cela me rassure pour la suite ».
L'histoire est en marche ...