US Sarre-Union

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Kaniber
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Re: US Sarre-Union

Message par Kaniber »

Sarre-Union – Fleury-Mérogis (1-2)
DNA a écrit : cfa - Après Sarre-Union – Fleury-Mérogis (1-2) : Laurent Weinstein s’explique sur la succession de Bruno Paterno « Un choix réfléchi »
C’est officiel depuis vendredi, Éric Becker sera le prochain entraîneur de l’US Sarre-Union. Il prendra la suite de Bruno Paterno, qui a d’abord maintenu le club en CFA lors de sa première saison et est en passe de le faire lors de la deuxième, tout en lui imprimant un style offensif. Le point avec Laurent Weinstein, le président du club d’Alsace Bossue.

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Vendredi, vous avez officialisé l’arrivée d’Éric Becker à Sarre-Union. Quelle sera sa place dans l’organigramme, son ou ses rôles ?

– Son rôle sera très simple, faire comme les précédents c’est-à-dire nous maintenir en CFA, mais aussi d’avoir un regard sur nos jeunes et surtout sur notre équipe II. Il est important pour notre club de pouvoir intégrer les jeunes s’ils sont méritants.
« Le nom d’Éric Becker ne sonne pas creux en Alsace-Bossue »
Quels ont été les critères décisifs quant à sa venue ?

– Éric est un entraîneur que je souhaitais déjà recruter il y a deux ans, et ce avant Bruno Paterno. Mais il n’était tout simplement pas disponible et il avait déjà donné son accord à son président. Je l’ai donc gardé à l’œil et l’ai relancé il y a quelques semaines. Nous avons des compétences à proximité de Sarre-Union alors pourquoi ne pas en profiter.

Il habite à dix minutes du club, c’est une personne qui a d’énormes qualités tant techniques qu’humaines. La preuve est qu’il aura fait six saisons à Reipertswiller et aura maintenu ce club pendant toutes ces années au niveau DH.
Il est aussi plus dans les moyens financiers de notre club et c’est aussi une personne reconnue de tous, le nom d’Éric Becker ne sonne pas creux en Alsace-Bossue.

– Si on parle d’Éric Becker, on doit également évoquer le départ de Bruno Paterno, un coach qui est en passe d’obtenir un deuxième maintien brillant malgré la défaite de samedi, avec en plus une qualification pour les 32es de finale de la Coupe de France et 42 500 euros de primes en plus…

– Bruno a fait un énorme travail et surtout un travail de qualité à Sarre-Union. C’est le premier entraîneur à avoir emmené une équipe de l’USSU en 32es de finale de la Coupe de France.
Rien que pour cela, nous lui devons reconnaissance. Et il va à nouveau nous assurer le maintien cette saison. Nous aurions bien évidemment pu continuer à travailler ensemble. Mais voilà, chez nous à l’USSU, tout est une question d’argent et nous ne pouvons pas continuer à dépenser le sou que nous n’avons pas. Bruno est tout simplement trop cher pour nous, mais là aussi je n’en veux à personne car tout cela avait été discuté avec l’intéressé avant sa venue.

Mais après, quand arrive la possibilité de rectifier le tir en tant que président, il est de votre devoir de le faire. Un président d’un club de la région lyonnaise m’avait dit : “Si tu veux rester maître, change d’entraîneur tous les deux ou trois ans”… Il y a peut-être du vrai.
Est-ce le genre de décisions prises à regret ?

– Je n’ai jamais eu à regretter une décision que j’avais prise. Il y en a eu des bonnes, mais aussi des mauvaises. J’assume cela. Mais, dans le cas qui nous intéresse, c’est une chose mûrement réfléchie et, avant de l’annoncer à Bruno, j’étais parti une semaine en congés.
« Nous sommes conscients que nous ne nous battons pas à armes égales »
Cela m’a quand même permis d’y réfléchir et de ne rien faire dans la précipitation. Et quand une décision est prise, il faut savoir l’annoncer.

Comme j’ai du respect pour Bruno, il était normal que je lui fasse l’annonce rapidement. Cela lui permettra aussi de préparer son avenir.

– Dans une interview (voir DNA du 15 septembre 2014) , vous disiez que le A de CFA était la seule chose qui restait d’amateur à ce niveau. Est-ce que votre club y a sa place alors que partout ailleurs, on s’entraîne comme un club pro ?
Il est vrai que dans les autres clubs, les entraînements se font plutôt le matin, mais ceci n’est pas envisageable chez nous car nous avons encore quelques joueurs qui ont un emploi et j’en suis heureux.

Alors, il faut s’adapter et il faudra aussi s’adapter la saison prochaine aux horaires du nouveau coach car lui aussi à un emploi.

Nous sommes conscients que nous ne nous battons pas à armes égales avec beaucoup d’autres clubs du CFA, mais tant pis.

Cela fait quand même quatre saisons que nous tenons et, surtout, cela fait quatre saisons que nous avons la chance de voir du beau football à Sarre-Union. Nous faisons tout, humainement et financièrement, pour que ça dure.
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Message par Kaniber »

CFA Groupe B
24ème journée

Jeudi 02 Avril 2015
Sarre-Union 2 - 1 Moulins
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Re: US Sarre-Union

Message par Kaniber »

total sport a écrit :Loïc Heinrich (FRH) vers Sarre-Union
Première recrue pour l’US Sarre-Union (CFA). Afin de renforcer son assise défensive, le club d’Alsace Bossue s’est attaché les services de Loïc Heinrich (22 ans), défenseur du FR Haguenau (CFA 2). Auteur d’une très bonne saison avec le promu haguenauvien qui a permis aux siens de se maintenir assez aisément, il tentera de se faire une place dans le dispositif du nouveau coach de l’USSU.(Crédit photo : site internet du FRH)
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Re: US Sarre-Union

Message par Kaniber »

total sport a écrit :USSU | Seize joueurs rempilent
On se sent bien à Sarre-Union (CFA) et les joueurs le savent. Dans cet optique, plusieurs joueurs ont rempiler pour la prochaine saison. En effet, Arthur Dirand, Thomas Zerbini, Lahcen Belktati, Evan Moreira, Feyzullah Simsek, Jean-François Mathis, Yann Schneider, Vianney Schermann, Fabien Lippmann, Martial Riff, Redha Tergou, Mathieu Déom, Medhi Ouadah, Rachid Hayef, Nicolas Schwartz et Thomas Daiker ont prolongé avec le club d’Alsace Bossue. Un gage de confiance d’un coté comme de l’autre.
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Re: US Sarre-Union

Message par Kaniber »

total sport a écrit :Omar Hassidou rebondit en National
L’ancien attaquant du Racing Club de Strasbourg Alsace vient de quitter son club de l’US Sarre-Union (CFA) et s’est engagé en faveur d’un ancien club de Ligue 1, le CS Sedan Ardennes. Avec 11 buts et 10 passes décisives la saison dernière avec le club d’Alsace Bossue, l’attaquant de 25 ans retrouvera donc le Stade de la Meinau la saison prochaine mais sous la tunique ardennaise.
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Re: US Sarre-Union

Message par Kaniber »

DNA a écrit :CFA Reprise de l’US Sarre-Union Même pas peur !
Les joueurs de Sarre-Union et leur nouveau coach Eric Becker ont repris ce mercredi le chemin de l’entraînement. Dans quelques semaines le club entamera sa cinquième saison en CFA avec une ambition nouvelle.

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Allez, c’est reparti pour un tour. Un peu plus d’un mois après sa dernière rencontre à domicile contre Belfort, les joueurs et le staff de l’USSU se sont retrouvés au Stade Omnisport pour la grande rentrée. À tout seigneur tout honneur, Laurent Weinstein, le président du club, a dressé les grandes lignes d’une année pleine de promesses. « Une grande nouveauté cette année, pour la première fois on a réussi à garder la grande majorité de notre effectif, se réjouit-il. Aujourd’hui, on n’a plus le droit de dire qu’on joue le maintien, on vise la première partie de tableau, c’est le meilleur effectif qu’on n’a jamais eu. »
Un effectif en grande partie conservé et quelques recrues de choix, autant de bonnes nouvelles qui donnent également le sourire à Roudy Keller, le manager général du club. Au-delà du classement en championnat où le club devra faire au moins aussi bien que la 6e place de la saison dernière, l’emblématique dirigeant veut fixer deux objectifs à son nouveau coach, Éric Becker. D’abord, améliorer la stabilité défensive de l’équipe et pour ce faire, les arrivées du gardien Koray Ozcan (Évian/Thonon/Gaillard) et des défenseurs Loïc Heinrich (FR Haguenau) et d’Amara Keita (Raon) sont autant de bonnes nouvelles. Ensuite, faire du stade omnisport une forteresse imprenable, avec l’ambition un peu folle de faire le plein à domicile : « J’ai connu une période où les équipes qui venaient jouer chez nous en prenaient régulièrement six ou sept. Même en CFA2, on a eu des moments où personne ne venait gagner ici. Il faut qu’on retrouve ça, c’est ce que les gens attendent de nous, ici tout le monde doit mordre la poussière. »
« Ne pas oublier la notion de plaisir »

Concernant le nouvel entraîneur qui a pris ses fonctions hier soir, le manager est tout aussi confiant. « Je crois beaucoup en lui », lâche-t-il à propos d’un coach qui ne cache pas son bonheur de prendre ses fonctions et de découvrir le CFA. Éric Becker a tenu à faire passer quelques idées fortes. « On va avoir besoin d’un groupe solidaire, de beaucoup de rigueur mais il ne faudra pas oublier la notion de plaisir. Je viens avec beaucoup d’ambition car j’ai été un compétiteur comme joueur et je le suis aussi comme coach. » Malgré le stress de la reprise, les sourires étaient sur toutes les lèvres au stade omnisport et dans les regards se lisait la même devise à l’heure des premiers discours : Même pas peur !

Le programme d’avant-saison :

mardi 14 Juillet Racing – Sarre-Union (à Oberhausbergen 16h) ;

samedi 18 juillet Haguenau – USSU (à Dossenheim 17h) ;

Jeudi 23 juillet Vendredi 24 juillet, Stage de préparation à Butten avec match de préparation contre Sarreguemines ;

mercredi 29 Juillet, Sarre-Union – SC Karlsruhe II (à Seltz 19h30) ;

Samedi 1er août U23 Karlsruhe – Sarre-Union (à Lemberg à 17h) ;

mercredi 5 août FC Mulhouse – Sarre-Union (à Rixheim) ;

samedi 8 août Sarre-Union – Nancy II (à Sarre-Union à 18h30) ;

samedi 15 août Début du championnat de CFA


1ère journée 2015/2016
Sarre-Union bat la réserve sochalienne (1-0)

3ème journée
Samedi 29 Août 2015

Chasselay 2 :
Sarre-Union 0 :

Samedi le 5/09/2015
4eme journée

Sarre-Union 0 - 1 Grenoble

Samedi 12 Septembre 2015
5eme journée

Le Puy 1 - 1 Sarre-Union

Samedi 19 Septembre 2015
6eme journée

Sarre-Union 2 - 2 Jura Sud

Samedi 03 Octobre 2015
7eme journée

Saint-Louis (2-1) Sarre-Union


Samedi 17 Octobre 2015
8eme journée

Montceau-les-Mines 1 - 5 Sarre-Union
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Re: US Sarre-Union

Message par Kaniber »

Dna a écrit :Coupe de France (16es de finale) :
Sarre-Union réalise l’exploit contre Niort (1-0)

Les magiciens bleus
Ils l’ont fait ! Grâce à leur succès logique et magique sur Niort, les Sarre-Unionnais sont entrés dans l’Histoire de la Coupe de France. Après le Racing, le FC Mulhouse, les SR Colmar, le SC Schiltigheim et Vauban, ils permettent à l’USSU d’être le sixième club alsacien à accéder aux 8es depuis 1917.
Quand Vianney Schermann, lancé par Adel Benchenane, s’est échappé, pour tromper Allagbé, ce sont cinq mille bras qui ont enlacé le gamin d’Hommert, celui qui a grandi pas loin de Sarre-Union, mais ici ballon au pied depuis la DH jusqu’à ce 19 janvier 2016 désormais historique.
« On n’avait même pas osé demander ça comme cadeau au Père Noël »
Et Dieu que c’était bon et si mérité. On jouait la 90e et plus personne n’avait envie de grelotter (à part peut-être les Niortais) parce qu’on était à moins six degrés.

« Quand Vianney a marqué, j’étais fou comme un gamin de huit ans, je sautais partout, dira Éric Becker, du haut de ses 51 ans. Et quand l’arbitre a sifflé la fin de la rencontre, je n’en avais plus que six. Je rêvais d’un but à la 90e , on l’a fait. »

Donc, on a à peine envie de vous raconter la rencontre, parce que comme ce bon président (Laurent) Weinstein le criait presque à son issue, « on n’avait même pas osé demander ça comme cadeau au Père Noël ».
On file quand même sur la pelouse où les joueurs d’Éric Becker ont mordu dans la balle comme jamais, ont fait perdre leur football à des Niortais amorphes, patinant même sur une pelouse pourtant rendue impeccable et souple par des bénévoles extraordinaires. « Il fallait leur rendre ça, dira Vianney Schermann les yeux humides, le regard haut. Ils se battent pour nous, on se dépense pour eux. »

On a finalement juste eu peur que les occasions ratées, celles de Schermann (2e , 41e ) ou de Benedick (19e , 22e ) et de Benchenane (56e ) notamment, gâchent le plaisir d’un public vite devenu enthousiaste.
Et puis, on s’est rassuré comme on peut parce que les coéquipiers de Yann Schneider ont fait étalage de qualités mentales énormes. Comme lorsque Moreira va se fracasser sur le poteau droit pour repousser cette frappe de Bouardja (58e ). C’était dans la foulée de ce premier sauvetage de ce diable bondissant qu’est Ozcan.

« Je n’ai pas envie de ressortir un de mes joueurs, ils ont tous été énormes, reprendra Éric Becker. On fait partie des seize dernières équipes d’une compétition qui en comptait plus de sept cents au départ. »
[

Les envolées d’Ozcan

Mais on va quand même reparler du “petit” grand gardien de but de Sarre-Union (176 centimètres montés sur ressorts), puisque ce sont ses mains qui resteront fermes sur ce coup franc (dévié) de Bouardja, puis sur la reprise de Selemani qui suit (33e ).

Et comme le gamin a la chance de son jeune talent, c’est beaucoup son poteau droit (et un peu sa main) qui fait boum quand Dona Ndoh a la bonne idée de manquer d’adresse, à cette déjà très fameuse 58e. Mais quand il saura se détendre sur cette frappe de Koné, c’est en fait tout le public qui se détendra (87e ).
Il nous faudrait vous parler aussi des autres, de tous les autres, des jambes infatigables de Zerbini, de l’aisance de Benchenane ou d’Hayef, de l’activité de Mounass, juste débarqué il y a une semaine, après six mois d’inactivité ou presque. « Je ne sais pas quoi vous dire. Je passe de rien à un huitième de finale de la Coupe de France. C’est juste magique et magnifique. Irréel… »

On pourrait vous parler de Yann Schneider et de ce brassard qu’il mériterait de se greffer sur la peau, d’Amara Keita et de ses allures de matador et de Fabien Lippmann, qui a croqué avec appétit dans son couloir droit.
On a envie de parler de tout et de rien, de cette Coupe de France qui rend fou tous ceux qui y ont goûté parce qu’ils ont osé. Et les Sarre-Unionnais ont plus qu’osé hier soir. Renvoyant les Niortais groggy dans leur coin de vestiaire.
« Des étoiles plein les yeux »

Et puis, on a envie de reparler de Vianney Schermann, le plus beau des “soldats” de Sarre-Union, parce que le plus ancien de la maison, le plus têtu, le plus grognon, le plus tout, quoi !

« Il nous a mis des étoiles plein les yeux », soufflera encore Éric Becker. Il n’y a que des magiciens qui sont capables de ça. De jouer des tours, des tours et des tours. Parfois de passe-passe. À vous illuminer de bonheur…
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Re: US Sarre-Union

Message par Its_me »

Franchement j'aurais pas mis un kopec sur eux ! :shock:
Espérons cette fois pour eux une très grosse écurie.
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Re: US Sarre-Union

Message par L'homme de la vallée »

Juste fabuleux.

Un gros pour remplir la Meinau en huitièmes ? :D
- C'est pas parce qu'on à rien à dire qu'il faut la fermer
- Et vous vous en pensez quoi ?
- Moi ? Oh rien..
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Re: US Sarre-Union

Message par Kaniber »

DNA a écrit :Dotations
Grâce à son exploit face à Niort, Sarre-Union a obtenu l’assurance de toucher 142 500 euros de prime fédérale. De quoi boucler le budget de la saison et de préparer le suivant dans la sérénité, à condition de garder sa place en CFA

7 288 inscrits
Une maladresse, peut-être due au froid glacial, mais plus sûrement à un manque de vigilance nous a fait écrire que l’USSU était dans les seize derniers clubs d’une compétition qui réunissait 700 équipes au lieu… de 7 000, 7 288 pour être exact

Recette
C’est monnaie courante, en Coupe de France, quand un “petit” affronte un “gros”. Mais cela mérite tout de même d’être souligné. S’ils ont été passablement vexés par leur élimination, les Niortais ont eu l’élégance de laisser une partie de la recette à l’US Sarre-Union, retenant seulement leurs frais de déplacement

Bouardja, battu deux fois
Messaoud Bouardja, l’un des Niortais les plus remuants mardi soir, a désormais le (triste) privilège d’avoir perdu deux matches de Coupe de France… la même saison. Le 3 janvier dernier, le milieu offensif évoluait encore à Wasquehal (CFA), qui avait été éliminé en 32es de finale par le PSG (1-0). Transféré à Niort quelques jours plus tard, il a perdu le 16e de finale mardi soir à Sarre-Union.

La prédiction de Joël
Quatre champions de France 1979 avec le Racing, Joël Tanter, Jean-Jacques Marx, Léonard Specht et Roland Wagner (Marc Keller était également présent, comme Bruno Paterno) ont donné le coup d’envoi du match. Le premier avait rêvé le scénario idéal à une nuance près, quelques minutes avant le coup d’envoi. « Éric (Becker) me fait entrer en jeu à la 89e , je tourne en rond sur moi-même, raconte “Bip-Bip”. Je centre et “Django” (Marx) marque de la tête. » Sur la pelouse, c’est Vianney Schermann qui, décalé par Benchenane, a marqué le but de la qualification. « Je n’étais pas loin de la réalité », a souri après coup Joël Tanter.
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