[Ex] Cédric Kanté

Vos impressions sur les anciens et actuels joueurs de l'effectif
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télésupporteur
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Message par télésupporteur »

tu as raison
un argument objectif s'appelle un fait
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Seb T.
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Message par Seb T. »

Tu retombes plus facilement sur tes pattes que tu n'argumentes...

Décidément...
télésupporteur
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Message par télésupporteur »

flatterie ou flagornerie ;)
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Pinon
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Message par Pinon »

L'Alsace a écrit :Kanté en prend son parti

Le Strasbourgeois de naissance, parti du Racing l’an dernier, accueille son club formateur ce samedi (20 h) avec l’OGC Nice. Un « Gym » où il espérait trouver de la stabilité. C’est raté.

Cédric Kanté avait fait le tour de la question. Né à  Strasbourg le 6 juillet 1979, formé au Racing où il avait pris son essor footballistique - après, c’est vrai, deux prêts en L 2 à  Istres et Valence entre 2001 et 2003 - le Franco-Malien aspirait à  autre chose. Nice, qui l’avait déjà  sollicité un an plus tôt, est revenu à  la charge à  l’été 2006 et a emporté le « morceau » pour un million d’euros (1). « Ced » ne se voyait pas jouer à  l’étage du dessous après la relégation du RCS et s’est engagé sur la Côte d’Azur pour trois ans. Il y espérait trouver la stabilité et s’éloigner un peu du chaos chronique du « Marseille de l’Est ».
Mais entre la guéguerre entre dirigeants (avec le vrai-faux départ du président Maurice Cohen), le report du projet de grand stade, une entame sportive catastrophique (1 point lors des 6 premières journées) et la valse-hésitation sur le maintien de l’entraîneur Frédéric Antonetti (virtuellement remplacé par son adjoint, l’ex-Racingman José Cobos, avant d’être finalement maintenu), l’international malien en a vu de toutes les couleurs. Malgré une bonne saison sur le plan personnel (30 matches en L 1, en dépit d’une blessure sitôt son arrivée), il tient un discours sans concession sur son club.

Cédric, en rejoignant Nice, vous souhaitiez trouver la sérénité qui faisait défaut à  Strasbourg. On peut dire que vous avez été gâté…

Sur le plan sportif, il y a toujours des aléas. Nice venait d’être finaliste de la Coupe de la Ligue et avait terminé 8e en L 1. Il s’est peut-être enflammé. Et le Gym n’étant ni Lens ni Bordeaux, il s’est retrouvé à  la lutte pour le maintien, après un début de saison catastrophique. Mais bon, ça peut arriver. En revanche, je pensais arriver dans un club stable, mais les problèmes extrasportifs m’ont déçu. Les dirigeants et les actionnaires sont en guerre (2). Le nouveau stade, doublé de la création d’un centre d’entraînement, avait beaucoup pesé dans ma décision de rejoindre Nice. A l’arrivée, la stabilité retrouvée dont on m’avait parlé, ce n’est que du vent. Le projet de stade aussi. Mais même sans ce dernier, même sans l’entente cordiale des dirigeants, je suis joueur de Nice et je me donne à  fond.

« Le Racing m’a favorablement impressionné »

N’avez-vous pas été tenté de partir cet été ?

Le club ne m’aurait pas laissé partir. Et même si je suis déçu et frustré, je n’ai pas l’impression d’avoir été trompé. Car sportivement, j’ai vécu neuf mois et demi très corrects. Si l’on excepte nos 6 premiers matches, nous avons terminé dans la première moitié de tableau. Notre jeu est cohérent. Le coach m’a toujours fait confiance. Après une blessure, je me suis imposé comme titulaire indiscutable. Quand le sportif va, le reste suit. Globalement, mon expérience niçoise est positive.

Vous avez pourtant ouvert la saison par une défaite 1-0 à  Caen. Cela ne vous met-il pas une pression supplémentaire avant de recevoir Strasbourg samedi ?

Non, pas vraiment. Parce que nous n’aurions jamais dû perdre à  Caen et que nous avons montré là -bas un état d’esprit très différent de l’an passé à  la même époque. L’arrivée en janvier de garçons comme Lilian Laslandes et Lionel Letizi a été déterminante, notamment dans le vestiaire. Ils ont apporté une expérience que nous n’avions par exemple pas à  Strasbourg lors de la descente en 2005-2006. Aujourd’hui, nos ambitions n’ont pas été clairement affichées. Nous aimerions juste ne pas nous refaire les frayeurs de l’an passé.

En battant Strasbourg samedi pour commencer ?

Oui, même si nous savons que ce ne sera pas aisé. Le Racing m’a favorablement impressionné contre l’OM. Contrairement à  ce qu’on aurait pu croire, il n’a pas été timide. Il a bougé et surpris les Marseillais, en dégageant l’image d’une équipe qui tient la route et qui joue, ce qui semble être la marque de fabrique de son nouveau coach.

(1) Le Racing a perçu un bonus de 200000 euros après le maintien du club azuréen en L 1.
(2) Une plainte est en cours et on parle aujourd’hui de la revente du club. On évoque aussi le possible licenciement de José Cobos, passé en janvier du statut d’adjoint à  celui de membre de la cellule recrutement.
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Pinon
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Message par Pinon »

L'Alsace a écrit :Kanté séduit par le milieu. « Le milieu de terrain strasbourgeois est de qualité et l’a montré contre Marseille. L’apport d’un joueur aussi technique que Yacine va encore le bonifier », juge le Niçois - et ex-Racingman - Cédric Kanté qui est d’ailleurs de temps à  autre en contact avec « Yaz », mais aussi avec Habib Bellaïd ou les deux kinés Eric Moerckel et Nagib Remita. « A Noël, j’étais venu m’entraîner avec Strasbourg, car Nice ne reprenait que début janvier », rappelle le défenseur central qui ignore s’il pourra faire sa grande rentrée à  la Meinau lors du retour le 12 janvier. « Si le Mali se qualifie pour la CAN, je ne serai pas du déplacement en Alsace. »
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Message par argueti »

http://www.dailymotion.com/video/x1717y ... -67_street :lol:

PS : Je vous laisse deviner qui l'a trouvée ;)
L'histoire est en marche ...
Manu
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Message par Manu »

8) :lol:
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Re: [Ex] Cédric Kanté

Message par argueti »

LAFA a écrit : La maturité selon Kanté

En mars, Cédric Kanté a franchi la barre des 150 matches en Ligue 1. Depuis deux saisons à  Nice, l'ancien défenseur central formé à  Strasbourg poursuit une carrière linéaire avec une moyenne de trente matches par saison depuis 2003. Le Strasbourgeois revient sur le chemin qui l'a mené au monde professionnel. Tout pro a été amateur.

« Bien que je sois né à  la Meinau, j'ai débuté chez les Pierrots Vauban vers l'âge de six ou sept ans. Ma mère travaillait à  côté du stade et ma grand-mère vivait à  l'Esplanade. C'était plus pratique. J'y ai joué jusqu'en moins de 15 ans deuxième année. Mon premier entraîneur était Pascal Droehnlé, entraîneur de l'équipe une aujourd'hui. L'ambiance était sympa, je me souviens des tournois à  Brétigny-sur-Orge, à  Vauban, le 1er mai. J'ai gardé des contacts avec quelques-uns de mes anciens coéquipiers comme Hervé Montaise et Steve Souchette. Nous sommes restés proches.

« Footballeur ? Pas une obsession »

Le Racing ? C'est mon père qui m'a appris la nouvelle. En fait, j'étais surpris que ce club s'intéresse à  moi. Je venais de vivre une saison pas terrible en 15 ans avec un maintien obtenu à  la dernière journée. En plus, devenir footballeur était loin d'être une obsession. J'étais également en équipe d'Alsace mais je n'avais aucune prétention. A la rentrée 1994, je rentre en sport-études, en seconde, au lycée Jean Monnet et signe une licence amateur au Racing. A cette époque, mon objectif était surtout d'avoir le baccalauréat. Au départ je n'intègre pas le centre de formation. La première année est difficile en 17 ans, Je sens que je n'ai pas le niveau. Techniquement, j'ai des lacunes énormes. Jacky Duguépéroux pensait d'ailleurs que j'étais arrivé un peu tard pour rattraper mon retard. Cette première saison aura forgé mon caractère, cela m'a servi.

Va-et-vient entre CFA et pros

En 1995, je poursuis en moins de 17 ans, toujours avec le même contrat. Je m'entraîne de temps en temps avec la CFA avec qui je ferai quasiment tous les matches retours. Cette saison-là , je découvre également l'équipe de France, une superbe expérience. La saison suivante je signe un contrat aspirant 2e année. J'évolue en CFA mais Jacky Canosi prend ma place sur le cycle retour durant lequel je me blesserais également à  la cheville. Cela me permet de réviser mon bac S et de le passer. En 1997, à  18 ans, je signe trois ans stagiaire. L'année suivante je commence à  m'entraîner avec les pros. Claude Leroy est alors Manager général et Pierre Mankowski entraîneur mais en 99-00, je reprends avec la CFA. Apparemment ce n'est pas trop satisfaisant. Pascal Johansen est dans le même cas que moi. On se retrouve mis à  l'écart, les plus vieux, en réserve, avec Yvon Pouliquen comme entraîneur. Au début de l'hiver 1999, Leroy remplace Mankowski. Pascal Johansen et moi réintégrons le groupe pro pour le stage de reprise après la trêve. Tout se passe bien. Pascal devient titulaire après un bon match contre Metz. Moi je participerai à  deux rencontres. A l'arraché, au bout de mon contrat, je signe pro quatre saisons.

Pourtant, aller au bout de son contrat stagiaire n'est jamais un bon indicateur. J'allais sur mes 21 ans ».
L'histoire est en marche ...
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Re: [Ex] Cédric Kanté

Message par Stan »

Joueur loin d'être exceptionnel mais tout de même assez régulier. J'en garde un assez bon souvenir.
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silex57
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Re: [Ex] Cédric Kanté

Message par silex57 »

Bien doté en défenseurs centraux, l'OGC Nice ne semble pas disposé à  proposer une prolongation de contrat à  Cédric Kanté (il est lié à  Nice jusqu'en juin 2009). Le défenseur malien évoque donc son possible départ pour un club plus huppé : « La question s'est posée, a-t-il affirmé à  nos confrères de Nice-Matin. Et je me dirigeais vers un départ logique. Mais si je quittais le Gym, c'était pour un club plus huppé. Quant à  une éventuelle prolongation cela ne semble pas être trop la volonté des dirigeants. C'est le statu quo. Mais être en fin de contrat, ce n'est pas le top non plus. On discutera après le stage pour voir ce qu'il en ressort. » Le PSG et Saint-Etienne suivent le joueur avec intérêt.
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.
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