avait accordé Désolé, jvais pas m'y mettre et j'en fais aussi des fautes mais bon...vincenzo2004 a écrit :enfin bon si il aurait accorder le penalty a lyon et si ca aurait ete essien qui le tire voila quoi...
enfin bon c'est aussi ca le foot...
Les Arbitres
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- tom krrr
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Aulas a tout à fait raison sur ce coup là ..
Y'a quand même un gros problème, Nielsen est censé être l'un des meilleurs arbitres au monde et ni lui ni ses assistants n'ont su voir des choses évidentes..
Plusieurs trucs m'avaient pourtant sauté aux yeux :
- Le pénalty non sifflé, évidemment. C'est une action classique, en 1vs1, le joueur crochète et se déporte tandis que le gardien le fauche pour éviter le but. Comment penser à une simulation quand on voit que le goal est sorti à la fois avec les pieds et les mains vers les chevilles de Nilmar, et surtout que l'arbitre assistant pouvait facilement constater la faute, étant sur la même ligne.
- Van Bommel qui discute et blague avec l'arbitre pendant tout le match, et ce couillon de Nielsen qui se marre..Pareil pour Hiddink avec le 4ème arbitre alors que ce dernier était tatillon au possible avec Le Guen..
- Diarra que les joueurs du PSV provoquaient et excitaient volontairement pour qu'il prenne un rouge, mais le malien n'est pas tombé dans le panneau..
- La stratégie employée par Nielsen pour qu'il paraisse le moins partial possible, à savoir siffler certes des 2 côtés, mais en évitant d'offrir des situations suceptibles d'être dangereuses en faveur des Lyonnais (je ne parle pas forcément de coup franc proches de la surface, les joueurs du PSV ont très bien défendu ce secteur, mais je parle surtout de balle de relance, de contre attaque, où le PSV n'a été que trop peu sanctionné..)
- Siffler la fin d'un match en pleine attaque...No comment...
C'est du vol mais c'est le foot, ça date pas d'hier que les Français sont trop naifs et se font "voler" en étant supérieurs.
Cependant, de l'argent a peut être du circulé sous la table pour ce cher Mr Nielsen, car être nul à ce point n'est pas possible..
Y'a quand même un gros problème, Nielsen est censé être l'un des meilleurs arbitres au monde et ni lui ni ses assistants n'ont su voir des choses évidentes..
Plusieurs trucs m'avaient pourtant sauté aux yeux :
- Le pénalty non sifflé, évidemment. C'est une action classique, en 1vs1, le joueur crochète et se déporte tandis que le gardien le fauche pour éviter le but. Comment penser à une simulation quand on voit que le goal est sorti à la fois avec les pieds et les mains vers les chevilles de Nilmar, et surtout que l'arbitre assistant pouvait facilement constater la faute, étant sur la même ligne.
- Van Bommel qui discute et blague avec l'arbitre pendant tout le match, et ce couillon de Nielsen qui se marre..Pareil pour Hiddink avec le 4ème arbitre alors que ce dernier était tatillon au possible avec Le Guen..
- Diarra que les joueurs du PSV provoquaient et excitaient volontairement pour qu'il prenne un rouge, mais le malien n'est pas tombé dans le panneau..
- La stratégie employée par Nielsen pour qu'il paraisse le moins partial possible, à savoir siffler certes des 2 côtés, mais en évitant d'offrir des situations suceptibles d'être dangereuses en faveur des Lyonnais (je ne parle pas forcément de coup franc proches de la surface, les joueurs du PSV ont très bien défendu ce secteur, mais je parle surtout de balle de relance, de contre attaque, où le PSV n'a été que trop peu sanctionné..)
- Siffler la fin d'un match en pleine attaque...No comment...
C'est du vol mais c'est le foot, ça date pas d'hier que les Français sont trop naifs et se font "voler" en étant supérieurs.
Cependant, de l'argent a peut être du circulé sous la table pour ce cher Mr Nielsen, car être nul à ce point n'est pas possible..
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Le probleme pour moi c'est qu'il a rien siffflé. Soit c'est jaune pour simulation, soit autre chose. Le probleme c'est que meme si Nilmar passe, il a 5% de chances de marquer vu l'endroit ou il etait ...Stan a écrit :- Le pénalty non sifflé, évidemment. C'est une action classique, en 1vs1, le joueur crochète et se déporte tandis que le gardien le fauche pour éviter le but. Comment penser à une simulation quand on voit que le goal est sorti à la fois avec les pieds et les mains vers les chevilles de Nilmar, et surtout que l'arbitre assistant pouvait facilement constater la faute, étant sur la même ligne.
Une tete a claque Van Bommel et Cocu pareil. On aurait dit trios potes qui se retrouvent sur un terrain. Hallucinant les simulations qu'ils ont fait a chaque fois ...Stan a écrit :- Van Bommel qui discute et blague avec l'arbitre pendant tout le match, et ce couillon de Nielsen qui se marre..Pareil pour Hiddink avec le 4ème arbitre alors que ce dernier était tatillon au possible avec Le Guen..
- Diarra que les joueurs du PSV provoquaient et excitaient volontairement pour qu'il prenne un rouge, mais le malien n'est pas tombé dans le panneau..
Chapeau a Diarra. Personnelement je crois pas que j'aurais pu tenir comme il l'a fait durant tout le match. Se faire taper dans les pieds sur chaque action, au bout d'un moment y en a marre ...
Concernant les coups-franc, le PSV a tres bien defendu et a commis aucune faute dans les 25 metres, faut le faire quand meme. Ce qui en parti a fait qu'on n'a pas vu Juninho.
L'histoire est en marche ...
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Oui mais ça, ça arrive très fréquemment..argueti a écrit : meme si Nilmar passe, il a 5% de chances de marquer vu l'endroit ou il etait ...
Pareil quand un joueur pousse le ballon à 20 mètres en tentant un grand pont et que le défenseur fait obstruction. Il y a quand même faute et ici il y a donc pénalty, l'arbitre ne devant pas prendre en compte ce qui se saurait passé si l'action avait continué..
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Surnommé le « Nijinski du sifflet », Robert Wurtz a bien voulu revenir pour Football365 sur l'évolution de l'arbitrage depuis les années 1970, période durant laquelle il officiait. Un témoignage sans langue de bois et plein de bon sens, qui caractérise à merveille le personnage.
« Je ne fais pas dans la langue de bois. Je suis un peu le Cantona des arbitres. J'ai la chance de n'appartenir à aucun groupe au sein de la famille de l'arbitrage et je n'ai donc jamais été de ces béni-oui-oui. » Le ton est donné. Ancien arbitre, Robert Wurtz livre un regard averti sur l'arbitrage français d'aujourd'hui. De son propre aveu, il ne suit pas avec grande attention les « affaires » actuelles. Ce qui ne l'empêche pas de nous éclairer sur les différences entre son époque et aujourd'hui. « Le jeu est beaucoup plus rapide, affirme-t-il sans surprise. Le football de mon époque était plus romantique, plus tolérant. En plus, les joueurs sont mieux préparés et simulent plus. Ils doivent faire avec une pression accrue. Je prenais beaucoup de plaisir mais je me demande comment les arbitres peuvent en prendre autant avec toutes les affaires et les consignes qu'ils doivent appliquer. »
Un brin nostalgique, celui qui fut élu arbitre de l'année à cinq reprises (1971, 1974, 1975, 1977 et 1978) ne plaint pas pour autant les hommes en noir. « Aujourd'hui, ils gagnent plus d'argent. Quand ils veulent aller à Bordeaux, ils prennent l'avion alors que je devais faire vingt heures de train. Ils partent en stage en thalassothérapie et ils ont des cassettes pour étudier. » Toutefois, Wurtz ne « regrette rien ». Et notamment pas d'avoir dû abandonner sept métiers pour son plaisir d'arbitrer. « Tant mieux pour eux, souligne-t-il d'ailleurs. Mais il ne faut pas s'étonner qu'ils aient à subir les imbécillités de quelques crétins. Ils sont devenus des personnalités publiques. »
« Si j'avais pu lâcher mon métier, je n'aurais pas hésité »
Le fait d'être retiré du milieu ne l'empêche pas non plus d'avoir un avis sur les évolutions technologiques qui pourraient aider les hommes en noir. La vidéo ? Pourquoi pas. En tout cas, pour lui qui a fait des études scientifiques, on ne perd rien à essayer. « Je suis pour tester cette expérience, avoue-t-il. Je crains que cela retarde le jeu mais c'est à expérimenter. » Robert Wurtz admet pourtant préférer la solution prônée par Michel Platini, qui consisterait à placer un arbitre derrière les buts. « La solution humaine me semble être la meilleure. Mais ces arbitres auront de grosses responsabilités. Il faudra que ça rentre dans les mÅ“urs et qu'on ait le courage de suivre leurs décisions. »
Les portes sont donc ouvertes. Reste maintenant à les pousser. Mais pour Robert Wurtz, le changement doit également s'opérer dans la condition même de l'arbitre. « Sont-ils des professionnels ou pas ? Je tire mon chapeau à M.Poulat. Il a eu le courage d'abandonner son métier pour se consacrer entièrement à l'arbitrage. Si j'avais pu lâcher mon métier, je n'aurais pas hésité. » Tout comme il n'aurait pas hésité à continuer sa carrière. « A 48 ans, j'étais encore en forme. C'est dommage qu'on ait une limite administrative pour arbitrer. Si on avait demandé à Aznavour d'arrêter de chanter à cause de son âge… Tout comme Collina. Il arbitre admirablement bien des matchs difficiles toutes les semaines et on lui demande de se retirer à la fin de la saison. » Alors aujourd'hui, Robert Wurtz continue d'arbitrer. Toujours pour le plaisir. Des jubilés. Des matchs de jeunes. « Je ne veux plus faire de matchs avec une mauvaise ambiance. Je cherche les troisième mi-temps où on peut boire sa coupe de champagne. » Une autre époque effectivement.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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