Le Fil Rouge

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PoY
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Re: Le Fil Rouge

Message par PoY »

lfp.fr a écrit :STRASBOURG : UNE ATTAQUE HISTORIQUE

Le RC Strasbourg Alsace n'avait jamais eu une attaque aussi prolifique depuis la saison 1979/1980. Retour sur le bon début de saison du RCSA après son nul contre le PSG lors de la 16e journée de Ligue 1 Conforama.

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fan_racing
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Re: Le Fil Rouge

Message par fan_racing »

C'est vraiment beau d'avoir construit une équipe pour qu'elle marque plus de buts que son adversaire. Et non pas pour qu'elle cherche juste à en encaisser un de moins, comme c'est la mode depuis un moment dans notre sacré championnat ...
En tant que supporter, je vis ma plus agréable saison du Racing pour le moment. On ne peut qu'applaudir et espérer que cela dure !
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Its_me
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Re: Le Fil Rouge

Message par Its_me »

A noter aussi qu'il n'y a que 5 équipes qui ont encaissé moins de buts que nous sachant que les 3 équipes restantes avant la mi-saison font partie des 4 équipes les moins prolifiques (Reims 10 buts, Nice 12 buts et Caen 13 buts). On est donc assez solides à ce niveau aussi.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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Re: Le Fil Rouge

Message par Stan »

Tu veux dire que L.Koné Mitrovic Martinez c'est plus fort que Mangane-Seka-Bakary ? :lol:
télésupporteur
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Re: Le Fil Rouge

Message par télésupporteur »

avec lamine koné on a la tête qu'on a :lol: :lol:
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Kaniber
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Re: Le Fil Rouge

Message par Kaniber »

dna a écrit : « On se sent meurtri »
Après les tragiques événements qui ont eu lieu à Strasbourg mardi soir, joueurs, staff et dirigeants du Racing ont multiplié hier les messages de soutien aux victimes.
11h, hier matin, aux abords de la Meinau. Un brouillard épais entoure les terrains d’entraînement du Krimmeri. Et surtout, un calme étrange règne autour du stade strasbourgeois.

En raison des événements de la veille, le Racing Club Strasbourg a en effet dû modifier son programme. D’ouvert au public, l’entraînement d’hier matin est passé à huis clos.

Au lieu d’arpenter les terrains annexes, les joueurs du Racing ont effectué leur séance sur le terrain d’honneur. Protégés par des grilles infranchissables et une sécurité renforcée.

« On se sent impuissant et en colère »


Habituellement, un seul agent est chargé de la sécurité lors des entraînements quotidiens des Bleus. Mais hier, c’est une dizaine d’hommes qui ont été réquisitionnés pour sécuriser le stade et le centre de formation.

Toute entrée dans l’enceinte a été strictement contrôlée. Même le traiteur chargé de livrer le repas de midi des joueurs en est quitte pour une vérification poussée.

Quant aux événements prévus par le club, tous ont été annulés. L’émission spéciale Racing de Top Music ? Annulée. La séance de dédicaces prévue hier après-midi avec des Strasbourgeois à la boutique du stade ? Annulée aussi.

Mais ces mesures n’ont toute fois pas empêché les Strasbourgeois de s’exprimer, notamment via les réseaux sociaux. Et ce, dès mardi soir.

L’attaquant Idriss Saadi, sur Twitter , recommandait ainsi à tous ses suiveurs de « respecter les consignes des forces de l’ordre » et de « rester prudent ».

Idem pour le défenseur Pablo Martinez. « À mes amis Strasbourgeois, soyez prudents et restez chez vous », lançait-il. « Je prie pour Strasbourg », a aussi souligné l’attaquant Lebo Mothiba en s’adressant aux victimes.

Marc Keller, très touché, a lui aussi réagi. « Un attentat est toujours horrible partout où il a lieu, mais quand cela touche notre ville et les rues qu’on connaît, c’est encore plus dur, a souligné hier soir le président du club alsacien. On se sent impuissant et en colère, et en même temps, on compatit bien sûr avec les victimes et leurs familles. »

Et Marc Keller d’ajouter : «En plus, cet attentat a touché le Marché de Noël, qui est un vrai symbole. Le Racing se sent meurtri. Les joueurs, le staff et les dirigeants ont beaucoup de peine. On partage la douleur de notre ville ».

Les anciens joueurs du club ont aussi réagi, à mesure que les événements se confirmaient.

À l’instar du défenseur Yoann Salmier, prêté à Troyes, qui lâchait un « Strasbourg, attention à vous ». Message similaire de la part de l’ancien attaquant du Racing Stéphane Bahoken, désormais à Angers. « Attention les Strasbourgeois, restez chez vous », soulignait l’international camerounais.

Martin Terrier, prêté la saison dernière à Strasbourg et aujourd’hui à Lyon, y allait aussi de son message de soutien, tout comme Felipe Saad, désormais à Lorient.

Et les joueurs alsaciens ont relayé toute la journée d’hier les messages de solidarité venus de toute la France du foot. Andy Delort (Montpellier), Bafétimbi Gomis (Al-Hilal) ou encore Clément Grenier (Rennes) ont écrit des messages de soutien en direction du Racing et à la ville alsacienne.
« Unis aujourd’hui »

Tout comme les clubs à travers toute la France. « Toutes nos pensées aux Strasbourgeois et au RCS », tel était par exemple le message posté par les Girondins de Bordeaux. « Ce matin, toutes nos pensées vont vers Strasbourg », soulignait-on aussi du côté du FC Metz.

Le Stade de Reims, futur adversaire du Racing, n’était pas en reste. « Futur adversaire du Stade de Reims samedi, Strasbourg est actuellement frappé par l’horreur. Aux victimes et à leurs familles, le club adresse ses plus sincères pensées et condoléances. Adversaires le temps d’un match samedi. Unis aujourd’hui. » Tout est dit…

Une minute de recueillement sera observée sur tous les terrains avant le coup d’envoi des rencontres de la 18e journée de L 1 et de L 2 en signe de recueillement après la fusillade, ainsi que lors de tous les matches prévus dans l’ensemble du Grand Est.
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Kaniber
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Re: Le Fil Rouge

Message par Kaniber »

dna a écrit :Drôle d’ambiance sur le Racing
Depuis l’attentat du centre-ville mardi, les Strasbourgeois s’entraînent dans une Meinau verrouillée et sécurisée. C’est dans ce contexte inhabituel et pesant qu’ils préparent leur déplacement de demain à Reims.

Hier matin comme la veille, les Strasbourgeois se sont entraînés à huis clos, sur le terrain d’honneur, dans une Meinau transformée en camp retranché et surveillée par des agents de sécurité. Après les tragiques événements de mardi soir en centre-ville, ils n’ont pas eu le choix. « Nous en avons reçu l’ordre. C’est la police qui donne les consignes et nous les suivons », raconte le coach-adjoint Fabien Lefèvre.

« Trois quarts d’heure avant, j’étais place Kléber »


Les Bleus se préparent donc dans une drôle d’ambiance avant leur rencontre de demain à Reims pour la 18e journée de Ligue 1. Le défenseur Pablo Martinez, qui s’est baladé en famille dimanche au marché de Noël, ne cache pas une certaine crainte « dans un climat compliqué. D’ordinaire, il y a du monde à l’entraînement. C’est toujours un plaisir de voir les habitués le matin. Là, nous sommes confinés. Il y a des gardes aux portails. Ça n’a rien de rassurant, même si le club a pris toutes les mesures de sécurité. À l’entraînement, tout le monde est concentré, mais on voit bien que ce n’est pas une semaine normale. »

Le danger, Dimitri Lienard en a rétrospectivement pris la mesure. Mardi, après la séance de l’après-midi, le milieu gauche est allé avec femme et enfants admirer les illuminations de Noël. « Trois quarts d’heure avant l’attaque, j’étais devant le sapin place Kléber. Pour les enfants, ce sapin qui change de couleur, c’est magique. Nous avons nos habitudes dans un restaurant situé près de la rue des Grandes Arcades. Si nous n’avions pas été invités à dîner chez mon cousin à Kilstett, peut-être y serions-nous allés. Comment, après un tel drame, expliquer à des enfants de 2 et 4 ans (ses fils Nino et Léo) que tu dois rester enfermé dans un restaurant jusqu’à minuit ou plus ? Parfois, la vie tient à un fil. »

Pablo Martinez s’est très vite inquiété pour son coéquipier. « Quand j’ai vu les infos, j’ai aussitôt pensé à Dimitri qui nous avait dit avant de quitter le vestiaire qu’il allait en famille au marché de Noël. Je lui ai envoyé un message. Heureusement, il nous a vite rassurés. Nous sommes tous attristés et choqués. On se dit toujours que ça arrive aux autres, que ça arrive loin. Mais là, c’est dans ta ville, dans les rues où tu te promènes en famille. »

Ce n’est qu’à Kilstett que Dimitri Lienard a pris connaissance, de la bouche de son cousin, du drame qui venait de se nouer à l’endroit même où il était une heure plus tôt. « Je ne voulais pas y croire. Ça nous a vraiment secoués. Le marché de Noël est un pur bonheur, non seulement pour les Strasbourgeois et les Alsaciens, mais aussi tous ces touristes qui viennent de partout. On est toujours bouleversé par un attentat. Mais dans notre belle ville où on magnifie Noël, ça remue encore plus. Nous sommes de tout cœur avec les victimes et leurs familles. »

Depuis cette funeste soirée, les Bleus peinent à se détacher de ce contexte anxiogène. Leur confinement à la Meinau ne les y aide pas. « C’est la première fois en six ans que je m’entraîne deux jours de suite sur le terrain d’honneur, appuie “Dim”. C’est très spécial, d’autant qu’on n’oublie pas qu’après son acte, le tireur s’est fait déposer pas loin d’ici, à Neudorf. »

Dans le vestiaire, l’écran de la salle des kinés déverse à flux continu les images des chaînes d’infos. « Pour préparer notre match à Reims, il a fallu prendre en compte ces circonstances loin d’être idéales, éclaire Fabien Lefèvre. Les joueurs sont affectés. On le sent. Ils en parlent, suivent les événements à la télé. Leur comportement a changé. »

Dans les faits, le staff a décidé d’aménager les séances pour chasser, un temps au moins, le spleen ambiant. Lefèvre encore : « On n’y a pas mis moins d’exigence, mais on a allégé les entraînements. On a évité de complexifier les exercices pour que les mecs ne gardent que le plaisir. On les a beaucoup basés sur le jeu pour qu’ils occultent le reste. »
Des séances ludiques pour chasser le spleen

« Ces petits jeux sont faits pour redonner le sourire à tout le monde et ça marche le temps de l’entraînement. On est en deuil. Mais on doit continuer à bosser. Néanmoins, quand tu rentres chez toi, les images de l’attentat te hantent à nouveau », soupire Pablo Martinez qui a pris une résolution : « Rester tranquille à la maison avec ma compagne et mes enfants, sans sortir, en sachant cet individu toujours en liberté (Cherif Chekatt a été abattu hier à 21h, non loin de la Meinau, ndlr). »

En ayant bien présent à l’esprit, aussi, que les victimes du 11 décembre n’ont pas eu la chance de certains Bleus…
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Kaniber
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Re: Le Fil Rouge

Message par Kaniber »

dna a écrit : Le bilan du Racing à mi-saison: zoom sur la défense Une défense à bloc
Le club alsacien, 7e à Noël, est l’une des belles surprises du cycle aller de Ligue 1. Première partie aujourd’hui de notre bilan de mi-saison, consacré à ses défenseurs et gardiens.
En 2017-2018, le Racing avait encaissé 31 buts en 19 journées. Un an plus tard, sans offrir toutes les garanties de solidité, il a sensiblement progressé (23 buts concédés). La mise en place d’une défense à cinq mi-septembre à Montpellier n’y est pas étrangère.

KENNY LALA (17 matches, 17 titularisations, 1530 minutes de jeu, 3 buts, 6 passes, 5,68*)
. Sa situation contractuelle a animé sites internet et réseaux sociaux ces dernières semaines. Pourtant, elle était claire depuis le 12 mai : le latéral droit, qui s’était engagé un an en 2017, n’aurait été libre en fin de saison passée que si le Racing était retombé en Ligue 2. Le maintien en L1 a déclenché sa prolongation automatique de deux ans, jusqu’en 2020. Une bonne affaire pour le club bas-rhinois, car l’ex-Lensois, à peine freiné par un pépin musculaire en novembre, flambe. S’il traverse parfois quelques trous d’air – à Angers notamment –, le latéral droit est un atout essentiel, avec ses trois buts et six passes décisives. Le club strasbourgeois aura du mal à le retenir l’été prochain.
Pablo le chambreur, grand gagnant du passage à trois défenseurs centraux

LAMINE KONÉ (13 matches, 11 titularisations, 1032 minutes, 1 but, 1 passe, 5,4)
. Pas prêt lors des trois coups du championnat, puis blessé début septembre en sélection, l’international ivoirien a dû prendre son mal en patience. Mais depuis son retour mi-octobre, l’Éléphant est un roc. Samedi contre Nice, il s’est même offert un petit plaisir personnel en débloquant son compteur buts en Bleu. Il coupe bien plus les trajectoires qu’il ne découpe les attaquants adverses. Intraitable.

STEFAN MITROVIC (17 matches, 17 titularisations, 1519 minutes, 4,59).
Acheté à la Gantoise, l’international serbe, opéré de la cheville fin mars et convalescent à son arrivée, a plutôt bien débuté. Mais le nouveau capitaine des Bleus a subi un contrecoup physique – et logique – au cœur d’un automne en pente raide, compliqué par son expulsion contre Nîmes fin novembre et sa suspension de deux matches (le zéro reçu ce jour-là dans notre notation abaisse mécaniquement sa moyenne). Il n’a pas toujours dégagé la sérénité attendue, mais son aura et son vécu en font un joueur respecté dans le groupe.

PABLO MARTINEZ (18 matches, 18 titularisations, 1583 minutes, 2 buts, 5,44).
Après une première saison moyenne à Strasbourg, Pablo le chambreur est le grand gagnant du passage à trois défenseurs axiaux. Même s’il lui arrive encore de ‘‘s’oublier’’, comme sur l’égalisation de Luiz Gustavo en Coupe de la Ligue à Marseille le 19 décembre, l’ancien Angevin rayonne. Il s’est même découvert des talents de buteur en L1 sur une superbe ‘‘Madjer’’ le 2 décembre à Rennes, puis un non moins superbe pointu du gauche le dimanche suivant contre Caen.

LIONEL CAROLE (13 matches, 11 titularisations, 959 minutes, 1 passe décisive, 4,91).
Arrivé de Galatasaray (Turquie) mi-août, le latéral gauche, freiné par une blessure musculaire le 9 novembre à Lille, puis une rechute face au PSG le 5 décembre, n’en a pas moins pu laisser libre cours à ses talents de contre-attaquant et son sérieux défensif. Avec Lala, il forme une paire complémentaire dans les couloirs.

ANTHONY CACI (13 matches, 13 titularisations, 1092 minutes, 1 passe décisive, 5,54)
. C’est la révélation de la phase aller. Après quatre apparitions en pros en 2016-2017, ‘‘Titi’‘ est resté en couveuse en réserve en 2017-2018. Mais cette saison, le milieu de formation a su tirer profit d’un recrutement assez tardif (Koné, Carole), du passage à une défense à cinq et de sa polyvalence. En 13 matches et autant de titularisations dans l’axe ou à gauche, il s’est montré à la hauteur. Le Racing le sait, qui vient de le prolonger de deux ans, jusqu’en 2022.

ISMAÏL AANEBA (2 matches, 2 titularisations, 159 minutes, 6). Les blessures de Kenny Lala et Anthony Gonçalves, conjuguées à la suspension d’Anthony Caci après son expulsion en réserve, lui ont permis de vivre son baptême en Ligue 1, au poste de latéral droit, à Lille (0-0), puis contre Nîmes (0-1). Également aligné d’entrée face aux Dogues en Coupe de la Ligue (2-0), il n’est encore, à 19 ans, qu’une solution de repli. Mais le Franco-Marocain a fait le job lorsque Thierry Laurey a fait appel à ses services.

Le jeune défenseur central Mohamed Simakan, victime d’une rupture des ligaments croisés le 23 juillet à Gand, et le latéral gauche sénégalais Abdallah Ndour (souci au genou) n’ont toujours pas joué. L’autre défenseur axial Duplexe Tchamba, international camerounais U23, s’est installé à cinq reprises sur le banc, sans entrer.

* La moyenne des notes attribuées à chaque joueur dans nos colonnes depuis le début de saison.
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Re: Le Fil Rouge

Message par Stan »

Sa situation contractuelle a animé sites internet et réseaux sociaux ces dernières semaines.
Ils parlent de nous là. :lol:
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Kaniber
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Re: Le Fil Rouge

Message par Kaniber »

dna a écrit :Sels, la muraille de Belgique
Après des débuts mitigés, Matz Sels a multiplié les prestations haut de gamme. Le portier international belge est l’une des incontestables réussites du mercato estival 2018.
MATZ SELS (19 matches, 19 titularisations, 23 buts encaissés, 5,73).
Recruté pour 3,8 millions d’euros, le gardien international belge a mis deux mois à trouver la bonne carburation. Ni vraiment décisif, ni réellement fautif lors des 8 premières journées, il a décollé grâce à une prestation de haut vol le 6 octobre à Angers où il a notamment stoppé un penalty de Thomas Mangani. Samedi contre Nice, il a aussi repoussé celui de Wylan Cyprien. À l’exception d’une sortie moyenne sur la première égalisation caennaise le 9 décembre à la Meinau (2-2), il est au top depuis et peut légitimement revendiquer une partie des 26 points récoltés par le Racing. Il est le seul Strasbourgeois à avoir disputé les 19 premières journées, dans leur intégralité qui plus est. Une vraie bonne pioche.
BINGOUROU KAMARA (2 matches de Coupe de la Ligue contre Lille et Marseille, 1 but encaissé). L’ancien titulaire, qui a perdu sa place au cœur de l’hiver dernier, doit se contenter de miettes. Mais il continue à travailler. Il a été impeccable lors de ses deux seuls matches officiels en Coupe de la Ligue, avec une mention spéciale pour lui à Marseille où il a, entre autres, écarté un penalty de Dimitri Payet.

EIJI KAWASHIMA (aucun match).
Huitième-de-finaliste de la Coupe du monde 2018 en Russie avec un brillant Japon, le ‘’vétéran’’ nippon (35 ans) n’est apparu que – cinq fois - sur le banc. Il attend toujours de jouer. Peut-être en 32es de finale de Coupe de France le vendredi 4 janvier à Grenoble (Ligue 2) ? Thierry Laurey n’a donné aucune indication à ce sujet.
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