Le Fil Rouge

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Tenor
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Re: Le Fil Rouge

Message par Tenor »

12000 me paraît dans les circonstances actuelles un gros chiffre, et je tablerai plutôt sur 8 à 9000 pour assurer une sécurité optimale aux spectateurs, pas plus :roll:
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Kaniber
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Re: Le Fil Rouge

Message par Kaniber »

dna a écrit : Racing : une trêve avant le vrai départ ?
Battu à Lorient (3-1) puis par Nice (0-2) à la Meinau lors des deux premières journées de Ligue 1, le Racing a payé au prix fort sa préparation contrariée par l’irruption du coronavirus dans son vestiaire. Il mise sur la trêve internationale pour rattraper le temps perdu.
S’ils n’étaient mus par leur conscience professionnelle, les journalistes pourraient ces temps-ci s’abstenir d’assister aux conférences de presse de Thierry Laurey.
Il leur suffirait de consulter leurs archives de l’été 2019 et de faire des copier-coller de ses déclarations d’alors pour bâtir leurs papiers et aboutir à ce constat : le Racing n’est pas prêt.
« On sait exactement où on en est »

Mais cette solution de facilité ne dirait pas tout de la passe délicate du club strasbourgeois en ce début de saison 2020-2021. Car si le tableau comptable est, à peu de chose près, la décalcomanie de celui de 2019-2020 – zéro point sur six aujourd’hui, trois sur 15 à l’époque – les raisons diffèrent.

Il y a un an, le rythme effréné de dix matches en 38 jours, dont six en Ligue Europa, avait mis à genoux des Strasbourgeois sur les rotules.

Il leur avait fallu deux mois pour s’en remettre : au soir du 20 octobre et d’un nouvel échec à Marseille (2-0), ils avaient coiffé le bonnet d’âne de la Ligue 1, avant de redresser la tête et finir 10es , leur meilleur classement depuis la remontée en 2017.

Cette fois, le Covid-19, invité indésirable du vestiaire pour cause de « légèreté » – dixit Laurey – d’une partie de ses éléments fin juillet, a envoyé valser la préparation de huit semaines minutieusement élaborée pour compenser l’inactivité, inédite dans sa durée, liée à l’arrêt prématuré du championnat 2019-2020.

Non seulement les dix joueurs contaminés ont été placés en quatorzaine, mais le reste de la troupe a dû revenir quelque temps aux entraînements distanciés qu’il avait expérimentés en mai.

Ces séances au ralenti ont un grand mérite, celui d’exister. Mais c’est un peu comme préparer des trotteurs à gagner le Grand Prix d’Amérique en les mettant au pas. Seuls les esprits retors y verront un double sens.

« On est un peu plus dans le dur que ce qu’on aurait souhaité. Des éléments ont un peu plombé notre préparation, concède un Laurey un brin elliptique. Je n’ai rien à reprocher dans l’esprit aux joueurs. On a toujours dit qu’on ne serait pas prêt pour le premier match […], qu’on serait sans doute un peu mieux sur le deuxième, ce qui est le cas, mais que ce ne serait pas encore top. On a toujours dit aussi que la trêve internationale arriverait à point nommé. On sait exactement où on en est. »

Sans faire offense à des Lorientais à la fougue réjouissante, l’adversité niçoise était samedi à la Meinau d’une autre dimension. Les Bleus se seraient peut-être de toute façon fracassés sur le roc azuréen. Mais leurs coupables largesses défensives ont de nouveau lézardé les promesses qu’ils avaient laissé entrevoir au premier acte.

« On est dans une sale période »

« On n’a pas fait un grand match. Mais si tu enlèves l’erreur de la première mi-temps (Ndlr : qui amène l’ouverture du score de Dolberg sur penalty) , tu tournes au repos à 0-0 et ce n’est pas le même match, veut croire leur coach. Je ne suis pas en train de dire que ce n’est pas mérité. Au contraire. Je dis simplement que les Niçois sont réalistes et nous, pas du tout. On mérite de perdre nos deux premiers matches, je n’ai pas de souci à le reconnaître. »

L’entraîneur admet aussi avoir vu un Gym bien plus tonique et « une grosse différence dans la conservation du ballon et les sorties de balle […]. Comme les Niçois sont beaucoup plus dynamiques que nous, ils nous ont posé des problèmes. L’aspect physique ne nous permet pas aujourd’hui de faire ce qu’on aimerait. Mais on ne va pas se réfugier seulement derrière ça. Il y a aussi la qualité technique qu’on doit avoir, les déplacements qu’on doit faire ensemble. »

La trêve internationale lui offre donc opportunément une fenêtre de tir pour corriger le… tir, avec, entre autres, un match amical samedi (16h30) à Stuttgart face au VFB.

« On est dans une sale période, mais on va faire progresser l’équipe […]. Le but du jeu, c’est d’être prêt pour aller à Saint-Étienne (le samedi 12 septembre à 21h). »

Et d’éliminer ainsi les séquelles d’un virus qui, non content d’avoir touché dix Racingmen, a fait de leurs coéquipiers des victimes collatérales.
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Selon le site de statistiques WhoScored.com, Alexander Djiku a fini la saison dernière sur le podium européen des auteurs de tacles réussis (85,2 %) derrière Francesco Acerbi (Lazio Rome) et Gabriel (Lille).
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Kaniber
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Re: Le Fil Rouge

Message par Kaniber »

dna a écrit :Il est où, le patron ?
Depuis le départ de Jonas Martin vers Rennes à l’été 2019, le Racing n’a plus réellement de “patron” qui rayonne dans le cœur du jeu. Un manque qui n’explique pas les deux défaites inaugurales en Ligue 1 mais que le club cherche à combler avec l’homme providentiel.
En août 2019, au soir de l’élimination du Racing par Francfort aux portes de la Ligue Europa, Jonas Martin avait obtenu son bon de sortie. À un an de la fin de son contrat, l’expérimenté milieu relayeur arrivé deux saisons plus tôt en provenance du Bétis Séville pouvait filer vers le Stade Rennais, contre une indemnité de 4 millions d’euros.
Il n’y avait alors pas grand monde pour critiquer l’opération, plutôt avantageuse d’un point de vue financier, si ce n’est quelques supporters qui y voyaient la trahison d’un joueur qui assurait alors porter le Racing dans son cœur.
Un an plus tard, Jonas Martin n’a pas été remplacé, si ce n’est numériquement par Sanjin Prcic qui n’a quasiment jamais joué.

Thierry Laurey ne s’est jamais plaint de la situation. Au contraire, l’entraîneur a répété à l’envi qu’il fallait « savoir s’adapter ». Une capacité qui a été éprouvée avec un certain succès la saison dernière au gré des adversaires et des systèmes. Le grand “Ibou” Sissoko (25 ans) et le petit Jeanricner Bellegarde (22 ans) se sont imposés en duo devant la défense, parfois avec le renfort de Liénard, parfois avec le dépannage de Djiku, souvent en compagnie de Fofana jusqu’à ce que l’international Espoirs parte fin janvier à Monaco.

« Le même groupe, les mêmes joueurs qui ont fini à la dixième place »


La nouvelle saison a démarré avec la même philosophie, Laurey préférant temporiser en attendant de trouver l’homme idoine plutôt que de se précipiter sur le premier milieu venu.

Sauf que les deux défaites du mois d’août – à Lorient (3-1) et contre Nice (0-2) – ont contribué à rouvrir le dossier gardé jusque-là sous le coude. La présence d’un authentique “patron” dans l’entrejeu, comme peut l’être Morgan Schneiderlin chez les Aiglons, aurait-elle changé quelque chose à l’affaire ?

Samedi soir, cette question a eu le don d’agacer un Thierry Laurey déjà bien échaudé par le revers subi quelques minutes plus tôt. « Actuellement, on pèche au niveau des capacités physiques et on ne joue pas en équipe sur l’ensemble d’un match, parce qu’il nous manque l’état d’esprit que tu développes d’habitude lors des matches de présaison », dit-il, reconnaissant que son équipe traîne comme un boulet les quinze jours d’isolement imposés début août à la moitié de l’effectif en raison du Covid-19.

« Que l’on soit obligé de trouver des solutions parce que je n’ai pas de numéro 6 d’expérience, ce n’est pas une nouveauté et je ne m’en cache pas, développe-t-il. En revanche, on n’a pas besoin d’un aboyeur qui hurle, parce que les gars se replacent sans qu’on ait besoin de leur crier dessus. Et on n’a pas besoin non plus d’un gars qui va dribbler trois mecs et faire la différence tout seul, en tout cas pas dans mon équipe. »

Pour Laurey, on le sait, le collectif prime sur le reste. Mieux, celui-ci cimente une équipe. « On est passé au travers sur ces deux matches, je le reconnais volontiers, à cause d’erreurs individuelles. Ce n’est pas non plus la révolution parce qu’on a perdu deux fois ! Rappelez-vous que c’est le même groupe, les mêmes joueurs qui ont fini le championnat à la dixième place l’an dernier. Et quoi, ils faisaient leur job et maintenant, ils ne le font plus ? »

Ainsi exposée, la situation a le mérite d’être assez limpide : le coach n’a pas l’intention de bouleverser les grands équilibres de son équipe, le Racing restant à l’affût de l’occasion en or. « Ça fait un petit bout de temps que je l’attends, ce vrai numéro 6 », conclut Thierry Laurey.

À Nice, justement, l’arrivée de Schneiderlin pousse Wylan Cyprien (25 ans) vers la sortie. On ne sait pas si le profil du Guadeloupéen convient à Laurey, ni si le club a envie de casser sa tirelire pour celui qui vaudrait pas moins de 10 millions d’euros. Bref, à la Meinau, le “patron” se fait désirer.
Indiscrétion
Racing : à Stuttgart samedi à huis clos


Durant la trêve internationale, le Racing va disputer un match amical contre Stuttgart, ce samedi (à 16h et non 16h30 comme initialement programmé) sur le terrain d’entraînement du club suabe, le Robert-Schlienz-Stadion. Stefan Mitrovic ne sera pas de la partie, puisque le Serbe est le seul joueur du Racing à avoir été appelé en sélection.
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Re: Le Fil Rouge

Message par alphons »

Cette année ca sent fort l'année de transition

- un coach prolongé que d'une seule année
- Jean Marc Kuentz qui signe une année comme adjoint puis va allez en théorie vers le centre
- des joueurs comme Lala, Thomasson qui ne sont pas chauds pour prolonger
- un recrutement proche de zéro

Disons que je ne serai pas surpris de voir un changement d'entraineur en juin 21 :roll:

Sorry je ne voulais pas foutre mon bordel par cette belle journée de pluie :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
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Re: Le Fil Rouge

Message par Kaniber »

Jusqu'à maintenant il a donné satisfaction, alors même sauf très grosse catastrophe je ne le vois pas partir même en 2021.
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Re: Le Fil Rouge

Message par alphons »

Der Zakarian a un contrat à Montpellier jusqu'en juin 2021. :mrgreen:

Si il venait à quitter le club....il ne fait aucun doute, aucun que TL ira a Montpellier

On en reparlera :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
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Re: Le Fil Rouge

Message par Tenor »

le problème n'est pas là pour l'instant :!:
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Re: Le Fil Rouge

Message par fan_racing »

Thierry Laurey n'a jamais caché garder de bons souvenirs de Montpellier.
Après, il est né dans le Grand Est et a bourluingué dans d'autres clubs.

S'il quitte le Racing à 57 ans pour Montpellier, cela voudra surtout dire que nous n'avons plus aucune marge de progression à ses yeux.

Pour éviter cela, quoi de mieux pour commencer que de recruter ce milieu défensif que le coach lui-même évoque régulièrement dans ses déclarations ...
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Re: Le Fil Rouge

Message par Kaniber »

dna a écrit :Racing:double séance au menu
Quatre jours après sa défaite contre Nice samedi à la Meinau (0-2), le Racing a repris avec deux séances mercredi, en vue du match amical de samedi (16h) à Stuttgart face au VFB. Ce jeudi matin, les joueurs de Thierry Laurey se sont retrouvés pour un entraînement unique auquel n’ont évidemment pas participé les blessés longue durée, Matz Sels (tendon d’Achille), Lebo Mothiba (genou) et Mahamé Siby (cuisse), ni le capitaine Stefan Mitrovic, appelé en sélection pour les deux rencontres de la Serbie dans le groupe 3 de la Ligue B des Nations, hier soir en Russie et dimanche contre la Turquie.

Adrien Lebeau, victime d’une grosse entorse de la cheville droite le 13 juillet à l’entraînement, a retrouvé le terrain, mais en marge du groupe. Malgré quelques douleurs résiduelles, le jeune milieu offensif entrevoit le bout du tunnel. Mehdi Chahiri a lui aussi eu droit à un programme individuel pour souffler un peu. Jeanricner Bellegarde s’est contenté d’un travail en salle.
Le reste de la troupe strasbourgeoise était sur le pré, complétée par quatre espoirs de la réserve : l’attaquant Benjamin Besic (auteur de 5 des 7 derniers buts officiels de la formation de François Keller et buteur pour la première fois avec les pros en amical contre Metz le 15 août à Molsheim), le défenseur Marvin Senaya, le milieu Karim Ilunga et le gardien Alexandre Pierre.
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Re: Le Fil Rouge

Message par Kaniber »

dna a écrit : Parole à la défense
En ce début de saison, le Racing encaisse beaucoup trop de buts, à l’image des quatre “pions” pris samedi à Stuttgart en amical (2-4). De quoi agacer Thierry Laurey, qui cherche des explications et surtout des solutions collectives pour stopper l’hémorragie.
Peut-être n’ont-ils pas bien compris les recommandations des autorités pour limiter la propagation du coronavirus. Ou alors les ont-ils prises au pied de la lettre.
Toujours est-il que les joueurs du Racing mettent tout en œuvre en matière d’aération, de ventilation et autres courants d’air, et pas seulement dans les endroits clos. Depuis un mois, ils ouvrent aussi en grand les portes et les fenêtres qui mènent à leur but.
On doute qu’en plein air, la démarche ait le moindre impact en termes de sécurité sanitaire. On sait, en revanche, que cela commence sérieusement à énerver Thierry Laurey.

« Quel entraîneur ne serait pas agacé par cette situation ? Il va falloir à un moment donné que l’on fasse attention, expose-t-il. On avait réussi à bien contrer cette équipe de Stuttgart et à mettre notre jeu en place. Et puis on concède un penalty regrettable deux minutes après l’ouverture du score, et encore un but largement évitable qui font que l’on atteint la mi-temps sur un score de parité (2-2) , alors que l’on aurait dû mener de deux ou trois buts, au vu de nos occasions… »

Samedi après-midi, sur la pelouse du Robert-Schlienz-Stadion, c’est Caci qui est parti à la faute dans la surface de réparation alors qu’Ajorque venait à peine d’ouvrir le score, provoquant un coup de sifflet arbitral sans équivoque.

Lors des trois matches précédents, c’est à chaque fois un autre Strasbourgeois – Simakan face au Messin Niane en amical, Mitrovic devant le Lorientais Grbic et Koné aux dépens du Niçois Sylvestre en championnat – qui a commis l’irréparable.

« L’aspect défensif concerne tout le monde, on attaque ensemble, on défend ensemble »


Mais au-delà de cette accumulation de penalties due à des fautes grossières, c’est toute la solidité de l’édifice qui interroge. Au fil des minutes, et souvent dans le second acte, la moindre passe en profondeur, la plus petite accélération provoque immanquablement un vent de panique.

Le VfB Stuttgart a ainsi encore mis un peu plus de sel sur les plaies alsaciennes quand il a fait basculer en trois minutes le match en sa faveur. Un ballon parti de derrière face à des attaquants non concernés, un relais dans le désert du milieu de terrain et un appel dans le dos de la défense suffisent à mettre toute une équipe hors de position et à encaisser deux buts.

Forcément, Thierry Laurey cherche à comprendre ce qui cloche alors qu’il dispose exactement des mêmes titulaires que la saison dernière, à l’exception notoire de Matz Sels, en convalescence jusqu’en janvier à la suite de la rupture d’un tendon d’Achille. Mais l’absence du gardien international belge n’est pas un argument.

Ses remplaçants, qu’il s’agisse du vétéran Kawashima ou du jeune Kamara – de retour samedi – n’ont pas failli. Au contraire, ils ont évité que les défaites prennent des allures de raclée…

« L’aspect défensif concerne tout le monde », développe Thierry Laurey, fidèle à son credo du « on attaque ensemble, on défend ensemble ». Mais force est de constater qu’au-delà des défaillances individuelles, les efforts ne sont pas partagés par tous, surtout pas sur la durée d’un match.

L’absence d’un numéro 6 d’expérience, une sentinelle capable d’orienter le jeu et que Thierry Laurey appelle de ses vœux, se fait de plus en plus ressentir.

Pour autant, le technicien du Racing ne tient pas à noircir le tableau. « Les résultats ne me satisfont pas, évidemment, mais il y a quand même du positif, dit-il. Offensivement, on n’a pas joué comme ça sur les premiers matches. On retrouve de l’allant, de la synchronisation. Il nous manque le réalisme. Et il nous faut gommer ces faiblesses, ces petits détails qui valent très cher. C’est la prochaine étape à franchir pour prendre des points et améliorer notre situation au classement. Comme je dispose de garçons intelligents, on va y arriver. »
Samedi (21h) à Saint-Étienne, pour la 3e journée de Ligue 1, il faudra le prouver. En commençant par refermer portes et fenêtres qui provoquent les courants d’air et vont finir par refroidir les ambitions bleues.
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La moyenne de buts encaissés par le Racing sur ses quatre dernières sorties, contre Metz (2-3) et Stuttgart en amical (2-4), Lorient (1-3) et Nice (0-2) en championnat. Un chiffre à mettre en relief avec la moyenne de 1,2 but concédé la saison dernière en 27 matches de Ligue 1, ce qui faisait de la défense alsacienne la 9e la plus solide en France.
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