[Ex] Franck Leboeuf

Vos impressions sur les anciens et actuels joueurs de l'effectif
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Stan
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Message par Stan »

Oui bon voila quoi :wink:
Manu
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Message par Manu »

L'ancien international français a annoncé mardi sur RMC qu'il mettrait un terme à  sa carrière à  l'issue de l'actuelle saison, fin mai. Il joue pour les couleurs d'Al-Waqra, au Qatar.

«C'est une fin de carrière, a déclaré le champion du monde 1998 et d'Europe en 2000, interrogé sur son avenir au terme de la saison. Je crois que j'ai réussi à  tuer le football qu'il y avait en moi, en tout cas physiquement».

Leboeuf, 37 ans (50 sélections, 4 buts), dont la dernière sélection avec les Bleus remonte à  2002, avait rejoint le club d'Al-Saad à  l'été 2003 en provenance de Marseille (L1) avant de poursuivre, toujours au Qatar, à  Al-Waqra.
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PoY
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Message par PoY »

Et voilà , c'est fait ;)
sports.fr a écrit :Frank Leboeuf met fin à  sa carrière
Frank Leboeuf a décidé de mettre un terme à  sa carrière à  l'âge de 37 ans. L'ancien défenseur de l'équipe de France championne du monde et d'Europe, évoluait depuis deux saisons au Qatar. L'ex-capitaine de Chelsea et de l'OM a disputé son dernier match sous le maillot d'Al-Waqra le week-end dernier à  l'occasion de la finale de la Coupe de l'Emir, perdue face à  Al-Saad. Leboeuf est le neuvième champion du monde 1998 à  raccrocher les crampons.
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Bou
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Message par Bou »

Et ben, c'est aussi toute une generation du racing qui se met a la retraite en ce moment... en tout cas bonne retraite/reconversion Franckie !!!
Je vais te manger !!! (pompompom....)
louki_louki
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Message par louki_louki »

Un futur membre du club? Où son attachement au club n'est pas si évidente?
Robinho au Racing s.v.p. !!
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NéRiK
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Message par NéRiK »

Il est vrai qu'il à  joué avec Marco mais je pense pas pour autant qu'il rejoindra le club.N'avait-il pas dit qu'il voulait un jour ce consacrer au cinéma? :roll:
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
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Pinon
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Message par Pinon »

Sans tambour ni trompette, Franck Leboeuf a annoncé le 6 juin dernier l'arrêt de sa carrière. Mais son passage à  l'OM pourrait le rattrapper. Selon le Journal du Dimanche, le champion du Monde aurait en effet touché 200 000 euros de la part du club Marseillais, alors qu'il évoluait déjà  à  Al Saad. Cet argent serait la contre-partie d'un contrat de prestation de services : une mission de conseil et de prospection au Qatar, dont les résultats demeurent un mystère.

Mais cette somme pourrait également correspondre à  une prime promise au joueur par Bernard Tapie, à  l'époque où celui-ci s'occupait du recrutement de l'OM. Une prime dont un premier versement avait eu lieu de façon occulte et indirecte dans le cadre du transfert d'Eduardo Tuzzio. On se souvient que le joueur avait été acheté 2,37 millions d'euros par le Servette de Genève avant d'être revendu quelques jours plus tard pour 6 millions d'euros à  l'OM.

Même si Franck Leboeuf a toujours été très clair au sujet du transfert de Tuzzio, allant lui-même expliquer les faits aux enquêteurs, l'emploi pour lequel il a été payé au Qatar pourrait lui valoir quelques soucis.
Toujours et encore les mêmes histoires à  l'OM :lol:
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo

Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais

Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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Keating
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Message par Keating »

TV News a écrit :Franck Leboeuf sera associé à  Thierry Roland pour commenter une quinzaine de matchs sur M6, lors du Mondial. M6 a acquis les droits de diffusion de 31 matchs jusqu'en quarts de finale
télésupporteur
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Message par télésupporteur »

leboeuf et le beauf :lol:
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argueti
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Message par argueti »

DNA a écrit :Leboeuf sans langue de bois

Frank Leboeuf n'a pas pris un gramme. Toujours aussi affûté, le champion du monde 1998 était de passage à  Walbourg la semaine dernière. L'ancien libero du Racing en a profité pour évoquer la Coupe du monde ou encore la situation du club strasbourgeois. Avec son franc-parler habituel.

- Avez-vous conservé des attaches en Alsace ?
- Avec ma femme et mes enfants nous avons encore deux ou trois amis à  Strasbourg. Mon fils avait envie de faire un stage de foot, donc j'ai pensé à  ceux de Leonard Specht qui m'a fait venir au Racing quand il en était l'entraîneur. C'est toujours un plaisir de revenir dans la région.
- Quel lien entretenez-vous avec le Racing ?
- Comme la plupart des joueurs pro, je me tiens informé des résultats des clubs où j'ai évolué.
Au Racing, j'ai vécu une grande histoire : j'y suis resté cinq saisons et demie, on a joué la Coupe d'Europe. C'est à  Strasbourg que je suis devenu international et le dernier match que j'ai disputé à  la Meinau, c'était contre la Finlande avec les Bleus.
- Que vous inspire la situation actuelle du club ?
- Voir le Racing descendre en L 2 m'attriste. Je me rappelle encore de la fête quand nous étions monté en première division en 1993.
Je souhaite que le Racing retrouve l'élite le plus rapidement possible car ses supporteurs le méritent. A Strasbourg, il y a une vraie passion pour le ballon rond.

« Difficile d'avoir les mains libres au Racing »

- Un peu comme la ferveur autour de l'OM à  Marseille...
- Oui, à  un degré moindre. Ce sont deux clubs extraordinaires avec des supporteurs exceptionnels mais ici, les gens sont plus réservés. Leur manière de s'intéresser au football reflète leur tempérament.
En fait, le Racing et l'OM sont surtout comparables pour un de leurs mauvais côté. Dans ces deux clubs, il est difficile de travailler parce qu'on n'a pas les mains libres. Il y a des gens qui gravitent autour du club, des anciens qui font de l'ingérence dans les affaires de l'équipe.
Robert Louis-Dreyfus m'avait proposé de devenir manager de l'OM. J'avais refusé pour ces raisons.
- Comment avez-vous vécu votre expérience de consultant pour le télévision pendant le dernier Mondial ?
- J'avais envie de connaître la Coupe du monde d'une autre façon. C'était un coup de coeur, pas une question d'argent. Je suis très content des audiences qu'on a réalisées avec Thierry Roland. Malgré tout, cela reste une pige, je ne me vois pas faire que ça. Mais tous les deux ou quatre ans, pourquoi pas ?
- Que répondez-vous à  ceux qui vous reprochent d'avoir, parfois, fait des commentaires « au ras des pâquerettes » ?
- Avec Thierry, on n'était pas là  pour faire plaisir aux intellectuels de Paris (sic). Je me moque complètement de ce type de critiques. Je sais que je suis capable de parler autrement, j'ai déjà  fait une conférence en anglais à  l'université d'Oxford. Au Mondial, je n'étais pas là  pour faire du Ex-Libris. Je m'adapte au public populaire du foot. Au début, j'essayais de faire de belles phrases pour la télé, mais j'ai vite arrêté.
- Comment avez-vous trouvé le niveau général de cette Coupe du monde ?
- Le niveau de jeu était très moyen. A part France - Brésil et Allemagne - Argentine, il n'y a pas eu de grands matchs. On sentait qu'il y avait de la retenue chez les joueurs. J'ai assisté à  des rencontres pathétiques comme Ukraine - Tunisie.
Par contre l'organisation était extraordinaire dans des stades magnifiques et l'ambiance était exceptionnelle !

« Les Bleus étaient redevenus un véritable groupe »

- Le parcours de l'équipe de France vous a t-il surpris ?
- Avant le début de la compétition, j'avais dit que l'équipe de France irait loin à  condition d'être un véritable groupe. On sentait de la crispation chez les Bleus pendant les matchs de poule, sans doute par peur d'être éliminés.
Puis on a vu les prémices d'un groupe en deuxième mi-temps contre le Togo. Et après la qualification, c'est devenu flagrant. On a retrouvé un groupe soudé.
L'équipe avait retrouvé l'âme de 1998, ce qui n'est pas étonnant puisque la colonne vertébrale de 2006 était la même avec Barthez, Thuram, Zidane et Henry.
- Mais en 2002, la plupart de ces joueurs étaient aussi sur le terrain...
- Oui, sauf que le contexte était différent. En 2002, on est arrivé épuisé avec deux semaines de préparation en moins. On savait qu'on allait à  la catastrophe.
Tous les grands joueurs, toutes les grandes équipes étaient fatiguées. C'était la Coupe du monde B ! La Corée en demi-finale d'un Mondial, c'était quand même un peu n'importe quoi.
- Un mot sur le coup de tête de Zidane ?
- Son geste est inexcusable, mais il faut aussi punir Materazzi pour ses paroles. C'est vrai que Zizou a un tempérament chaud, même si j'aurais fait pareil à  sa place.
Quand j'entends dire que la provocation verbale fait partie du jeu, je trouve ça ridicule. Pendant ce Mondial, on n'a vu que ça : des simulations, des matches hachés par les fautes. Il y a un gros problème d'arbitrage, mais les arbitres ne sont pas responsables. La vidéo est indispensable.
- Vous êtes convoqué devant le tribunal correctionnel de Marseille en octobre dans le cadre des malversations financières pour certains transferts de joueurs. Un commentaire ?
- Je ne suis pas au courant (étonné). De quoi s'agit-il ? Vous savez, ce ne sera pas la première fois que je serai convoqué par la justice pour l'OM. Mais comme maintenant j'habite à  Los Angeles, ils devront aller loin pour me chercher (rires) !
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