[Ex] Fabrice Ehret

Vos impressions sur les anciens et actuels joueurs de l'effectif
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silex57
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Re: [Ex] Fabrice Ehret

Message par silex57 »

En tous les cas on le voit de plus en plus dans l'EDD ce qui est bon signe pour lui.
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silex57
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Re: [Ex] Fabrice Ehret

Message par silex57 »

3ième but de la saison pour lui ce soir, but décisif qui permet à  son équipe de se maintenir.
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argueti
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Re: [Ex] Fabrice Ehret

Message par argueti »

Ehret resigne pour 2 ans

Le milieu de terrain français Fabrice Ehret a signé une prolongation de deux ans avec Cologne, a annoncé lundi le club allemand. Il est désormais engagé jusqu'en 2011. Passé par Strasbourg et Anderlecht, Ehret, 29 ans, porte depuis 2007 les couleurs de Cologne, 12e de la Bundesliga cette saison. Il dispose d'une option pour une année supplémentaire.
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Seb T.
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Re: [Ex] Fabrice Ehret

Message par Seb T. »

ouf, je le voyais déjà  sur les tablettes, c'est bon, qu'il reste en Bundesliga... Y'a pas une petite place pour Lacour au FC Kà¶ln hein ???
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
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argueti
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Re: [Ex] Fabrice Ehret

Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Ehret, chouchou de Cologne

Le Haut-Rhinois Fabrice Ehret vient de signer un nouveau bail avec Cologne en Bundesliga. Un championnat où il a fini par s'imposer après quelques galères.

La vie d'un footballeur professionnel n'est pas toujours un long fleuve tranquille. Fabrice Ehret, l'enfant de Petit-Landau, peut en témoigner, lui qui a connu quelques passages difficiles avant de trouver le grand bonheur du côté de Cologne, club phare de la Bundesliga. Il n'a pas oublié les passages délicats à  Anderlecht, là  où il a découvert la Ligue des champions, joué contre Chelsea, mais où les relations avec son entraîneur ont été plus que difficiles. Au lieu de se relancer à  la Lazio de Rome, où les contacts avaient été avancés, il a dû mettre le cap sur Aarau, petit club suisse, qui lui a quand même permis de filer ensuite à  Cologne, en D2 allemande.

« Un homme s'est mis à  genoux devant moi en me montrant le tatouage du club »

Cologne, fief du carnaval, de l'économie, mais aussi du football allemand. Un autre monde où Fabrice Ehret s'épanouit, au point d'être idolâtré par les fans, qui adorent son abnégation et ses courses incessantes vers l'avant. Cologne, considéré comme « un deuxième Bayern, avec un énorme engouement médiatique ». Il y a signé il y a trois ans, alors que le club était en seconde division. Après la montée en 2008, il a eu le grand bonheur de découvrir la Bundesliga la saison dernière, avec quelques frayeurs au début. « J'avais fait toute la préparation comme titulaire et juste avant le début de la saison, le coach (Ndlr : Christoph Daum, dieu vivant au bord du Rhin, parti depuis à  Fenerbahçe Istanbul) m'a signifié qu'il ne comptait plus sur moi. J'avais refusé une offre d'Ipswich quelques jours plus tôt. Je suis tombé des nues… Quand tout le monde dit que les footballeurs ont de la chance, je pense que mon parcours atteste qu'ils peuvent vivre des moments très difficiles ». Mais Fabrice Ehret s'accroche et, après le départ raté de son équipe, retrouve le terrain après cinq journées et marque chez l'ennemi de Mà¶nchengladbach. Il s'impose ensuite comme milieu gauche et fait définitivement partie des incontournables après avoir inscrit un but sur la pelouse du Bayern de Munich à  la fin de l'hiver. Fin mai, il a resigné à  Cologne pour deux ans et une troisième année en option, un « très bon contrat » à  la clé. Il savoure sa nouvelle popularité, dont il a pu se rendre compte lors de ses vacances à  Majorque. « J'étais sur une chaise longue, un homme s'est mis à  genoux devant moi en me montrant le tatouage du club. Ensuite, ils étaient dix autour de moi à  chanter à  la gloire du FC Cologne. C'est quelque chose de fou… L'engouement populaire est impressionnant. Même en D2, ils étaient 42000 au stade. Quand le bus de l'équipe arrive, il doit d'abord franchir une marée humaine de fans qui chantent. Le public te fait ressentir qu'il t'apprécie, même dans les moments moins bons. Il n'y a jamais de jalousie comme on peut le voir ailleurs ». Le public tient d'ailleurs un rôle important, même sur la pelouse. « Il n'arrête pas de pousser pour que le jeu aille vers l'avant, confie l'Alsacien . Les entraîneurs disent toujours qu'il ne faut pas se laisser entraîner par le public. Il faut rester concentré. Franchement, l'Allemagne, c'est vraiment le pied. Et Cologne n'a jamais oublié ses glorieux anciens. Le président est Wolfgang Overath, champion du monde 1974. Je travaille tous les jours les corners et coups francs avec Thomas Hà¤ssler, champion du monde 1990. Et Toni Schumacher passe de temps en temps dans le vestiaire. J'avoue qu'au début, je ne voulais pas trop lui serrer la main (rires). Et quand j'emmène des gens au stade, ils veulent tous revenir ». Ce n'est guère surprenant.

Racing : « Plus le niveau »

Fabrice Ehret a porté six années le maillot du Racing-Club de Strasbourg et, en tant qu'Alsacien, garde toujours une petite place dans ses pensées pour le club strasbourgeois. Avant de se réengager avec Cologne le mois dernier, son agent a été en contact avec le Racing. « Strasbourg est venu me voir jouer plusieurs fois, témoigne le joueur. Les recruteurs ont informé mon agent que j'étais moyen et que je n'avais plus le niveau de jeu pour jouer au Racing. Franchement, j'adore ce club, mais là , tu te demandes quand même… Pour un mec qui n'a pas le niveau, je m'en sors plutôt bien, vous ne croyez pas ? » D'autres clubs français, comme Saint-Etienne et Toulouse, s'étaient aussi renseignés, mais « un retour en France n'est pas d'actualité ».

Fabrice Ehret a son propre site internet : http://www.fabriceehret.com

Marc Wilb
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Re: [Ex] Fabrice Ehret

Message par argueti »

Même si son entraîneur Christoph Daum est parti en Turquie à  l'intersaison, Fabrice Ehret reste dans les petits papiers de son successeur Zvonimir Soldo. Buteur la semaine passée face au champion Wolfsburg, il s'est une nouvelle fois distingué samedi avec Cologne face à  Francfort. Il a distillé de nombreux bons ballons pour Podolski et Novakovic, mais les deux attaquants n'ont pas réussi à  marquer. Pire, le Haut-Rhinois a dû quitter ses partenaires après 59 minutes de jeu, blessé par une agression de Ochs, qui était expulsé directement sur cette action. Ehret a été touché au mollet gauche et est aux soins depuis hier, mais la blessure n'est pas trop grave, selon le médecin de son club.
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Re: [Ex] Fabrice Ehret

Message par Its_me »

L'Alsace a écrit :Le Haut-Rhinois Fabrice Ehret s’est engagé il y a quelques minutes en faveur d’Evian-Thonon-Gaillard, tout juste promu en Ligue 1, où il a signé un contrat de deux années, plus une en option.
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Re: [Ex] Fabrice Ehret

Message par Stan »

Sympa de le revoir en L1
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Re: [Ex] Fabrice Ehret

Message par Kaniber »

Foot National a écrit :Nancy : Rechute pour Fabrice Ehret
Clairement, Fabrice Ehret est en train de vivre une saison galère. Blessé lors de la première journée de Ligue 2, le défenseur de 35 ans ne parvient pas à retrouver la forme. Après avoir intégré les rangs de la réserve, l'ancien Strasbourgeois, touché au genou, a rechuté. Il vient d'être arrêté six nouvelles semaines. Les pépins continuent.
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Re: [Ex] Fabrice Ehret

Message par Kaniber »

Alsace a écrit :Ehret : stop ou encore ?
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Blessé depuis le mois d’août dernier, Fabrice Ehret a repris l’entraînement avec l’AS Nancy (L2) depuis quelques jours, non sans ressentir toujours une gêne au genou. Apprivoiser la douleur le temps d’une saison supplémentaire ou alors tout arrêter : le Haut-Rhinois se laisse jusqu’à cet été pour trancher.

55 minutes. 55 malheureuses petites minutes. Voilà en tout et pour tout le temps passé par Fabrice Ehret avec le maillot de l’AS Nancy-Lorraine sur les épaules cette saison. C’était le 1er août dernier, face à Dijon, lors de la journée inaugurale du championnat de Ligue 2.

Ce jour-là devait être le début d’une nouvelle belle aventure pour le Haut-Rhinois, arrivé en Lorraine au cours de l’été en provenance d’Evian. Après 55 minutes de jeu, ce jour-là n’a été finalement que le début d’une grosse galère. « Une misère » selon l’intéressé qui, huit mois plus tard, n’a toujours pas rejoué le moindre match officiel.
« J’ai compris aussi que je n’étais pas fait pour attendre la fin du mois et encaisser les loyers »
Contraint d’observer le plus strict des repos pour guérir un genou gauche enflammé puis opéré ( « un bout de cartilage se baladait et a ensuite été enlevé » ), Fabrice Ehret a dû apprendre à vivre au rythme de journées sans vrais lendemains. En tout cas pas pour lui, dont la vie a toujours été rythmée par le foot. « Au départ, j’ai ressenti comme un grand vide, dit-il. Je me levais et je n’avais aucun horaire à respecter, aucun truc qui me poussait. Ça m’a vraiment fait flipper. J’ai réalisé combien l’après-foot peut s’avérer difficile. J’ai compris aussi que je n’étais pas fait pour attendre la fin du mois et encaisser les loyers de mes appartements. Je n’ai jamais connu de grosse blessure de toute ma carrière et c’est peut-être pour cela que j’ai eu tant de mal à l’accepter et à la gérer. Heureusement, très vite, je me suis pris en main. Le fait de me plonger dans la gestion de mes biens immobiliers et de pouvoir me consacrer à mon autre passion qu’est la musique, ça m’a vraiment aidé. Je serais devenu fou sans ça. »
Depuis deux semaines, l’enfant de Petit-Landau a repris l’entraînement avec le groupe pro de l’ASNL. Officiellement, il est toujours footballeur. Mais en sursis. La faute à ce même genou qui continue de le faire souffrir et qui n’arrêtera probablement jamais de le faire. « Aujourd’hui, sans ce cartilage, l’articulation est sans protection, à vif. Ce handicap, je vais le porter à vie. En fait, la question est aujourd’hui de savoir si je vais réussir à m’adapter à cette douleur. À la supporter tout en restant compétitif. »

Le moment est capital. Du verdict dépendra tout bonnement l’arrêt ou non de la carrière du milieu gauche aux 140 matches de Ligue 1 et 75 de Bundesliga. « Pour le moment, je gère à peu près, mais qu’est-ce que ça donnera en match ? Je vais me laisser cette fin de saison et pourquoi pas la trêve estivale pour voir comment évolue la douleur. Si je boite chaque matin, il faudra arrêter les frais. Je veux encore pouvoir marcher après ma carrière de footballeur et faire un petit tennis quand j’en aurai envie. »
Prêt à jouer pour 2170 euros brut
Dans le cas contraire, si son genou venait à le laisser un tant soit peu tranquille, il prolongerait l’aventure sur les terrains, comme il en ressent toujours le profond désir. « La motivation est là, insiste-t-il. Et le reste de la mécanique fonctionne parfaitement. J’ai encore envie de jouer, les soirs de match sont toujours aussi pénibles à vivre. J’aimerais vraiment ne pas m’arrêter là-dessus. Et continuer encore un peu… »

Pour lui, évidemment, mais aussi pour son club de Nancy envers qui le Haut-Rhinois se sent « redevable » , même s’il n’a jamais demandé à personne de se blesser après 55 minutes. « J’ai signé ici pour aider l’ASNL, pas pour squatter l’infirmerie et regarder les matches de la tribune. Pendant toute la saison, j’ai été payé pour me soigner. Dans certains clubs, je peux affirmer qu’on me l’aurait bien fait sentir. À Nancy, les dirigeants ont été attentionnés et vraiment tolérants. Ils m’ont laissé le temps et m’ont fait confiance dans mon programme d’entretien physique. Le président (Jacques Rousselot) et le coach (Pablo Correa) sont des personnes exceptionnelles. Je ressens comme une dette envers eux. »

Pour l’honorer, Fabrice Ehret a déjà une idée en tête. Au cœur de l’été, si ses dirigeants et son genou sont partants, il effectuera la préparation d’avant-saison avec l’effectif nancéien. Dans l’hypothèse où il fait encore l’affaire, il s’engagera alors avec le club au salaire mensuel minimum autorisé par la charte du football professionnel. Autrement dit 2170 euros brut. « Ma paie, ce serait d’être sur le terrain, de prendre encore du plaisir et d’aider Nancy à atteindre ses objectifs. Ce n’est pas une question d’argent. J’aimerais juste finir ma carrière pro sur une bonne note. »
Avant de revenir pour de bon en Alsace, probablement chez lui près de Petit-Landau, de construire sa maison et de se lancer dans de nouveaux projets qui continueront de lui donner envie de se lever tôt.
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