7ème tour CDF : Strasbourg / Wittenheim - 6/0

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Gotcha
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Re: 7ème tour CDF : Strasbourg / Wittenheim - 17/11/12 - 16h

Message par Gotcha »

victoire 6-0
buts de ledy (*2), perrin (*2), martin et noro
Karim67100
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Re: 7ème tour CDF : Strasbourg / Wittenheim - 17/11/12 - 16h

Message par Karim67100 »

Voilà notre contribution pour la communauté

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argueti
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Re: 7ème tour CDF : Strasbourg / Wittenheim - 17/11/12 - 16h

Message par argueti »

:D
L'histoire est en marche ...
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Its_me
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Re: 7ème tour CDF : Strasbourg / Wittenheim - 6/0

Message par Its_me »

Victoire quand même très facile contre une équipe qui a vité été dépassée.
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Re: 7ème tour CDF : Strasbourg / Wittenheim - 6/0

Message par Kaniber »

Comment ce fait-il que notre David marque en Coupe de >France mais pas CFA
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Re: 7ème tour CDF : Strasbourg / Wittenheim - 6/0

Message par Its_me »

Les adversaires en coupe de Frace ne sont pas franchement des foudres de guerre ...
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Re: 7ème tour CDF : Strasbourg / Wittenheim - 6/0

Message par Kaniber »

La prochain tour il y risque d'avoir un autre calibre
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Re: 7ème tour CDF : Strasbourg / Wittenheim - 6/0

Message par Its_me »

DNA a écrit :Racing (CFA) – Wittenheim (DH) 6-0 : le Racing réaliste

En s’appuyant sur une redoutable efficacité, les Strasbourgeois n’ont pas tremblé pour poursuivre l’aventure en Coupe de France. Wittenheim a eu le souci de jouer, le Racing l’a puni.

Le Racing n’a pas fait les choses à moitié pour son quatrième match de Coupe de France cette saison. Pour son retour à la Meinau dans l’épreuve, près de deux ans après le match précédent face à Évian/Thonon/Gaillard (1-0), les Strasbourgeois ont gâté le maigre public présent au stade de la Meinau.

« Il ne fallait pas les prendre de haut »

Maoui a bien pu ressentir l’espoir d’un exploit, en étant l’auteur du premier tir cadré de la rencontre (7 e), une tentative lointaine d’une position excentré sans réel danger pour Duki, le froid réalisme du Racing a vite fait de doucher les chances du pensionnaire de DH.

« Si on avait respecté notre plan de jeu, avec l’idée de couper leurs possibilités de centre, on aurait pu rivaliser, regrettait Majid Karrjane. Mais ensuite, face à un tel adversaire, il est impossible de revenir. » Le premier danger est effectivement venu d’un côté, le droit, d’où Pinaud a centré. Dans la surface, Noro a réussi un joli petit crochet qui a conduit au fatal croche-pied commis par Chaali. Perrin a transformé le penalty d’un puissant plat du pied (13 e). La soirée du Racing ne pouvait pas mieux commencer et même se poursuivre.

« Il ne fallait pas les prendre de haut, expliquait l’auteur de l’ouverture du score, après coup. On a respecté cet adversaire. On a ensuite continué à les respecter. » Pas maladroit avec le ballon, Wittenheim était débordé derrière. Une montée de Pinaud, dont le centre est repris d’une tête croisée, ajustée et précise de Ledy, réglait l’affaire (17 e).

« Sauf pendant un quart d’heure, entre les deuxième et troisième buts, les joueurs ont été sérieux, alors que les conditions ne me semblaient pas idéales, dans un stade presque vide », a constaté François Keller, l’entraîneur du Racing. Il y a donc eu cette petite période de flottement, quand certains au Racing ont préféré faire les otaries en quête du geste sublime que privilégier l’efficacité. Mais juste avant la pause, en remettant un peu d’ordre dans son jeu, face à un adversaire qui ne s’est jamais résigné à défendre, le coup d’accélérateur a été d’une spectaculaire cruauté. Noro a envoyé un tir lobé du gauche, sous la barre, qui a trouvé le but déserté puisque Campanello avait dû sortir pour contrer Sichi lancé plein axe (42 e). Martin a dominé les airs sur un corner de Noro, pour agraver la marque d’une tête décroisée (44 e) et Ledy n’a pas gâché un centre piqué de Perrin en envoyant le ballon d’une volée à ras de terre (45 e). « Le premier but est arrivé un peu tôt et on aurait pu espérer faire quelque chose avec seulement deux buts de retard à la pause, mais là, il n’y a plus eu de match, considérait Yusuf Arslan, l’entraîneur visiteur. On ne sait pas jouer en bloc défensif, donc j’assume complètement notre façon de jouer. Mais, aujourd’hui, il n’y a aucune fierté parce que l’on est compétiteur avant tout. »

La voie d’un succès contre Yzeure ?

Et l’addition, au final, s’est révélée salée, puisque Perrin, qui a bonifié un service en profondeur de Noro d’un enchaînement contrôle de la poitrine – volée croisée du gauche a clôturé une marque sévère (61 e). Toujours tenté d’aller de l’avant, Wittenheim a eu les jambes de plus en plus lourdes, le geste de moins en moins lucide. Le Racing pouvait songer à la suite, à un championnat où les points valent cher à force d’accumuler les nuls. Il faut espérer qu’en l’emportant largement face à Wittenheim, les Strasbourgeois ont entrevu la voie d’un succès contre Yzeure, samedi prochain.
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Re: 7ème tour CDF : Strasbourg / Wittenheim - 6/0

Message par Its_me »

L'Alsace a écrit :La marche était trop haute face au Racing Strasbourg

Sérieux du début à la fin hier à la Meinau, le Racing a facilement validé contre l’Honorable Wittenheim son billet pour le 8 e tour de la Coupe de France (6-0). Pour des Haut-Rhinois qui n’ont jamais refusé le jeu, c’est la fin de l’aventure.

On est à quelques minutes du coup d’envoi hier. François Keller constate, un brin désolé, que la Meinau sonne le creux et s’en inquiète un peu. « Pour nous, c’est plus dangereux de jouer ici qu’à Wittenheim où nous aurions davantage été sur nos gardes dans un stade plein et une ambiance plus hostile. J’ai alerté mes joueurs sur ce danger. À eux de faire le job. »

Le coach du Racing Strasbourg a vite été rassuré : ses hommes ont reçu son message cinq sur cinq. Si clair d’ailleurs qu’ils avaient déjà inscrit cinq buts à la pause, ôtant toute illusion à des Wittenheimois jamais ridicules, malgré l’ampleur du score. Il faut dire que les Bleus ont fait preuve dans ces 45 minutes initiales d’une insolente réussite. Celle qui les fuyait depuis quelque temps. Peut-être, sans faire injure aux Haut-Rhinois, parce que l’adversité n’était pas la même.

En 17 minutes déjà, les partenaires de Ludovic Golliard avaient envoyé au fond leurs deux seules occasions. D’abord sur un penalty provoqué par Noro sur une faute indiscutable du capitaine de l’USW, Soufyen Chaali, et transformé sans état d’âme par Julien Perrin pour son 11 e but officiel (13 e). Ensuite sur un centre millimétré de Pinaud pour la tête croisée de Ledy, auteur de son 9 e but 2012-2013 (17 e).

Même à 0-2, les joueurs de Yusuf Arslan continuèrent toutefois à jouer au ballon, cherchant plus à construire qu’à détruire. Mais ils connurent un trou d’air fatal en fin de première période, avec trois nouveaux buts encaissés en trois minutes. Noro inscrivit le 3 e de la soirée en enveloppant une frappe du gauche dans le but déserté par un Campanello qui venait de mettre Sichi en échec (42 e). Sur un corner du stratège du RCSA frappé de la droite, Martin sauta plus haut pour placer sa tête dans le coin droit (44 e), avant que Ledy, d’une volée du gauche sur un caviar de Perrin, ne signe son 10 e but, le 7 e en Coupe de France (45 e).

« Pas su leur poser des problèmes »

Jusqu’au bout, les Wittenheimois, dont les chaussettes se faisaient pourtant de plus en plus lourdes, firent honneur à leur maillot. Mais pour le Racing, la gestion de la 2 e mi-temps fut évidemment tranquille. Il se contenta d’ajouter un 6 e but. Sur une énième ouverture de Noro, Perrin enchaîna un contrôle de la poitrine et une demi-volée croisée du gauche aussi parfaits l’un que l’autre (61 e).

Le ballon devint alors de plus en plus insaisissable pour des Honorables sèchement battus, mais pas déshonorés. Par Ledy, Binder, Sichi et Guignery, le RCSA aurait encore pu alourdir l’addition. Ç’eut été très dur pour une USW méritante, mais dont le coach estime qu’elle n’a pas respecté son plan de jeu. « Strasbourg a marqué sur ses points forts, le surnombre sur les côtés, alors que nous avions travaillé spécifiquement là-dessus. On a pris les deux premiers buts trop vite et on en a encaissé trois autres en trois minutes avant le repos. En 2 e mi-temps, il fallait rester digne. On a proposé quelque chose de cohérent. Mais après une défaite, on est toujours déçu, encore plus lorsqu’elle est aussi large. Nous n’avons pas su poser de problèmes à notre adversaire. »

François Keller ne s’en est pas plaint. « Mes joueurs ont fait le boulot. Ils ont été sérieux. Les Wittenheimois méritent toutes les félicitations. Même pressés et largement menés, ils n’ont jamais balancé. Mon souhait pour le prochain tour ? Je rêve d’un tirage qui nous permettrait de passer en 32 e, c’est tout. »

Avant le 8 e tour les 8 et 9 décembre, le Racing aura de toute façon d’autres chats à fouetter en CFA. Et ceux-là (Yzeure, Sarre-Union) seront sûrement moins faciles à domestiquer.
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