Le Conseil d'Administration

[Its_me]

Moi c'est aussi comme ça que je le comprend.

[PoY]

Sisi ils auront encore leur part
L'abandon en compte courant (si je dis pas de conneries) c'est juste faire une croix sur l'argent qu'ils avaient injectés dans le passé pour combler des déficits et que le club est censé rembourser un jour

[urotsukidogi]

Oui mais cet argent au jour d'aujourd'hui, il est virtuel, il n'est constitué que par leurs parts,non? Ils pourraient dire je reprend mes billes, mais dans ce cas là, ils abandonnent leurs actions, non? Sinon moi j'achète 10€ d'actions, je reprends mes 10€, je garde mes actions et je rachète de suite 10€ et ainsi de suite, vraiment pas clair cette histoire

[rudu]

Non. L'argent sur les comptes courants d'associés est versé en plus de la valeur des actions et pas forcément au moment de l'achat des actions.
Cet argent en compte courant d'associés sert à apporter de la trésorerie au club.

[baskath]

Tout à fait : les comptes courants n'ont rien à voir avec les actions.

A mon avis, cette demande de Fontenla était une réponse à la demande du droit de préemption. Style : "vous me demandez de signer un truc inimaginable, je peux le faire aussi !".

[urotsukidogi]

Ah ok je comprend mieux maintenant

[argueti]

L’AG ajournée

L’assemblée générale de la SASP Racing (Société Anonyme Sportive Professionnelle), qui devait avoir lieu ce mercredi à 14 h, a été ajournée. Les deux derniers administrateurs alsaciens, Léonard Specht et Thierry Wendling, auraient dû y être révoqués. Aucune nouvelle date n’a pour l’instant été fixée.

[argueti]

Hilali entre officiellement en scène

Comme prévu, l’assemblée générale de la SASP Racing (société anonyme sportive professionnelle) a entériné en début d’après-midi le nouveau mode de gouvernance du club strasbourgeois. Jusqu’ici dévolu à un conseil d’administration de neuf membres, le pouvoir sera désormais concentré sur un directoire à trois têtes, présidé par le président du RCS Jean-Claude Plessis et complété par le président-délégué Christophe Cornelie et l’actionnaire majoritaire Jafar Hilali, qui entre ainsi officiellement dans le cercle décisionnaire, même s’il tirait les ficelles depuis le rachat début décembre par le « clan des Londoniens. »

Ce directoire sera chapeauté par un conseil de surveillance riche de onze membres, présidé par le copropriétaire Alain Fontenla et vice-présidé par l’ancien président du club (1990-1992), Jacky Kientz, membre du pool de repreneurs potentiels alsaciens au printemps et qui, depuis juillet, mène une mission de conseil auprès des nouveaux actionnaires majoritaires. La nomination au conseil de surveillance de J. Kientz, taxé par certains d’avoir retourné sa veste pour assouvir ses ambitions personnelles, est d’ailleurs le point qui a le plus fait débat, les actionnaires minoritaires alsaciens votant en grande majorité contre.
Ce conseil de surveillance, dont le seul pouvoir effectif est le renvoi du directoire, sera composé, outre Fontenla et Kientz, de Carousel Finance, la société de Jafar Hilali que l’ex-administrateur Abdelzak Begga représentera, Jean-Luc Witzel, le directeur sportif, Olivier Kachkach (bras droit de Hilali), Serge Cayen (l’ancien directeur de la sécurité du club qui traverse décidément toutes les époques), Pierre Ducaille, un banquier proche de Hilali chargé de lever des fonds pour mener à bien le projet de construction d’un nouveau stade, Lakhdar Messoussi (ami personnel de J. Hilali), l’association support RCS football (représentée par Thierry Wendling, ancien administrateur alsacien), Léonard Specht (représentant de l’industriel Robert Lohr, propriétaire de 20 % de la SASP) et Michel Wild (porte-parole de l’ex-président Egon Gindorf et de sa société Eurodirect).

Même si, lors d’un point presse au cours duquel Jafar Hilali est de nouveau resté invisible, Olivier Kachkach a assuré que la volonté des Londoniens était d’utiliser « l’expérience et la capacité de réflexion » des membres du conseil de surveillance, cette nouvelle pyramide poursuit avant tout un but, certes non avoué : concentrer le pouvoir sur un minimum de personnes.
Dans les faits, Hilali, Cornelie et Plessis géreront le club au quotidien et définiront toutes les orientations majeures. Le conseil de surveillance ne fera qu’avaliser les décisions. En cas de désaccord, le conseil de surveillance a toutefois le pouvoir de révoquer le directoire. Ce qui n’arrivera évidemment pas : il est en majorité acquis à la cause des propriétaires. Ce n’est pas critiquable en soi. Juste une réalité. En 1997, IMG/Mc Cormack et Patrick Proisy avaient instauré le même mode de fonctionnement pour s’assurer une entière liberté d’action.

[télésupporteur]

ca y est : les locaux se bouffent déjà le nez entre eux
et ils auraient voulu reprendre le racing

[silex57]

Et ouais manque un homme fort dans tout ça ...