A force d'en parler il va bien finir par arriver non ?
On sait quoi sur lui ?
Au Racing :· De janvier 1990 à septembre 1992 : Président
Le saviez-vous ?
Après la démission d'Hechter, le club est repris par une société d'économie mixte contrôlée par la ville de Strasbourg. Le nouveau président est Jacky Kientz, industriel alsacien. Celui-ci, président ambitieux, est à l'initiative du retour de Gilbert Gress aux commandes du Racing en 1991. Impliqué dans une affaire judiciaire et mis en examen, il démissionne de son poste en septembre 1992.
En 2004, lors de la reprise du Racing par un pool d'actionnaires menés par Egon Gindorf, Marc Keller et Patrick Adler, le nom de Jacky Kientz a été plusieurs fois cités.
Jacky Kientz, ancien président du directoire du Racing Club de Strasbourg, a été condamné hier à dix-huit mois d'emprisonnement avec sursis pour abus de biens sociaux, par le tribunal correctionnel de Mulhouse (Haut-Rhin). Jacky Kientz, devra également payer une amende de 80.000 francs et restera privé de ses droits civiques, civils et familiaux pendant trois ans. 21 04 95
A titre perso certainement pas....mais dans son travail au sein d'un groupe bancaire important il pourrait peut etre réunir des investisseurs régionaux.....
L'Equipe a écrit :Gilbert Gress n'est pas le seul acteur du psychodrame strasbourgeois a charger la barque de l'ancien président - et toujours actionnaire majoritaire du club - Philippe Ginestet. Après l'entraîneur franco-suisse qui l'accuse de manipulation, Jacky Kientz, repreneur désigné du RC Strasbourg et ancien président de l'équipe alsacienne (de janvier 1990 à septembre 1992), est à son tour monté au créneau, dimanche. Allié de Gress qu'il a fait revenir en Alsace, il reproche ni plus ni moins à Philippe Ginestet de mentir.
«Début juin peu après sa démission, j'ai rencontré Philippe Ginestet pour évoquer la situation. Il était vendeur de ses parts. Aujourd'hui, il dit qu'on ne s'est vu qu'une fois mais il ment», a confié Jacky Kientz, l'homme qui a fait revenir Gress en Alsace après le titre de 1979. «Nous nous sommes entretenus une dizaine de fois et il devait même me donner un accord le 24 juillet sur une période d'exclusivité pour préparer le terrain», a ajouté cet ancien industriel de 53 ans, aujourd'hui conseiller en gestion de patrimoine et transmission d'entreprise.
«Avec lui, on ne sait jamais la vérité. Si Ginestet veut céder ses parts, qu'il le fasse honnêtement et correctement et s'il ne veut pas, qu'il le dise. Je sais bien que la situation n'est pas facile avec la crise économique mais lorsque Mac Cormack est part,i il a cédé le club pour un euro symbolique», a encore dit M. Kientz. Jacky Kientz est aujourd'hui soutenu par des investisseurs locaux allemands et suisses qui n'attendent qu'une seule chose : reprendre le club. Combinées à celles de Gress, ses attaques semblent placer l'homme fort du Racing dans une situation de plus en plus inconfortable. Le conseil d'administration continuera-t-il à le soutenir ?