[09/10] Le Fil Rouge

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PoY
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Re: [09/10] Le Fil Rouge

Message par PoY »

DNA a écrit :le Téfécé avait pu s'en sortir puis s'installer durablement en élite grâce à l'arrivée d'un jeune entrepreneur dynamique, Olivier Sadran. Las, ce genre d'homme ne court pas les rues. Au Racing, on est bien placé pour le savoir.
Genre un mec comme Ginestet ? :mrgreen:

C'est clair que le départ de Larguet était une mauvaise nouvelle pour moi... Avec son expérience, on aurait dû avoir un super centre de formation :evil:
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Its_me
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Re: [09/10] Le Fil Rouge

Message par Its_me »

Ce matin en arrivant au boulot, je passe devant le Sofitel et je vois un petit attroupement d'une vingtaine de personnes.
Parmi ces personnes, une douzaine portaient des maillots du Racing et il y avait 2 ou 3 femmes en tenue alsacienne.
Quelqu'un a une idée de ce que ça pourrait être ?

Accueil d'un nouvel entraîneur ? Présentation du maillot ? Accueil pour Fontenla ?
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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argueti
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Re: [09/10] Le Fil Rouge

Message par argueti »

L'Alsace a écrit : Racing : quelles ondes de choc en Alsace ?

La descente du Racing Strasbourg en 3 e division a traumatisé les supporters et, en général, tous les Alsaciens qui apprécient de près ou de loin le football. Mais au-delà de la déception, que signifie le naufrage d’un tel club, emblématique pour l’Alsace ? Et quelles conséquences pour « l’entreprise Racing » ? Il est encore trop tôt pour donner des réponses claires à ces questions, d’autant que chacun n’apprécie pas de la même manière l’apport d’un club de foot dans l’image et l’attractivité d’une région. Les principaux responsables des collectivités alsaciennes sont divisés sur le sujet, les uns parlant d’une « image terrible » pour l’Alsace, tandis que d’autres relativisent le pouvoir de notoriété du football.

Finances : un choc à amortir

La relégation en National, inédite dans l’histoire du Racing, aura naturellement des répercussions sur ses moyens financiers. La direction travaille pour atténuer l’onde de choc.

En charge du marketing du RCS depuis mai 2005, l’agence Sportfive, propriété du groupe Lagardère, gérera en 2010-2011 la régie d’un club de 3 e niveau hexagonal pour la première fois. Malgré la relégation en National, l’ancienne société de Jean-Claude Darmon, ex-grand argentier du football français, a en effet décidé de rester à Strasbourg. Un geste fort.

Alors que les dépenses 2009-2010 excèdent les 20 M€ (millions d’euros), le président Jean-Claude Plessis et ses actionnaires travaillent aujourd’hui à l’élaboration d’un budget de « 8 à 9 M€ » pour 2010-2011. Démentant la menace d’un plan social pourtant inéluctable, sauf miracle (*), le RCS s’organise.

Directeur commercial de Sportfive à Strasbourg, Jean-Noël Roth a ainsi déjà tourné la page de la relégation. « L’arrivée de Jean-Claude Plessis a été ultra positive pour le Racing et nous essayons de capitaliser dessus. Bien sûr que s’occuper de la régie d’un club de 3 e niveau pour la première fois ne fait pas bondir de joie le groupe Lagardère, mais si nous sommes restés, c’est que nous y croyons. C’est faire montre de notre attachement au club que d’être fidèles. »

« Message simple »

Et d’ajouter : « Pour nous, le National ne doit être qu’une parenthèse heureuse, avec la remontée en Ligue 2 dès 2011-2012. Je m’attends à ramer un peu, mais rien que le soir de la défaite fatale à Châteauroux, j’ai bien dû recevoir une soixantaine de SMS de soutien de la part de nos partenaires. Aujourd’hui, nous sommes déjà en discussion avec certains pour qu’ils resignent. Notre message est simple : ‘‘Construisons ensemble.’’ Dans les moments difficiles que nous traversons, nous avons besoin de tout le monde. »

Pour autant, Jean-Noël Roth sait pertinemment que le Racing va devoir se serrer la ceinture. « Pour toute la partie commerciale (loges, « panneautique », sponsoring), hors billetterie et merchandising que le club gère en direct, nous tablons en 2010-2011 sur 1,5 M€ de recettes, soit un peu plus de la moitié de la saison 2009-2010. Nous espérons 6 000 spectateurs en moyenne [NDLR : 11 329 cette année], mais je suis persuadé que nous pouvons faire beaucoup mieux si nous accrochons les premières places dès le début. »

Stéphane Godin

(*) Depuis la descente de Ligue 1 en 2008, le club, dont le budget était alors de 32 millions, a gardé tout son personnel.

Bâle-Fribourg : deux modèles voisins

Alors que le Racing Strasbourg, porte-drapeau du sport d’élite en Alsace, fait naufrage, le FC Bâle et le Sport Club Fribourg continuent de jouer dans la cour des grands. En foot aussi, l’Alsace fait pâle figure par rapport à nos voisins.

20 000 supporters du FCB ont fêté samedi 15 mai, sur la Barfüsslerplatz à Bâle, le 13 e titre de champion de Suisse remporté par les « rouge et bleu ». Ce sacre, intervenu une semaine après la victoire en finale de la coupe de Suisse, va permettre au FCB de participer à nouveau à la Ligue des Champions et contribuer ainsi au rayonnement européen de la cité rhénane.

Grand stade

Comment font-ils ? Ils ont le plus grand stade de Suisse (34 000 places), un puissant sponsor, Novartis, le géant bâlois de la pharmacie, une milliardaire, Gigi Oeri, comme présidente, un entraîneur allemand, Thorsten Fink, et un modeste budget de 24 M€ (millions d’euros).

Le SC Fribourg, qui dispose du plus petit budget de la Bundesliga (30 M€) et du plus petit stade (24 000 places), a réussi à se maintenir dans l’élite allemande après sa remontée sous la houlette de Robin Dutt, le nouvel entraîneur qui a pris la relève du mythique Volker Finke, Pour la 12 e saison en 20 ans, le SCF affrontera les grands clubs allemands à Fribourg, où chaque match se termine avec le « Badener Lied, le chant des Badois.

« Heureusement qu’en Alsace il y a Loeb ! »

Comment les élus alsaciens jugent-ils la descente aux enfers du Racing ? Morceaux choisis. Samedi dernier, Philippe Richert s’est taillé un joli succès, devant les maires du Haut-Rhin, en évoquant la relégation du Racing. « En apprenant la nouvelle, j’ai eu envie de pleurer (NDLR : de rage ?) et de leur donner un coup de pied au derrière », a lâché le président UMP du conseil régional, en déclenchant des ricanements approbateurs dans la salle. Sur le fond, Philippe Richert juge « terrible l’image donnée par le Racing, un club phare pour toute l’Alsace ».

« Des clubs qui se bagarrent »

« Lorsqu’une ville ou une région peut s’appuyer sur un club qui est champion, son dynamisme rejaillit sur toute la région », affirme-t-il, en déplorant que « Strasbourg, capitale européenne, se contente de jouer en 3 e division ». En passant, il s’étonne que « le maire et le président de la Cus [Communauté urbaine de Strasbourg] aient laissé gérer cette crise par un 3 e adjoint ». « C’était à eux de discuter et de créer les conditions du dialogue », s’insurge-t-il, en rappelant qu’ « heureusement, pour l’Alsace, il y a des clubs qui se bagarrent, qu’il y a la natation et le volley à Mulhouse, le handball à Sélestat, le basket à Souffelweyersheim ».

Et, histoire d’enfoncer le clou : « Heureusement, il y a Loeb, six fois champion du monde de rallye, un homme plein de retenue, mais qui ne lâche jamais prise… Et certains voudraient que nous n’organisions pas le Rallye de France en Alsace ! »

Plus modéré, le président UMP du conseil général du Haut-Rhin, Charles Buttner, se réfère à son expérience de professeur d’éducation physique. « Au-delà du sport-spectacle, notre région possède heureusement de nombreux clubs qui jouent à un niveau élevé. Je préfère ce sport-là, qui permet à des jeunes d’émerger », assure-t-il.

La « marque Alsace »

Pas plus que Charles Buttner, Gilbert Meyer — qui observe que « le Racing a toujours eu un public de fidèles qui sont très amers de son évolution » — « ne juge les résultats du Racing déterminants pour l’image de l’Alsace ». Le maire UMP de Colmar, dont l’équipe de football pourrait se retrouver dans la même division que le Racing, répète que « les résultats s’obtiennent à la force des crampons, pas avec l’argent des collectivités »…

« Tout le monde parle du Racing, chacun a son avis », observe le député PS de Strasbourg, Armand Jung, p our qui « il faut surtout ne pas descendre plus bas ». À l’entendre, « il faut éviter les règlements de compte inutiles ». Car « les collectivités n’ont qu’un rôle moral »…

Président de l’Adira, l’agence économique du Bas-Rhin, le sénateur UMP Francis Grignon est surpris de la violence des réactions sur internet. Néanmoins, « si une région, une ville ont besoin de clubs emblématiques », il ne pense pas que ces derniers puissent, à eux seuls, faire venir des investisseurs. « Nous travaillons à mettre en place une marque ‘‘made in Elsass’’, et à réinventer un concept économique régional, englobant nos valeurs et nos priorités. À long terme, ce sera plus important que le sort du Racing », veut croire Francis Grignon.

Adrien Dentz

« Ne pas surestimer, ni sous-estimer l’image négative »

Roland Ries — qui n’est pas vraiment un « footeux », même s’il se montre parfois à la Meinau — répète volontiers, avec un peu d’autodérision, la confidence que lui avait faite Marcel Rudloff, le prédécesseur de Catherine Trautmann à la mairie de Strasbourg : « Si le Racing gagne, c’est grâce aux joueurs, à l’entraîneur et peut-être même grâce au président. S’il perd, c’est forcément la faute du maire ! » « Cela a changé un peu », concède le maire actuel de Strasbourg. Sous-entendu : depuis que l’équipe Trautmann a « privatisé » le club.

La déconfiture que connaît cet ancien club phare du sport régional, dont le nom est fortement lié à celui de la ville, ne ravit pas Roland Ries. Il savait très bien que ses collègues du Sénat ne manqueraient pas de l’interroger sur les raisons de cette chute.

Ne pas exagérer

« Ce n’est pas une bonne nouvelle ! Mais il ne faut ni surestimer, ni sous-estimer l’image négative pour la ville. On savait que le club n’allait pas bien, c’était de notoriété publique. Il y a d’abord eu ce yo-yo entre la queue de la Ligue 1 et la tête de la Ligue 2. Puis on est descendu d’un cran et malheureusement, ce qui devait arriver arriva », lâche-t-il, en reconnaissant qu’il « préférerait être à la place du maire de Lyon ou même de Bordeaux », dont les clubs jouent parmi l’élite.

« Mais juridiquement, le maire de Strasbourg n’a aucun pouvoir sur la société anonyme », se défend-il, histoire de répondre à ses détracteurs qui critiquent sa gestion de l’affaire… Roland Ries rappelle qu’il a tenté de faire « des recommandations » et de mandater un médiateur qui a défendu « l’offre considérable des repreneurs alsaciens, qui se montait à 4,9 M€ [millions d’euros] et qui aurait permis aux financiers londoniens de s’y retrouver », selon lui.

« Nous avons soutenu cette offre car elle était sous-tendue par un projet sportif qui intégrait le football alsacien dans sa dimension amateur. Mais comme il n’y a pas eu de réponse de leur part, on a laissé les dirigeants tranquilles jusqu’à la fin de la saison pour ne pas perturber les joueurs. Le résultat est là et c’est une grande première », ironise-t-il, en observant que « la question, aujourd’hui, est de savoir ce qu’on fait et comment revenir en L2 ? »

Projet sportif

Autant dire qu’il n’a pas la réponse, car il n’a « aucune visibilité », « ni précision sur le déficit », dont il a « entendu par ouï-dire qu’il se monterait à 7 ou 8 M€ »…

« Ou Fontenla et ses associés donnent les garanties réclamées par la Direction nationale de contrôle de gestion et ils devront présenter un budget, ou ils acceptent de vendre et ce ne sera plus aux mêmes conditions », prévient Roland Ries, qui privilégie cependant cette dernière option, espérant que les deux parties arriveront à « un compromis raisonnable ». Car « le pire serait le dépôt de bilan qui ferait descendre encore le Racing d’une division »…

Yolande Baldeweck
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fab
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Re: [09/10] Le Fil Rouge

Message par fab »

Dna a écrit :« Le monde s'est effondré »

Une semaine après la relégation du Racing en National, les supporters strasbourgeois font grise mine. Et oscillent entre la tristesse, la résignation et l'espoir que leur club de coeur retrouve son standing.

Triste, mais pas étonné, tel est en résumé l'état d'esprit des groupes de supporters strasbourgeois après la rétrogradation de leur club en National.
A l'image d'Olivier, un responsable des Ultras Boys 90. « Vu la saison catastrophique, on commençait à s'y attendre. Mais pour nous, le monde s'est effondré et c'est très difficile à vivre », lance-t-il.

Hargne et volonté

Avant d'ajouter : « L'équipe n'avait pas de leader cette année. Je ne parle même pas de talent, mais il aurait au moins fallu avoir de la hargne et de la volonté. Or à Châteauroux, j'ai vu des joueurs sortir du terrain avec le sourire, il y a de quoi se poser des questions. Seuls Sikimic, Cassard et Lacour sont venus voir le parcage avec les larmes aux yeux. Et vu la situation, il fallait en avoir pour s'approcher (*)... ».
Même son de cloche du côté de Jean-Marie Blum, président du club central des supporters. « C'est un énorme gâchis. Ça fait 50 ans que je viens au stade et je n'avais jamais connu une saison aussi noire », expose-t-il.
Autre constat partagé par les supporters, quelle que soit leur appartenance : les malheurs du Racing ne datent pas d'hier. « Depuis 1997 et la vente à McCormack, il y a des soucis, dit Olivier. Ça fait des années que ça dure. La formation ne bosse pas avec le recrutement, qui ne bosse pas avec le sportif... Il n'y a pas d'osmose au sein du club, comment voulez-vous qu'il y en ait sur le terrain ? »
A cet état des lieux sans concession s'ajoutent forcément des craintes pour l'avenir. « Je ne sais pas ce qui va se passer, mais il n'y a que deux solutions : soit on se relève, soit on s'effondre», pointe encore le responsable des UB 90.
Jean-Marie Blum, lui, se veut un poil plus optimiste. « Je suis inquiet, mais au fond de moi, je ne crois pas que le club va disparaître. On a un bon centre de formation, avec des jeunes de qualité et pour rebâtir, ce vivier est essentiel. Après il faudrait une vraie union sacrée, or actuellement il y a une fracture entre les dirigeants et leurs opposants », souligne le président du CCS.

Derby à l'horizon

Seule nouvelle à même de redonner quelques couleurs aux supporters : l'évocation du derby à venir face au SR Colmar. « Un derby, c'est toujours sympa, conclut Olivier, mais franchement, j'aurais préféré que Colmar joue ce derby... contre la réserve du Racing ». Aujourd'hui, on en est loin...

Barbara Schuster
(*) Énervés, les supporters alsaciens étaient en train de jeter des sièges sur la pelouse et de proférer des insultes.
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Re: [09/10] Le Fil Rouge

Message par argueti »

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Re: [09/10] Le Fil Rouge

Message par fab »

l'alsace a écrit : Racing : tout le monde attend

Le passage devant la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) le 3 juin prochain, pour peu qu’il se passe bien, sera le coup d’envoi de la campagne 2010-2011 du RC Strasbourg. Jean-Claude Plessis entend présenter un budget de « 10 ou 11 millions d’euros, c’est un minimum si tu veux remonter tout de suite. » Si le président du Racing table sur un budget aussi élevé pour le National, c’est « pour éviter tout licenciement. » Et son premier souci, c’est d’ailleurs d’embaucher. Un entraîneur si possible. Si la piste qui mène vers l’ancien porte-diplôme de Patrice Carteron à Dijon, Noël Tosi, est plus que jamais d’actualité, Plessis affirme que « rien n’est décidé. Il reste quatre noms sur ma liste. »

On pourrait ajouter - ou peut-être en fait-il partie - Alex Vencel, l’entraîneur des gardiens en fin de contrat. Le Slovaque en termine avec ses diplômes et serait en mesure de prendre une équipe en charge, et pas que les gardiens. « Pour l’instant, je suis en vacances, et je ne sais rien du tout. J’ai envie de repartir avec le Racing, mais il faut déjà qu’on me propose un contrat ! J’ai des projets, en France et à l’étranger… J’attends le passage devant la DNCG. J’ai une famille à nourrir mais je ne suis pas le seul dans ce cas. » La situation des gardiens étant rocambolesque, puisqu’ils sont tous en fin de contrat - « et ça, ça ne date pas des quatre ou cinq derniers mois » - on imaginerait presque Alexander en entraîneur-joueur, histoire de faire quelques économies. Réponse de l’intéressé : « ça va être compliqué ! (rires) J’ai deux ou trois kilos en trop… Sur un match, rendre service pourquoi pas ? Mais sur tout une saison, c’est trop. Place aux jeunes ! Et ils sont nombreux à être plus jeunes ! (rires) »
S.R.
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Re: [09/10] Le Fil Rouge

Message par argueti »

France Football de mardi dernier ...
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Re: [09/10] Le Fil Rouge

Message par urotsukidogi »

C'est bien à charge quand même
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Re: [09/10] Le Fil Rouge

Message par PoY »

1ère phrase, 1ère connerie... Alain Cornélie :?:
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silex57
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Re: [09/10] Le Fil Rouge

Message par silex57 »

urotsukidogi a écrit :C'est bien à charge quand même
Ouais enfin il y a quand même deux partis clairement identifiés :
- Plessis, Gueye, Camadini d'un coté
- Ries, Pignatelli et Ancel de l'autre
Et Janin au milieu.

N'empêche qu'en regardant les deux partis y'en a quand même un qui est plus légitime qu'un autre (président de club reconnu, joueur et ancien joueur contre maire, actionnaire minoritaire et homme d'affaire) ....
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.
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