[06/07] 8ème Tour CDF : RCS / Ostwald : 6-0

[D520]

le public est souvent composé en tribune nord de pas mal de retraités ou de quincagénaires, et ces types là  sont souvent extrèmement dur avec le racing !!!
ils ont tous en "mémoire" les années fastes du racing et critiquent l'équipe à  la première passe ratée.
j'étais 2-3 ans en tribune nord et mes voisins se comportaient souvent comme cela.

[FM17]

Dans une dizaine d anneés tu les rejoindras dans cette tribune alors... et j arriverai quelque temps apres....

[D520]

Dieu me préserve de leur intransigeance !!!
non pitié je ne veux pas finir comme cela !!

[FM17]

je parlais surtout de ton âge...

[D520]

aussi
tu n'as pas vu à  quoi ils ressemblaient physiquement.

[argueti]

Sans l'ombre d'un doute

En dix minutes, le Racing a levé tout suspense grâce à  un triplé de Hervé Tum rendant facile un match qui l'était déjà  sur le papier.

RACING 6
OSTWALD 0

Stade de la Meinau. Mi-temps : 4-0. Temps clément, pelouse un peu grasse mais en bon état. Arbitre : M. Husset. 5 238 spectateurs. Buts pour le Racing : Tum (2e, 4e, 10e). Johansen (38e), Gameiro (55e), Perbet (72e).
RACING : Puydebois - Ekobo, Devaux, Strasser, Vergerolle (Kantari, 61e) - Lacour, Johansen, Abdessadki, Mouloungui - Tum (Perbet, 46e), Gameiro (Mathlouthi, 61e). Entraîneur : Jean-Pierre Papin
OSTWALD : Stamm - Mai, Coffre, Zaguiri, Driouach (Metral, 14e) - Heidelberger, Michel (Taleb 57e), Fotse, Klotz - Kléber (Saïd, 78e), Banni. Entraîneur : Patrick Malaisé.

Ils se sont échauffés juste en face de leur kop. « Ostwald, Ostwald », répliquaient les gamins à  chaque toucher de balle. « Cette Meinau, c'est quand même impressionnant », relevait Philippe Michel, le capitaine en quittant la pelouse. Impressionnante, l'entame de match du Racing allait l'être aussi. Dés la 2e minute, Tum trouvait l'ouverture, puis 120 secondes plus tard l'attaquant camerounais doublait la mise profitant d'un déboulé de Mouloungui qui avait évité les tacles de Coffre et Zaguiri sur son aile gauche. Le rêve était déjà  brisé pour les amateurs du FC Ostwald qui espéraient tenir le plus longtemps possible, histoire de semer un peu le doute dans les têtes strasbourgeoises encore migraineuses après le 4-1 encaissé à  Metz.

« Tous les matches sont à  gagner »

Mais Tum, décidément en confiance et en réussite se fendit d'une volée du gauche sous la barre pour un 3-0 dès la 10e minute. Un score qui comblait Jean-Pierre Papin qui avait demandé à  ses joueurs de plier l'affaire en vingt minutes. « Chaque match est un nouveau match. Et celui là  comme tous les autres est à  gagner », avait martelé l'entraîneur du Racing avant le coup d'envoi. A ce moment, on pouvait craindre l'avalanche pour les pensionnaires d'Excellence qui se remirent néanmoins dans le bon sens de la marche grâce notamment à  Damien Kléber qui n'attrapa point le cadre (36e) et dont le centre fuyant obligea Puydebois à  sa première intervention de la soirée (42e). Et même si un coup de patte de Johansen avait donné entre temps plus d'ampleur au score, le FCO montrait enfin un visage de Coupe en cette fin de première mi-temps. Mais dès la reprise, le Racing appuyait sur l'accélérateur. Stamm s'illustrait sur une tentative de Mouloungui avant de s'incliner sur une frappe en lucarne de Gameiro (55e). Le gardien d'Ostwald veillait encore au grain sur des essais de Kantari (65e), Johansen (68e), mais devait s'avouer vaincu une sixième fois sur un but de Perbet (72e) qui eut le temps de se retourner pour ajuster sa frappe. 6-0, le Racing a rempli son contrat préparant idéalement la venue d'Amiens, jeudi en Ligue 2.

Patrick Schwertz

Michel, six de coeur

C'est un samedi un peu plus particulier que les autres qu'a vécu Philippe Michel, le capitaine du FC Ostwald. Fier de son brassard, de son club et de son équipe qui a tenté d'exister face au Racing. Avec courage et un coeur grand comme ça.

« Je suis heureux, j'ai un sourire de gamin ! Regardez mes yeux ! » Pour un peu, on pourrait croire que Philippe Michel, le capitaine du FCO, a une tête de vainqueur. Ce n'est pas le cas. Mais jamais, une quelconque once de déception ne transparaît dans ses paroles. Ah, si, quand même, ces premières dix minutes... « J'ai eu peur, reconnaît-il, avec le maillot d'Abdessadki sur le dos. Il ne fallait surtout pas que je baisse la tête. On peut avoir des regrets sur le début de partie. Le ballon nous brûlait les pieds. On a été un peu écrasés par l'événement et le Racing nous a tout de suite pris à  la gorge ». Au final, un 6-0 qu'il qualifie joliment de « correct ». Et toujours ce sourire de gosse. Parce qu'il est comme ça, Philippe Michel qui aurait pu s'offrir un 32e de finale pour Noël et ses récents 32 ans. Demain matin, il retrouvera son travail à  Benfeld à  la Socomec. Monteur-câbleur, il assemble des coffrets électriques. Hier, il a essayé de démonter le jeu du Racing. En vain. Avec son n°6 dans le dos, « Philou » a quadrillé le terrain. Dans l'axe, en avant, en arrière ou sur sa ligne de but quand le Racing jouait un corner. « Ça fusait de partout, raconte-t-il. Leur vitesse d'exécution est impressionnante. Dès qu'on récupérait un ballon, on n'avait pas le temps de construire. A un moment, on a choisi de défendre en zone pour courir un peu moins. Et ben, on a couru autant ! » Dans ses courses, il a croisé Abdessadki, Lacour et Johansen, ses alter-egos au milieu de terrain. En 2e mi-temps, quand Ostwald peut enfin faire du jeu, il a des coups francs à  négocier et se retrouve même défenseur latéral pour stopper un contre du Racing.
A 4-0, il prend une soufflante de son entraîneur qui lui reproche un mauvais choix. A la 56e, il est remplacé par Said Taleb et donne son brassard à  Michael Heidelberger.

« J'ai passé un super moment ce soir »

Et après, c'est parti pour une belle fête dans le vestiaire avec chants et plongeon dans la piscine. C'est pas tous les jours qu'on a les honneurs du stade de la Meinau... « Le meilleur moment de cette soirée ? Il y en a eu tellement ! A l'échauffement déjà , quand on voit nos supporters et qu'on cherche des yeux l'endroit où se sont installés nos proches. Et puis j'ai vu la banderole où était écrit ''Allez capitaine Philou''. Tous ces petits trucs, il faut y puiser de la force. » Et puis, il a probablement pensé à  sa carrière. 19 ( !) saisons à  la FAIG depuis l'école de foot, un crochet par Mars Bischheim, un retour à  la FAIG puis l'arrivée au FC Ostwald où il joue depuis six ans. « C'est un souvenir en plus et franchement, j'ai passé un super moment ce soir, insiste-t-il. Le foot, c'est ma passion. A tel point que quand il n'y a pas de match le dimanche, c'est bizarre. » Aujourd'hui, il n'y aura pas de match. Philippe Michel, pour une fois, passera une journée paisible, la tête bien remplie de dizaines d'images de cette sacrée soirée où lui et ses copains ont mis tout le coeur qu'ils avaient.
La fête quand même...

L'esprit de fête dont s'étaient emparés les joueurs et supporters d'Ostwald a été vite étouffé par les trois buts du Racing en dix minutes. Qu'importe, le souvenir est là . Pour toujours.

A 16h30, quand les caisses du Racing ouvrent, il n'y a pas foule à  la Meinau. Sur la pelouse, les joueurs d'Ostwald prennent leurs repères. Certains vont « renifler » le quart de virage Nord-Ouest pour piocher, sans doute, de bonnes sensations. Vers 17h, la tribune sud commence à  se garnir. Les premières banderoles fleurissent : « Allez tonton ! ». Un peu moins poétique : le calicot où un canard vert (l'emblème du FCO ?) domine une cigogne à  terre. Le tableau d'affichage indique 11°. Et on se dit que la lettre W d'Ostwald n'a pas dû servir souvent au préposé... A 17h16, les joueurs du FCO investissent leur partie du terrain pour l'échauffement. Seuls devant leurs supporters, ce sont les rares minutes où ils seront vraiment à  leur aise. Les Racingmen arrivent dix minutes plus tard. Sous les sifflets, ce qui est probablement une première pour eux. Fidèle à  son habitude, Patrick Malaisé, le coach ostwaldois, a fait disposer ses plots désormais légendaires. Il y en a une bonne trentaine pour le petit match d'échauffement. A 17h50, Philippe Michel en tête, le FCO rentre aux vestiaires. Archi-habitué à  ce protocole, le Racing suit tranquillement le mouvement. Neuf minutes plus tard, les coeurs des amateurs de la banlieue strasbourgeoise battent très fort lors de l'entrée officielle. Les Ultra Boys envoient une sympathique banderole « Un seul vainqueur : l'Alsace ». La musique est forte, l'émotion aussi pour le FCO et pour « Bory » qui donne le coup d'envoi de la rencontre. Curieusement, la température monte d'un cran. On passe à  12°. Ostwald gagne le « toss » et a, le premier, la balle en sa possession. Un bon signe ? Hélas, non car les Blancs sont avalés tout crus en moins de dix minutes. A ce moment, à  l'extérieur du stade, il y a encore près de 400 personnes qui font la queue aux guichets. A 19h, le chiffre officiel tombe : 5 238 personnes suivent cette partie trop déséquilibrée. En deuxième période, les supporters du FCO se réveillent. Le Racing a desserré son étreinte et Ostwald peut (un peu) jouer. Les arrêts de Stamm provoquent des applaudissements, l'occasion de Klotz crée un frisson, mais la fête ne décollera jamais véritablement.

Christophe Schnepp

[Keating]

« Au bar, on sera les meilleurs »

JEAN-CHRISTOPHE DEVAUX (RACING) : « On a pris ce match très au sérieux. On a fait ce qu'il fallait face à  une équipe qui a joué le jeu. C'était un match plaisait, et les Ostwaldois nous ont donné du boulot défensivement. »
GINO COFFRE (DEFENSEUR OSTWALD) : « C'était très dur, trop dur pendant les dix premières minutes. On a essayé de tenir jusqu'au bout. C'est un grand bonheur d'avoir joué dans ce stade. On redevient supporter du Racing. »
WAHIB ZAGUIRI (DEFENSEUR OSTWALD) : « On savait que les Strasbourgeois allaient jouer vite, mais on ignorait que ça allait trop vite pour nous. Il n'y avait rien à  faire. On s'est bien amusé et on gardera un superbe souvenir de notre passage à  la Meinau. »
DAMIEN KLEBER (ATTAQUANT OSTWALD) : « C'était super cool. A la télévision, on a parfois l'impression que ce genre d'équipes joue lentement. Aujourd'hui, on sait que ça va très, très vite. Tu contrôles le ballon, t'as trois mecs sur toi. On a vu la différence de niveau. Mais on a pris du plaisir. »
LAURENT KLOTZ (MILIEU DE TERRAIN OSTWALD) : « Ça allait trop vite pour nous au début de la rencontre. On a été impressionnés par l'ambiance, le public. Dans les impacts, ce sont des monstres. Ils ont été fair-play en ne nous écrasant pas. Et puis, on a essayé de jouer. C'était vraiment sympa. On a des souvenirs plein la tête. Et si on n'a pas été les meilleurs sur le terrain, on le sera au bar. »

« Je suis fier
de mes joueurs

MICHAà‹L HEIDELBERGER (DEFENSEUR OSTWALD) : « C'était du vrai bonheur. On a été impressionné par l'environnement, c'est certain. On était content d'être là . A 3-0 après dix minutes de jeu, on a eu le mérite de ne pas baisser la tête. On n'a plus pris de but pendant 30 minutes. En deuxième période, on s'est réveillés. Après ce match, je ne suis pas du tout amer, mais heureux d'avoir pu jouer ici. »
PATRICK MALAISE (ENTRAINEUR OSTWALD) : « Notre victoire à  nous, c'est que le Racing nous a respectés. Quand on a été très vite mené 3 à  0, j'ai vu mes joueurs se comporter en vraie équipe. Ils n'ont pas baissé la tête. Pour ça, je suis très fier d'eux. (Il sourit). Et puis, finalement, on a pris deux buts de plus que le Racing à  Metz en jouant cinq divisions plus bas. »

SEBASTIEN STAMM (GARDIEN DE BUT OSTWALD) : « C'était magique, je me suis régalé. Ça fait plaisir de voir autant de monde. Ce n'était que du bonheur. On a tout donné. Finalement, malgré la défaite, on a passé une très belle journée, inoubliable. »

ANLI SAID (ATTAQUANT OSTWALD) : « C'était très dur. Mais, en venant au stade de la Meinau, on s'est offert un superbe cadeau de Noël. »

JAMES MAI (DEFENSEUR OSTWALD) : « Défendre sur Mouloungui, c'est pas facile : appels, contre-appels, vitesse, tout y passe. Je l'ai tellement retenu par le maillot que je lui ai demandé de me le donner à  la fin du match. Je le méritais, non ? Je suis heureux d'avoir pu disputer cette rencontre, j'ai des photos plein la tête. C'est un autre monde. Et le Racing a été très pro en alignant une équipe de titulaires. Ça fait plaisir. J'espère qu'on a donné une belle image de notre club. »

JEAN-PIERRE PAPIN (ENTRAINEUR DU RACING) : « C'est une victoire logique. On avait préparé un dispositif et inauguré un nouveau système offensif pour marquer beaucoup de buts et ça a été fait. On s'est rapidement mis à  l'abri. Nous nous sommes rendus le match facile et c'est une bonne chose. Ça restait tout de même un match de football et on a vu que Gueugnon a eu toutes les peines du monde à  battre une équipe de DH. »

[argueti]

Grillé

A la demi-douzaine

Un but après moins de deux minutes, un autre 120 secondes plus tard et un 3e à  la 11e\!: le RCS a vite brisé le rêve d'Ostwald hier à  la Meinau et s'est tranquillement qualifié pour les 32es de la Coupe de France (6-0).

Ils l'avaient tous clamé dans la semaine. Tenir, le plus longtemps possible : tel était le credo des Ostwaldois avant leur historique 8e tour de Coupe de France contre le Racing. Mais hier à  la Meinau, les Strasbourgeois n'ont même pas laissé l'occasion aux hommes de Patrick Malaisé de prolonger leur rêve. « Nous ne ferons pas de cadeaux », avait annoncé Jean-Pierre Papin. Les coéquipiers de Philippe Michel s'en sont aperçus avant même d'avoir eu le temps de dire ouf. Après moins de deux minutes de jeu, Hervé Tum avait déjà  ouvert le score. Moins de 120 secondes plus tard, le Camerounais remit le couvert. Et alors que le chrono n'affichait pas encore 11 minutes, il signa le coup du chapeau d'une frappe puissante du gauche sous la transversale, alerté par un Johansen qui en profita pour lancer lui aussi un petit festival personnel.
Les Ostwaldois venaient de vivre la pire des entames pour des footballeurs amateurs : dans une Meinau gentiment garnie (un peu plus de 5000 personnes), ils avaient été davantage spectateurs qu'acteurs. Comme étouffés par le contexte et l'environnement, plus que par l'enjeu, puisque pour eux, le seul enjeu était d'éviter une valise, pour garder un souvenir impérissable de ce premier et – probablement – dernier match à  la Meinau face au RCS. Heureusement pour eux, l'avalanche connut ensuite une accalmie. Juste avant le repos, seul Pascal Johansen se joua d'une défense naïve pour fusiller un Sébastien Stamm impuissant et ajouter un 4e but (39e).

L'occasion de Klotz

Le portier ostwaldois, absent des terrains depuis près d'un mois, fut pourtant le meilleur homme de son équipe et évita que le score n'enfle démesurément sur des tirs cadrés de Tum (23e), Mouloungui à  bout portant (53e) et Johansen (66e). Dans l'intervalle, il n'avait cependant rien pu faire sur une frappe de Gameiro, légèrement déviée, dans sa lucarne (54e) et fut pareillement obligé de constater les dégâts sur le 6e but, signé Perbet, entré en jeu quelques minutes plus tôt (72e). On notera au passage que Pascal Johansen, qui avait inscrit un but et servi deux passes décisives à  Vesoul lors du 7e tour (3-1), a encore fait mieux hier : un but et trois passes (dont les deux dernières, distillées — on l'aura compris — à  Gameiro et Perbet). En 90 minutes, Ostwald n'eut que deux véritables occasions de solliciter Nicolas Puydebois : sur une volée du gauche de son buteur patenté, Damien Kleber, après un renvoi raté de Vergerolle. Mais sa tentative fila un bon mètre à  côté de la lucarne (37e). Puis à  la dernière seconde, Laurent Klotz, parti dans le bon timing à  la limite du hors-jeu, glissa le ballon entre les jambes du portier strasbourgeois qui en ralentit toutefois la course et permit à  Strasser, revenu à  toute allure, de priver le FCO d'une jolie cerise sur son gâteau du 8e tour. « Nous étions tous debout sur le banc et nous avons tous cru que le ballon allait finir sa course au fond. Si Puydebois ne le touche pas, je suis sûr qu'il va au fond », regrette le capitaine Philippe Michel, remplacé peu avant l'heure de jeu. Jean-Pierre Papin est évidemment satisfait de cette qualification « pépère » pour les 32es de finale. « Les joueurs ont répondu présent, répondu aussi à  ce qu'on leur avait demandé. Ils ont fait un match correct, solide, sérieux et sans bavure. A 3-0 en 10 minutes, j'ai eu peur pour Ostwald. 10 ou 12 à  0, ça aurait fait beaucoup. C'est bien ainsi. Pour nous, c'était une bonne préparation pour la réception d'Amiens jeudi. La vérité devra éclater ce jour-là . C'est là  qu'il faudra être bon. »

[Barwadel]

aussi
tu n'as pas vu à  quoi ils ressemblaient physiquement.

Si un jour tu te ramasse une torgnolle d'un "skin" de 130 kg et quinquagénaire de surcroit , tu ne pourras que t'en prendre à  toi mème . . . . . . tu saurras que c'est Barwadel

Sont pas tous des papis ringards les "vieux"

[D520]

attend , je ne parlais pas des dynamiques et en vie

mais bien de ceux qui vivent dans le passé et passent le temps à  critiquer tous ce qui bouge.

Barwadel a dit

une torgnolle d'un "skin" de 130 kg et quinquagénaire de surcroit

je ne voudrais pas insister, mais il n'y aurait pas une petite surcharge pondérale là  ?
Pas sur la tête la torgnolle