[06/07] 16ème CDF : RCS / Lille : 2-3

L'actualité du Racing dans les coupes nationales
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Kriskool
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Message par Kriskool »

Un retourné raté c'est tellement plus flagrant pour un footix de journaliste, que des interceptions manquées de Deroff sur les deux premiers buts Lillois....
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fan_racing
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Message par fan_racing »

Mon top :

:D :D :D Gasmi
:D :D Cohade
:D Abou

Mon flop :

:evil: M'Bodji

Les autres :

Puydebois : ne peut rien faire sur les buts, rassurant par ailleurs.
Deroff : Match correct, ne peut suffisamment dévier la balle sur le 2e but lillois, un peu à  la ramasse sur le premier ... Deuxième mi-temps très convainquante :)
Bellaïd : rien à  dire, là  quand il faut, aurait presque mérité d'être dans le top 3, même s'il n'a plus eu grand chose à  faire en seconde période.
Strasser : Excellent dans les duels aériens, mais trop lent contre les attaquants lillois. La vitesse de Mirallas l'a laissé sur place :?
Yachir : du moins bon et du bon, surtout en fin de match. Bonne percussion sur son côté.
Camadini : correct dans l'ensemble, vraiment pas génial en 1ère période si ce n'est sa frappe à  l'entrée de la surface qui aurait pu faire mouche.
M'Bodji : absent des débats ce soir, a parut "fragile" physiquement, peu de ballons exploitables à  se mettre sous la dent, mais surtout un placement très approximatif :?
Gameiro : en difficultés aussi en début de match, a encore eu moins de ballons que M'Bodji me semble-t-il, mais s'est rattrapé comme on le sait par la suite.

Sinon par ailleurs, j'ai bien aimé l'entrée de Mathlouthi :)
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Keating
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Message par Keating »

fan_racing a écrit :Bellaïd : rien à  dire, là  quand il faut, aurait presque mérité d'être dans le top 3, même s'il n'a plus eu grand chose à  faire en seconde période.
Strasser : Excellent dans les duels aériens, mais trop lent contre les attaquants lillois. La vitesse de Mirallas l'a laissé sur place :?
En même temps sur le 2ème but, c'est Bellaïd qui rate son interception et c'est pour ça que Miralas peut filer au but, c'est logique que Strasser ne parte pas tout de suite ... et après c'est sûr que pour rattraper ...
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NéRiK
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Message par NéRiK »

C'est clair. D'ailleurs, j'avais l'impression que c'était un des plus mauvais match de Bellaid. Sans plus.

Kriskool a écrit :Un retourné raté c'est tellement plus flagrant pour un footix de journaliste, que des interceptions manquées de Deroff sur les deux premiers buts Lillois....
C'est dingue comment ils descendent Abou, alors qu'on entend rien toute l'année sur les conneries et les points perdus à  cause de Deroff :shock:
Ca me tue quand meme, vive l'injustice. :evil:

Abou a quand meme fait un bon match. Offensivement c'était vraiment pas mal, defensivement, il est un peu fautif sur le 3e but et sur son retourné raté, mais dans l'ensemble ca va. C'était quand meme Lille en face. J'aurais bien aimé voir ce gros steak de Vergerolle face à  Keita... :twisted:
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
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calim3ro
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Message par calim3ro »

Bon j'ai pris quelques photo du match :

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Elle ne sont pas de tres bonne qualité.. mais bon ... :D
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argueti
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Message par argueti »

Merci

Avec le temps de merde de hier soi c'est deja pas mal !

Sinon voici quelques buts :

0-1 Audel
2-2 Gameiro
2-3 Cabaye

Admirez le 2-3 completement pourri ... :cry:
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argueti
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Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Un Racing de combat

Mené 2-0 par un LOSC de calibre européen, le RCS a su revenir au score hier à  la Meinau en 16e de finale, avant de céder à  un quart d'heure de la fin et de dire adieu à  la Coupe de France (2-3). Sa farouche résistance est porteuse d'espoir.

Le Racing espérait toucher la terre promise en voyant approcher Lille du côté de la Meinau. Le temps d'une mi-temps, il a pourtant cru hier soir en 16e de finale de Coupe de France qu'il ne toucherait pas terre du tout contre des Dogues lillois transformés en pitbulls et qui, dès les premiers instants, n'ont cessé de lui mordre les jarrets. Car en cette pluvieuse soirée alsacienne, les Dogues en question n'ont effectivement pas attendu pour apposer leur grosse patte sur ce 16e. On joue depuis quelques secondes et les coéquipiers de Pascal Camadini, capitaine d'un soir, savent déjà  à  qui ils vont avoir à  faire. Claude Puel a pourtant laissé Odemwingie, Bodmer et Youla à  la maison. Lille prouve à  ceux qui en douteraient – mais qui en doute ? - qu'il n'est pas un huitième-de-finaliste de Ligue des Champions de pacotille. En deux coups de cuiller à  pot, les partenaires de Tafforeau vont voler dans les plumes de cigogneaux alsaciens un peu tendres. A la 27e, Audel décroise de la tête un centre millimétré de Keita et place le ballon hors de portée de Puydebois. Moins de 120 secondes plus tard, une hésitation entre Bellaïd et Strasser sur une ouverture de Tafforeau profite à  Mirallas qui s'en va ajuster le portier bas-rhinois comme à  la parade (28e). A 2-0, personne ne donne bien cher des chances d'un Racing qui, comme souvent, doit s'en remettre aux coups de pied arrêtés pour inquiéter Malicki. Sur deux corners de Cohade, Bellaïd du pied d'abord (35e), Strasser de la tête ensuite (53e) mettent le gardien lillois à  contribution.

Gasmi et Gameiro, les détonateurs

Quelques minutes après la pause, l'évidence s'impose tout de même : le Racing a, à  la fois, hissé le rythme et son niveau de jeu. A l'image d'un Gasmi qui, sur un coup franc certes (50e), éprouve la vigilance de Malicki. La seconde tentative du milieu gauche du RCS sera la bonne. A la 57e, il place une frappe en pivot du droit, de l'entrée des 16 m, hors de portée de la doublure de Tony Sylva. Requinqué par ce but, le RCS appuie encore sur l'accélérateur. Et il va faire chavirer la Meinau de bonheur lorsque Kevin Gameiro se jette comme un mort de faim sur un centre de Cohade. La tête plongeante de l'attaquant de poche, qui finit sa course à  l'intérieur du petit filet opposé, rétablit une parité sur laquelle pas grand-monde n'aurait misé un kopeck à  la pause (67e). Gameiro, encore lui, va même rater d'un cheveu le « crime » parfait en manquant sa reprise sur un centre dévié de Yachir (73e). Lille, qui semblait si sûr de sa force en première période, est ballotté. Mais les Dogues ne sont jamais aussi dangereux que lorsqu'ils sont blessés. Et les Strasbourgeois vont, malheureusement pour eux, le vérifier à  leurs dépens à  l'entame du dernier quart d'heure. Mirallas, laissé sans surveillance sur le côté droit, centre en retrait pour Cabaye, entré en jeu un peu plus tôt, dont la reprise au point de penalty, légèrement déviée, redonne l'avantage aux Lillois (75e). Le coup est rude pour un Racing dont la débauche d'énergie est soudain réduite à  néant. Mais les Bleus relèvent la tête. Une volée de Gameiro (89e) et une nouvelle frappe du décomplexé Gasmi (90 + 1) illustreront jusqu'au bout l'abnégation alsacienne. Le navire Racing a tangué durant 45 minutes, mais n'a jamais coulé. Mieux même, il s'est remis à  flot, avant, c'est vrai, de rester à  quai. Mais cette élimination lui a enfin permis de démontrer qu'il est sans doute armé pour voguer vers une autre terre promise, la L1. A condition de garder le cap.

« Du caractère et de l'orgueil »

Jean-Pierre Papin (entraîneur du Racing) : « Nous ne sommes pas habitués à  nous faire rentrer dedans comme les Lillois nous ont rentré dedans en 1re période. Nous avons pris un 1er but alors que nous commencions à  sortir la tête de l'eau, puis un second tout de suite après. J'avoue que je nous ai crus coulés à  un moment. Mais au contraire, les joueurs ont montré qu'ils avaient de l'orgueil. Et il s'en est même fallu d'un rien que nous ne réalisions l'exploit lorsque Gameiro a raté d'un cheveu le 3e but. Nous devons nous servir pour la suite du championnat de ce que nous avons réalisé aujourd'hui (hier).»

Claude Puel (coach du LOSC) : « Nous avons réussi une très belle 1re mi-temps. Mais en 2e période, au lieu de continuer à  presser haut, nous avons défendu sur les talons. Les Strasbourgeois, eux, sont très bien rentrés dans cette 2e mi-temps. Ils ont joué leur va-tout, poussé et inscrit deux buts magnifiques dans leur conception. Ils se sont remis en confiance. Mais quelque part, en égalisant, ils nous ont obligés à  repartir de l'avant. Cette qualification dans une Coupe de France qui reste l'un de nos objectifs est tout bénéfice. »

Nicolas Puydebois (gardien du RCS) : « Les Lillois ont été d'une redoutable efficacité. Mais alors qu'ils menaient 2-0, nous avons montré de l'orgueil. L'an dernier, dans une telle configuration, nous aurions coulé. Là , notre réaction prouve que nous avons du caractère, que cette équipe à  une âme et de la qualité. »

Stéphane Godin
DNA a écrit :La tête haute

En réussissant le K.-O. en deux minutes, le LOSC pensait avoir rendu facile son 16e de finale de Coupe de France. Mais le Racing égalisa à  2-2, avant de finalement céder sur un but de Cabaye.

« Une qualification pourrait servir de déclic, de prise de conscience collective pour prouver aux joueurs qu'ils sont capables de renverser des montagnes. C'est un gros match à  jouer pour eux, mais c'est un grand match aussi à  vivre pour le public. » Ainsi parlait Jean-Pierre Papin avant la rencontre. Et si le public n'avait pas complètement répondu présent (le LOSC, malgré son parcours en Ligue des Champions, n'a pas l'aura du PSG ou de Monaco, moins bien classés en L1, mais plus "vendeurs"), le kop était quant à  lui bondé comme aux plus belles heures.

Comme à  Metz, au tour précédent, le LOSC a su trouver la faille

De son côté, le LOSC prit d'abord la température, avant de commencer à  déployer son jeu. Une meilleure maîtrise technique et une bonne utilisation des espaces lui permit de contrôler les opérations. A ce petit jeu, Makoun et Keita se montraient les plus inspirés et le Racing, qui n'avait pas emballé ce match comme il aurait dû le faire, se laissa surprendre en l'espace de deux minutes. Un double coup d'assommoir signé Audel de la tête pour sa première titularisation depuis le début de saison, puis Mirallas qui gagna son duel avec Puydebois. Et, au passage, on saluera le flair de Claude Puel qui avait confié les rênes de l'attaque à  ces deux joueurs, préférant laisser au repos Odemwingie et Bodmer en prévision du match de championnat mercredi contre le PSG. 0-2 en 120 secondes, le LOSC avait fait l'essentiel du boulot. Comme à  Metz, au tour précédent, il avait su trouver la faille pour gérer ensuite la rencontre en s'appuyant notamment sur un gros collectif, une solidarité de tous les instants et un vécu en Ligue des Champions. On se dit alors que plus rien ne pouvait arriver à  l'équipe nordiste. Car à  côté de cela, le Racing n'avait que quelques bribes de révolte à  offrir.

Un Racing en culottes courtes avec l'attaque de la Gambardella

Changement de décor radical en revanche après la pause quand le Petit Poucet décida enfin de chausser ses bottes de sept lieues. Et lorsque Romain Gasmi expédia une frappe finement ciselée dans le coin gauche de Malicki le combat changea d'âme. Le Racing se mit à  croire en sa bonne étoile. Il redevint enthousiasmant, conquérant. Et fit vaciller le LOSC de son piedestal grâce à  cette égalisation signée Gameiro. Et cette équipe strasbourgeoise en culottes courtes avec l'attaque de la Gambardella de la saison dernière (Mathlouthi, Gasmi, Gameiro) en fit voir de toutes les couleurs aux Nordistes. Mais alors qu'on pouvait penser que tout allait basculer en faveur du 3e de Ligue 2, Cabaye qui venait de rentrer, fit respecter la hiérarchie. Les Strasbourgeois quittaient la Coupe de France la tête haute et pouvaient savourer l'ovation du kop. Une bonne bouffée d'oxygène, malgré la défaite, qui sera bien utile pour la suite du championnat. « On espérait croquer le gros, mais Lille était trop fort, expliquera Jean-Pierre Papin. C'est comme ça en foot. Si on n'est pas rigoureux pendant 90', on perd. Mais on a été enthousiastes et généreux. Et puis, le principal, ça reste le championnat et Niort. »
Patrick Schwertz
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silex57
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Message par silex57 »

Pour ma part je pense que c'était ce qui pouvait arriver de mieux au racing le mtahc d'hier. Se faire sortir c'est bien ça va éviter de jouer sur deux fronts et de toute façon on aurait pas gagné à  la fin. Et la physionomie du match a été parfaite. Une première mi temps pour faire comprendre aux joueurs et notamment à  ceux qui risquaient d'avoir la grosse tête qu'ils sont encore loin du compte.

la seconde mi temps pour d'une part leur montrer qu'en jouant en groupe on peut faire de grandes choses et que à  ce niveau là  il faut rester dans le match à  100%. Bref parfait.
Mon top 3 :
Camadini, pour moi c'est lui qui a lancé la révolte on l'a beaucoup vu monter, tacler etc ...
Gasmi pour son but et son envie
Abou pour sa réaction d'orgueil après un si long temps mi à  l'écart.
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.
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Bou
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Message par Bou »

Bien sur j'aurai préféré qu'on se qualifie, mais une telle défaite donne confiance tout en gardant la tête froide. Car en cas de victoire, cela ne m'aurait guère étonné qu'au match suivant les joueurs se sentent supèrieurs et se contentent de jouer en pensant que ça va venir tout seul. Je sais pas si ce que j'essaie d'exprimer est clair, mais bon...
Je vais te manger !!! (pompompom....)
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Message par Seb T. »

Une belle sortie, ne nous trompons pas d'objectif, nous n'en avons absolument pas les moyens... Cette année, on joue la montée point barre...
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
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