Stade de la Meinau II

[argueti]

En tout cas sur l'image générale, ils ont ajouté des arbres par tout ! Je me trompe peut être mais le terrain d'entrainement valse sur l'image !!

[FM17]

Le stade de l Ill ne suffirait il pas pour jouer en national ?

[argueti]

[argueti]

La Ville de Strasbourg présente son plan pour l'Euro 2016

La ville et la Communauté urbaine de Strasbourg présentaient, hier, le dossier de candidature déposé auprès de la Fédération Française de Football, dans la perspective de l'Euro 2016.

« Le grand jour est arrivé, espérons que nous ferons partie des meilleurs », lance Roland Ried, maire de Strasbourg. Alors qu'une délégation strasbourgeoise était reçue hier à  Paris par une commission technique de la Fédération française de football (FFF) sur le projet du stade, Roland Ries et Jacques Bigot, président de la Communauté urbaine de Strasbourg, ont présenté le projet de la capitale alsacienne pour se faire une place dans la liste des neuf villes choisies afin de représenter la France lors de sa future candidature à  l'Euro 2016. « On essaye de créer les conditions pour que Strasbourg soit candidate à  la candidature avec des atouts que nous avons mis en avant dans notre dossier : une vocation européenne, une tradition forte de football, un savoir-faire pour l'organisation des grandes compétitions sportives, une volonté unique de mobiliser pour arracher la décision et enfin une situation transfrontalière et d'accessibilité excellente », expose un Roland Ries confiant.

« Une profonde transformation plus qu'une rénovation »

Comme prévu, la Meinau, devenue pierre angulaire de la candidature alsacienne, va connaître une « profonde transformation plus qu'une rénovation », selon le maire, dans l'espoir de recevoir des matches de poule et un 8 e de finale de la compétition européenne. Modernisé pour la dernière fois à  l'occasion de l'Euro 84, l'habituel antre du Racing club de Strasbourg fera peau neuve en portant sa capacité d'accueil à  36 000 places assises — contre 29 000 actuellement — avec la construction d'un anneau supplémentaire autour et au-dessus des tribunes existantes. La pelouse sera en synthétique dernière génération et l'enceinte élargie pour s'inscrire dans un grand parvis desservi par l'avenue de Colmar d'une part, et composé d'un grand parc naturel urbain, d'autre part.

Le coût du projet est évalué à  160 millions d'euros. « L'objectif est plutôt d'arriver à  un partenariat public privé pour financer l'opération », précise Roland Ries, dont les équipes prévoient un début de chantier pour 2012 et la mise en service totale du stade début 2015. En cas d'échec de la candidature ? « La Meinau sera tout de même rénovée. Mais ça ne sera pas forcément le même projet. On sera sûrement obligé de revoir notre copie de façon plus modeste. » La FFF rendra son verdict le 13 novembre. Une première étape à  franchir avant la décision finale de l'UEFA en mai 2010.

Olivier Arnal

[argueti]

Strasbourg, l'amour Euro

Le duo aux affaires municipales a réaffirmé son désir d'accueillir l'Euro 2016 si la France devait l'organiser. Dans cette perspective, Roland Ries, maire de Strasbourg, et Jacques Bigot, président de la CUS, ont révélé quelques éléments de l'indispensable projet de rénovation de la Meinau.

Il s'agira de peaufiner quelques détails, comme de rappeler au maire de Strasbourg que l'Euro, c'est bien le championnat d'Europe des Nations, et non la coupe. On pourra également demander à  Arsène Wenger, l'un des ambassadeurs retenus pour soutenir la candidature strasbourgeoise, d'exprimer son parti-pris en français, puisqu'il le fait en anglais dans le petit film produit par les services de la Ville. Mais ce qui est certain, c'est que l'équipe en charge des affaires municipales et de la CUS désire ardemment que le fil entre les grandes compétitions de foot et Strasbourg soit renoué.

« Ce n'est pas un toilettage »

Le directeur général des services, Bernard Debry, était à  Paris hier, pour participer à  une « commission technique » à  la FFF, pendant que Jacques Bigot, président de la CUS, et Roland Ries, le maire, ont répété leur argumentaire. « Strasbourg a une vocation européenne et internationale », a rappelé ce dernier, avant d'ajouter dans un clin d'oeil chronologique : « Il y a une tradition d'organisation de grandes compétitions. Dans le cadre de l'Euro, la ville de Strasbourg correspond à  la croisée des chemins, des idées et du TGV. » Il reste que l'affaire n'est pas bouclée. Il y a seize dossiers pour douze places, dont trois de remplaçant. Et le dossier strasbourgeois souffre d'une vraie faiblesse et elle n'a rien d'anodin puisque c'est là  qu'on est censé y jouer : son stade. Le projet Hammerson à  Eckbolsheim a fait pschit. La Ville et la CUS ont pris le relais pour que la candidature strasbourgeoise reste crédible et ne sombre pas dans un grand plouf. Hier, le duo aux affaires a précisé quelques orientations quant à  la rénovation de la Meinau, la piste définitivement retenue, qui privilégie un stade proche du centre-ville. « C'est une reconstruction in situ qui engage 160 millions d'euros, a poursuivi Roland Ries. Ce n'est pas un toilettage. » Le chantier serait colossal avec l'objectif de faire passer la jauge de 29 000 places aujourd'hui, dont 4 000 assises, à  36 000. « Il y a un enjeu économique important, l'attractivité de Strasbourg en dépend, mais ce serait également une mobilisation pour l'emploi et la possibilité d'amener des gens dans la ville », justifie Jacques Bigot. Après cette déclaration d'amour pour la compétition, il s'est néanmoins agi de montrer les preuves du sentiment ainsi déclaré. Les services techniques, Frédéric Thommen en tête, ont révélé quelques éléments tangibles du projet. Autour de deux esquisses qui n'ont évidemment rien d'une version définitive - l'étude de projet, prévue pour le début de l'année 2010, serait suivie d'un concours d'architecte pour un début des travaux en 2012 et une livraison en 2014 - , un avenir du stade strasbourgeois a été dessiné. On a parlé d'un anneau qui correspondrait à  une surélévation de l'ensemble, d'un grand parvis, d'une pelouse synthétique et même d'un parc urbain qui ravirait la population des alentours. En tout état de cause, la base du parallélépipède sera autrement plus importante qu'aujourd'hui. Et le chantier est envisagé sur un phasage, tribune par tribune. En termes d'activité, l'idée de la diversification « à  travers des concerts » a été évoquée par Roland Ries. La perspective d'activité commerciale, qui n'aura en rien les proportions espérées par Hammerson dans son projet d'EuroStadium (de l'ordre de 60 à  80 000 m2), n'est pas exclue par Jacques Bigot.

Il y a donc eu de l'envie, de la volonté exprimée, une forme d'idylle entre les élus, le temple du sport strasbourgeois et le futur. Il reste quelques nuages noirs à  l'horizon. « Il y a plus de candidatures que de postes à  pourvoir », a rappelé Roland Ries. Si le dossier strasbourgeois ne devait pas être retenu, « on investira, mais pas la même chose. On reverra peut-être la copie dans un sens plus modeste. On réduira la voilure. » Pour l'heure, la candidature strasbourgeoise avance toute voile dehors. « Si Strasbourg n'est pas retenue, la candidature de la France ne sera pas bonne », a conclu Jacques Bigot. On rappellera juste que le Mondial français n'avait pas été mauvais dans l'ensemble. Et c'est aussi comme s'il fallait encore et toujours chasser le fantôme de 1998 à  travers le processus actuel.

François Namur

Mais pour les commerces !!!

[télésupporteur]

prions, avec bigot

[Pinon]

La Meinau du futur, ou comment faire du neuf avec du vieux

Les seize villes françaises candidates à  l'Euro 2016 ont eu le droit à  un grand oral pour présenter leur projet. Vendredi, celui de Strasbourg n'est pas passé inaperçu. Voici les grandes lignes de la « reconstruction du stade de la Meinau », dixit Roland Ries, le maire PS de la ville.

Une Meinau version 2.0 ? Pour l'instant, aucun projet architectural de rénovation de la Meinau n'existe. Normal, le concours n'a pas encore été lancé. Seuls des travaux du cabinet strasbourgeois Weber + Keiling donnent une possible image de la future enceinte. Le projet envisagé ajouterait un second anneau sur les tribunes actuelles. La capacité du stade serait alors de 37 837 places brutes. Une fois les normes UEFA respectées (soit uniquement des places ayant une visibilité satisfaisante), on atteindrait une Meinau 2.0 d'une capacité de 36 153 places nettes, dont 4 985 places VIP et 440 places en loges.

Le stade garderait globalement la répartition actuelle des tribunes. Le public serait accueilli dans les quarts de virage, les tribunes est et ouest, les parties supérieure et basse de la tribune nord. Celle-ci recevrait aussi le Club UEFA. La tribune sud serait un vrai mille-feuille avec, de haut en bas, la presse, deux niveaux de loges, les VIP et le grand public. « Un parvis monumental en pente légère amorcé route de Colmar vers l'entrée du stade » permettrait d'accéder à  la Meinau 2.0 depuis l'Ouest. A l'Est, il faudrait toujours franchir le Krimmeri. Tous ces aménagements seraient revus à  la baisse si la candidature de Strasbourg n'était pas retenue.

Un coût faramineux

Au total, l'investissement pour la Meinau est estimé à  160 millions d'euros. Selon le dossier de candidature que s'est procuré 20 Minutes, le coût de construction est estimé à  lui seul à  124,4 millions d'euros. « La totalité ne viendra pas forcément du secteur public », annonce Roland Ries, qui espère nouer un partenariat public-privé. « Un concessionnaire ou un exploitant » devrait ensuite gérer l'équipement. Jeudi, l'Etat a consenti pour les neuf stades retenus un plafond d'aide de 150 millions d'euros, attribués au cas par cas. « Strasbourg pourrait être l'une des grandes bénéficiaires de cette décision », estime un expert en « stadium consulting ». La ville espère recevoir entre quinze et vingt millions d'euros. Au moins dix sont envisageables.

Bon feeling, mauvais timing ?

Dans le cahier des charges de l'UEFA, les stades devront être terminés à  l'été 2014. Vendredi, devant la presse, la ville s'est démarquée du calendrier imposé. Les travaux, d'une durée de trente et un mois, devraient débuter à  l'été 2012. Soit une livraison à  l'hiver 2014-2015. « Ça peut discréditer la candidature. Le timing est l'un des défauts à  gommer du projet », avertit un consultant proche du dossier français Euro 2016. Attention à  ne pas se mettre hors-jeu, donc

[fan_racing]

Roland Ries est à  la ville de Strasbourg ce que le Présidieu est au Racing : un dirigeant avec peu de charisme, coupé de la réalité et qui ne manque pas d'air

[argueti]

Expert en « stadium consulting », ça c'est un boulot !!!

Sinon, l'UEFA demande été 2014, nous on le livre en hiver 2014-2015 ... Génial !

[lolo]

Ben quoi, c'est juste pour que les "Vitrines de Strasbourg" puissent installer le marché de Noël à  la Meinau 2.0, pas con...