[06/07] 32ème CDF : Ajaccio GFCO / RCS : 1-2

L'actualité du Racing dans les coupes nationales
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anonix
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Message par anonix »

:P

Pourtant y a une différence quand même.. de 16m je dirais !
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fan_racing
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Message par fan_racing »

Arf, c'est la marge d'erreur ^^
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Kriskool
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Message par Kriskool »

enzy a écrit :Ben avec l'effectif actuel, on va pas faire long feu en L1 si on a la chance d'y retourner ça c'est sur ;) .
Quand je lis que si on ne monte pas avec cet effectif, JPP doit sauter, ça me fait bien rire.
Quand on regarde le 11 de base hier à  Ajaccio, faut vraiment chercher pour trouver des joueurs qui auraient le niveau de la L1.
Un effectif ne se juge pas sur la quantité mais sur la qualité et hormis Metz et Caen, je ne vois pas en quoi le notre serait meilleur que celui de Bastia, Le Havre, Dijon, Amiens voir Châteauroux.

On a gardé des joueurs qui n'ont pas su se maintenir la saison passée en L1 et pas les meilleurs (Deroff, Lacour..), et on est venu rajouter des joueurs qui n'ont jamais évolué en L1 (Kantari, Ekobo, N'Diaye, Vergerolle, Perbet, Yachir), d'autres qui n'ont qu'un petit vécu en L1(Cohade, M'Bodji), et des bulgares qui évolaient dans un championnat qui vaut à  peine notre L2.

Et avec ça, le raçing devrait monter facilement, c'est franchement surestimer la valeur de notre effectif.
Regarde les autres effectifs de l2, c'est pour ça que je dit que si on ne monte pas c'est pas normal...
Apres j'ai pas dit qu'on avait le niveau l1, on est meme loin de l'avoir...
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Its_me
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Message par Its_me »

Faudra qu'on m'explique comment est fait le terrain là  bas ... si on regarde bien la vidéo on remarque que le terrain est au même niveau que ... le toit du magasin Champion qu'il y a juste derrière :shock:
Quand on voit la hauteur des plafonds dans les centres commerciaux, ça fait bizarre de s'imaginer ça.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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Keating
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Message par Keating »

DNA a écrit :Toujours un doute

Les Strasbourgeois peuvent savourer leur qualification en 16es de finale de la Coupe de France. Mais ils n'ont pas franchement rassuré en s'imposant très laborieusement sur le terrain du Gazélec d'Ajaccio.

« On n'a pas cherché le beau jeu, on n'a pas même pas cherché à  jouer, on a juste cherché à  gagner », résumait Papys M'Bodji samedi, après le coup de sifflet final.
Sûr qu'en Coupe de France, seule la qualification compte. L'élimination contre Lyon-la-Duchère, l'an dernier, avait laissé des traces. L'épisode est désormais clos. Et depuis hier matin, le Racing est bel et bien en 16es de finale.
Mais sa prestation sur le terrain de Mezzavia n'a pas levé les interrogations sur la qualité de jeu d'une équipe qui avait fini le mois de décembre en dents de scie, en grappillant les points sans vraiment briller.
Comme d'habitude, serait-on tenté de dire, les Strasbourgeois ont dû compter sur un coup de pied arrêté pour débloquer une situation mal engagée. Avant cette percée de Cohade, peu après la 50e minute de jeu, on ne peut pas dire que le Racing se soit montré dangereux. Les joueurs du Gazélec, « plus agressifs » comme le souligne d'ailleurs le milieu récupérateur, ont monopolisé le ballon.
Une seule occasion franche est à  mettre à  l'actif des Strasbourgeois en première mi-temps. M'Bodji et Rangelov se sont ensuite réveillés, mais de manière trop brouillonne pour être efficace.
Un peu maigre face à  une équipe d'Ajaccio courageuse, mais qui se traîne tout de même à  la 15e place de sa poule de CFA. Plus inquiétant, les Beneforti et Traoré ont plus que bousculé une défense du RCS réputée pour être solide. Strasser, Vergerolle et Deroff ont souvent semblé à  la limite de la rupture en début de partie. « On s'est bien fait bouger », reconnaît Bellaïd.

Inquiétante aussi cette fin de match où un Gazélec réduit à  9 réussit à  trouver l'ouverture. Puis est même à  deux doigts d'arracher la prolongation dans les dernières secondes sur un superbe tir de Keita.
Et le RCS peut remercier Alexandre Castro. « Il ne s'est pas dégonflé », lance JPP. C'est le moins qu'on puisse dire. L'arbitre a sifflé faute sur faute à  l'encontre du GFCOA, au grand dam des supporters corses. « Les cartons nous ont bien aidés », reconnaît volontiers Kevin Gameiro.
Pour tempérer ce bilan quelque peu mitigé, JPP rappelle qu'il manquait tout de même « 5 à  6 titulaires habituels ». Sûr que la technique d'Abdessadki, la science de Camadini et l'impact physique de Tum ont manqué au Racing. Mais ces absences n'expliquent pas tout.
Les joueurs, eux, préfèrent évoquer la fatigue à  l'issue d'une semaine de stage vouée à  la préparation du match de championnat face à  Montpellier. « On a beaucoup bossé cette semaine, souligne Habib Bellaïd, on sentait en début de match qu'on avait les jambes lourdes. »
Même son de cloche du côté de Nicolas Puydebois : « On a fait un lourd travail physique ».

Restent tout de même quelques éléments de satisfaction. A commencer par le réveil de Gameiro, auteur d'un but qui a eu le mérite de mettre son équipe à  l'abri. « J'ai eu des moments de doute, c'est normal après une blessure. Mais ce but me donne confiance et j'espère que ça va continuer en championnat », explique le jeune attaquant.
Positives aussi les « piges » des habituels remplaçants. Eugène Ekobo a sobrement tenu sa place aux côtés de Lacour et Nicolas Puydebois a prouvé que son talent dans les buts était intact.
Oh oui, l'impact physique de Tum a manqué :roll:
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Message par urotsukidogi »

Ah ça c'est pas la science de Tum ou l'impact physique de Camadini qui nous ont manqué c'est sur!!
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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argueti
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Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Rien de neuf pour l'An Neuf

S'il s'est qualifié pour les 16es de la Coupe de France samedi à  Ajaccio face au GFCOA, 15e de CFA (2-1), le RCS n'a, une fois de plus, pas maîtrisé son sujet.

Le Racing a donc débuté 2007 comme il avait fini 2006 : par une victoire, mais surtout sur une impression mitigée. Le 21 décembre, pour son au revoir avec 2006, il avait péniblement vaincu Amiens sur une bourde du gardien picard Cyril Merville (1-0). Avant-hier à  Ajaccio, pour son premier rendez-vous de la nouvelle année, il est passé par un trou de souris pour sortir du piège tendu par un vaillant GFCOA (2-1). Il y a quelques années de cela, l'ancien grand attaquant international anglais Gary Lineker avait coutume de dire, pour souligner l'incroyable propension de la « Mannschaft » à  répondre présent dans les grandes compétitions : « Le football est un jeu qui se joue à  11 contre 11 et à  la fin, ce sont toujours les Allemands qui gagnent. » Longtemps, ce samedi à  Ajaccio, les observateurs ont cru que cette maxime pouvait une nouvelle fois être transposée au Racing 2006-2007. « Le football est un jeu qui se joue à  11 contre 11 et à  la fin, c'est toujours Strasbourg qui gagne sur un penalty de Cohade. » Car une fois encore, l'équipe de Jean-Pierre Papin a dû s'en remettre à  un penalty de l'ex-Bordelais pour débloquer un match au cours duquel elle avait jusque-là  passé son temps à  serrer sa garde et, accessoirement, les fesses. La tournure des événements lui a ensuite donné un joli coup de pouce, avec l'expulsion du défenseur corse Zakari et l'obligation pour les insulaires de se découvrir pour égaliser. Kevin Gameiro en a profité pour retrouver le chemin des filets, deux mois après son seul et unique but de la saison contre Istres (2-0 le 3 novembre). Mais même à  2-0 et 11 contre 9 après le rouge reçu par le capitaine ajaccien Cristofari, les Alsaciens ont ramé. Témoin la réduction du score signée Traoré à  la 83e et cette ultime frappe de Keita dans les arrêts de jeu qui n'a pas fait trembler que l'extérieur du petit filet de Nicolas Puydebois.

D'incessants ajustements

Au final – et c'est peut-être tout ce qui compte – le Racing s'est tout de même sorti sans dommages du traquenard de Mezzavia. Mais il a tâtonné durant 90 minutes pour éviter les chausse-trappes corses. A preuve les multiples remaniements tactiques opérés par un Jean-Pierre Papin visiblement peu satisfait. Yachir, qui avait débuté comme milieu gauche, est vite revenu à  droite, avant de quitter la pelouse sur blessure à  la 24e. Cohade, d'abord aligné à  droite, a ensuite évolué comme meneur axial. Rangelov, initialement positionné second attaquant dans un schéma en 4-4-2, a ensuite glissé à  gauche avec, au passage, quelques incursions à  droite. Une mission à  géographie variable qui n'a pas aidé le Bulgare. M'Bodji, titularisé avant-centre, a vécu la seconde période sur le flanc droit après le passage en 4-2-3-1. Il y a placé quelques accélérations chaloupées qui n'ont pas été sans rappeler un certain Amara Diané. Enfin, Gameiro, cantonné au couloir droit à  son entrée à  la place de Yachir, a évolué comme pointe unique en seconde période. Des ajustements incessants qui s'expliquent autant par le manque de repères des éléments offensifs (Rangelov, Gameiro et les deux nouveaux venus Yachir et M'Bodji) que par l'absence de certains cadres. « Les forfaits d'Abdessadki, Tum et Mouloungui ont pesé », assure JPP. Avant comme après leur pénible qualification à  Ajaccio, les Strasbourgeois affirmaient avoir surtout travaillé lors du stage à  Hendaye en vue du déplacement à  Montpellier dimanche. « On gagne à  l'extérieur en Coupe face à  des équipes de CFA, mais c'est en L 2 qu'il faut s'imposer hors de nos bases », martelait JPP à  la sortie du stade Ange Casanova. On verra à  la Mosson si le lourd travail foncier consenti au Pays basque produit les effets escomptés.

Yachir va mieux

Sorti sur une civière à  la 24e avant-hier à  Ajaccio, avec une cheville gauche très enflée, le milieu droit du Racing, recruté il y a une dizaine de jours, allait beaucoup mieux hier matin. Alors que l'encadrement médical craignait à  chaud une entorse sérieuse pour l'ancien Montpelliérain, celui-ci pourrait finalement avoir été victime que d'un violent coup. Il passera une échographie aujourd'hui pour confirmer ce diagnostic. « Il ne se souvient pas que sa cheville ait tourné », indique le médecin du club Dany Eberhardt, « et elle était ce dimanche moins enflée que la veille. »

Viril, mais correct

Jean-Pierre Papin a stigmatisé avant-hier avec une véhémence non dissimulée l'agressivité des Ajacciens à  Mezzavia. « L'arbitre ne s'est pas dégonflé (Ndlr : il a expulsé deux Corses), mais il n'a pas tout vu », ne décolérait-il pas après la rencontre. La violence insulaire n'a pourtant pas sauté aux yeux. Certes, les hommes de Leonetti n'ont pas lésiné sur leur engagement physique, mais sans jamais recourir aux attentats qui ont cours en Corse ailleurs que sur les terrains de foot. Ils n'ont livré rien d'autre qu'un vrai match de Coupe. La blessure de Yachir est d'ailleurs intervenue sur un fait de jeu.

Une défense à  l'arrêt

Alors qu'il menait 2-0 et évoluait à  11 contre 9, le Racing a encaissé à  la 83e un but qui a failli tout remettre en cause. « Sur l'action, nous avons tous estimé Traoré hors-jeu et toute la défense s'est arrêtée », justifie Habib Bellaïd, « et quand nous avons constaté que l'arbitre assistant ne levait pas son drapeau, il était trop tard. »

Stéphane Godin
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Nico
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Message par Nico »

@ uro et Keating : Tiens c'est marrant j'me suis fais la même remarque en le lisant à  midi ! :lol:
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