José Anigo

[ecruit]

Son of Marseille football boss killed in street shooting

[Kaniber]

José Anigo veut voir des hommes, pas des enfants
le Mercredi 22 Janvier

En conférence de presse suite à la défaite en 16emes de finale de Coupe de France face à Nice (4-5), José Anigo a pointé les défaillances individuelles de ses défenseurs dans un match où l'OM a brillé offensivement.

José Anigo, est-ce que cette défaite face à Nice est un coup de massue ?
Ce n’est pas un coup de massue. C’est une déception. Déçu car quand on marque quatre buts, on n’a pas le droit d’en prendre cinq
Comment expliquez-vous qu’il y ait eu autant de défaillances individuelles ?
Pour moi, il y a des défaillances individuelles énormes aujourd’hui (ndlr : mardi). Contre ça, vous n’avez aucune parade car les situations qu’on a offertes sont tellement grosses… Ça va d’un geste de défenseur qui n’est pas fait à une position qu’on oublie. Des choses très simples ! C’est pour ça que je parle de défaillances individuelles car c’est le terme que l’on peut employer
Est-ce que les latéraux sont montés très haut par volonté d’attaquer ?
Ça, à la limite, c’est un projet qu’on avait mis en place mais on s’aperçoit que sur la première période, et vous l’avez peut-être vu différemment de moi depuis la tribune, Benjamin Mendy se jette trop vite sur le deuxième ou troisième but, celui où Souleymane Diawara doit mettre le ballon en tribunes. Bref, des défaillances sur des gestes de défenseurs classiques. Après, je pense que dans le projet de jeu offensif, on y était et on a fait ce qu’il fallait. Mais on ne peut pas offrir autant de situations à l’adversaire. « L’organisation n’a pas fonctionné » Est-ce que cela veut dire qu’il va y avoir des conséquences ? Un système de jeu différent ? Le Mercato n’est pas terminé…
Je ne veux pas parler du Mercato. Il y avait une organisation avant qui n’a pas forcément fonctionné. On est parti sur une autre organisation : on peut dire qu’elle n’a pas fonctionné ce soir. Mais encore une fois, après avoir parlé de toutes ces organisations, c’est l’implication individuelle qu’on y met dedans qui compte. Et ce qu’on attend de ses hommes, c’est qu’ils se comportent comme des hommes, pas comme des enfants, dans ce genre de match.
Ce qui est bizarre, c’est qu’offensivement, c’est très bon au Vélodrome… Il y a du jeu et tout était réuni pour gagner…
Les gens qui viennent voir ce match, qui viennent voir un spectacle en étant neutre, ils voient des buts et du jeu effectivement. Si on est supporter, joueur, dirigeant ou entraineur d’une équipe comme la notre, on ne peut partir que déçu car on a offert des choses qu’on n’aurait jamais dû offrir, c’est tout ! Ça se résume à pas grand-chose, des défaillances individuelles et on sort avec ça. Après, ça reste la Coupe de France. On avait l’objectif d’essayer de continuer et faire un bon bout de chemin. On n’y va pas, il reste des matchs de championnat à se fixer comme objectifs. Il y en a un à l’extérieur et trois à la maison, on fera les comptes à la fin de ces matchs-là.
C’est dur psychologiquement, plus dur qu’après Lyon ?
Après Lyon, on n’avait pas vu grand-chose. Je peux dire que certains ont fait le boulot et d’autres n’ont pas fait le boulot. C’est pour ça qu’à chaud, il vaut mieux ne pas trop s’exprimer pour dire tout et n’importe quoi et attendre, revoir le match pour voir de manière précise ce qui n’a pas été dans la globalité. « Se mettre en route pour faire quelque chose en championnat » Le manque d’implication des joueurs dans ce match, c’est quelque chose d’ennuyeux pour le championnat ?
Ennuyeux pour eux. Ce qui est important dans ce genre de situation, c’est le club et pas les états d’âme des joueurs. Je crois que ça passe après et même eux en sont conscients. Aujourd’hui, ce qui est important, c’est de se mettre en route pour faire quelque chose dans ce championnat, si c’est encore possible et on en a encore les moyens. Il ne faut pas tout remettre en question, bien entendu. Ce soir, c’est un match qu’on a perdu mais on ne va pas tout jeter. Il y a des choses qu’il faudra régler et on verra si, à Monaco dimanche, on a affaire à des enfants ou à des hommes. On verra s’il y a une réaction d’hommes ou autre chose…
On vous sent étonnement calme…
Soyons clairs, il y a pire. Je suis déçu du score, oui. Mais l’expérience me fait dire qu’il y a encore du chemin à faire, ce n’est pas aujourd’hui qu’il faut tout casser, tout remettre en question. On peut remettre en question le match précis car il faudra l’analyser et en tirer les conséquences. Forcément, des choses n’ont pas été. Quand on prend cinq buts, c’est que, clairement les choses n’ont pas été sur le plan défensif. Une fois qu’on aura parlé avec les joueurs sur les défenses individuelles, on préparera le match de Monaco différemment.
Par media365.fr
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[Kaniber]

Pour Anigo, certains cadres ont besoin d'un nouveau challenge
6/02/2014
L'entraîneur intérimaire de l'Olympique de Marseille, José Anigo, a évoqué, ce jeudi devant les médias, l'avenir de son club. Selon lui, certains cadres de l'équipe olympienne, en quête de nouveaux challenges, devraient quitter le navire l'été prochain. L'effectif ayant besoin d'être renouvelé.
"Dans l'effectif, cinq joueurs visent le Mondial et, parfois, au cours d'un match, certains ont peut-être tendance à vouloir faire la différence au niveau individuel, parce qu'ils ont cet objectif en juin. (…) Ce qui est certain, c'est que ce groupe doit être renouvelé. Certains joueurs sont là depuis longtemps et ont sans doute besoin de relever un autre challenge".
MadeInFOOT.com

[Kaniber]

OM: Anigo échoue au BEPF
Publié le 22 mars 2014
Orange sports
Entraîneur intérimaire de l'Olympique de Marseille jusqu'à la fin de la saison, José Anigo n'a pas réussi à obtenir Brevet d'entraîneur professionnel de football (BEPF), révèle La Provence ce samedi matin. Le coach olympien n'a validé que trois modules sur les quatre nécessaires pour décrocher le graal des entraîneurs professionnels. s'il souhaite enfin obtenir ce brevet, il doit s'engager à le passer de nouveau. Mais l'homme à la double casquette à l'OM n'est pas le seul à avoir été recalé, puisque Franck Dumas (Arles-Avignon), Pascal Dupraz (Evian TG), Patrice Lair (OL féminin) ou encore Christian Bracconi (AC Ajaccio) ont également échoué. En revanche, Bruno Bini, Élisabeth Loisel, Rolland Courbis (Montpellier) et Hervé Renard (Sochaux) ont réussi à obtenir leur diplôme, et sont donc désormais officiellement habilités à diriger des matches de Ligue 1 et Ligue 2.

[Kaniber]

OM-Anigo: "J'entre en mode combat"
Publié le 24 mars 2014 à 18h06

José Anigo, l'entraîneur de l'Olympique de Marseille, s'est exprimé ce lundi sur les ondes de RMC après le revers de son équipe au Vélodrome contre Rennes (0-1) ce weekend. Et si le technicien provençal assume sa part de responsabilité dans l'échec de ses protégés, il n'entend plus défendre certains d'entre eux. "Ce qui les paralyse, ce n’est pas le contexte mais eux-mêmes, a-t-il avoué. Ils se mettent une pression sur les épaules qui n’a pas lieu d'être par rapport aux supporters. Leur responsabilité, c’est d’amener du plaisir, du réconfort aux gens. Mais surtout de faire honneur au club, à cette structure qui est une grosse machine." Et de préciser : "Comme si le jour du match, il y a avait un petit malaise ou des problèmes personnels entre eux. C’est terrible. J'ai l’impression d’être impuissant et de regarder ça." Face à cette situation "qui se dégrade sportivement", toujours selon ses dires, Anigo n'entend pas abdiquer. "Ce n'est même pas envisageable de lâcher l'équipe, confirme-t-il. Quand tu perds un match, tu as la tête au fond du trou pendant un ou deux jours. Si tu me prends deux jours après, oui, j’ai envie de m’ouvrir les veines. Mais là, j'entre en mode combat. Certains veulent expliquer que la relation entre le président et moi n'est pas bonne, c’est faux et archi-faux. Le débat est sportif, j’ai ma part d’échec et je vais balayer devant ma porte." Face à la fuite de certains cadres, "ce sont eux qui devrait amener l’équipe à gérer les temps faibles, les difficultés et aider l’entraîneur à porter cette équipe vers le haut", lâche le Marseillais, José Anigo a pour la première fois évoqué clairement la possibilité de sanctionner sportivement : "J’ai voulu, dans notre situation difficile, m'appuyer sur les cadres mais on s’aperçoit qu’il n’y a pas de leaders, ni de forces de ceux–là, qui se dégagent. Je vais peut-être être obligé d’envoyer les jeunes au feu. [...] Il est possible que certains regardent les autres jouer. On peut perdre mais qu’on se batte au moins. Les résultats sportifs, je ne les ai pas. Donc, à un moment donné, il faut peut-être faire un contre-pied pour trouver ce qui va. Sinon, si ça ne marche pas, je vais continuer combien de temps comme ça ?

[Kaniber]

Marseille : Anigo au service de l'OM... en Afrique du Nord
le Mercredi 7 Mai 2014
Selon RTL, José Anigo devrait quitter Marseille sans quitter l'Olympique de Marseille. L'ancien entraîneur devrait devenir recruteur et ambassadeur du club marseillais pour l'Afrique du Nord.
Après avoir affirmé sa volonté de changer d’air après une saison éprouvante à Marseille, José Anigo aurait trouvé comment concilier son envie de partir et son envie d’aider l’OM à l’avenir. En effet, selon une information révélée par RTL, l’ancien entraîneur marseillais va devenir recruteur et ambassadeur de l’OM en Afrique du Nord, au Maghreb plus précisément. Il serait basé à Marrakech, où il a déjà une maison, pour rechercher d’éventuelles pépites à même de renforcer l’effectif marseillais à l’avenir.
Par media365.fr

[RACING1906]

Très bon job.

[Kaniber]

je pense que c'est cette solution ou alors "peut-être"la porte ?

[Kaniber]

Orange Sports 15-05-2014 - 13:28
Anigo critique Deschamps sur le cas Nasri
Il n'a pas pu échapper à la question. Qu'a pensé José Anigo de la non sélection de Samir Nasri pour la Coupe du monde 2014 ? "Je ne trouve pas ça normal. Vu les deux saisons qu'il a accomplies, notamment la dernière, ne pas le prendre, c'est particulier", a répondu l'entraîneur de l'OM ce jeudi en conférence de presse, rapporte La Provence. Didier Deschamps, avec qui Anigo n'a pas gardé que des excellents souvenirs quand il était le coach olympien, avait justifié ce choix en évoquant un problème d'état d'esprit. "Des joueurs de caractère, il y en a dans un vestiaire. D'autres créent des soucis en équipe de France et sont là. Gérer ça, c'est le boulot d'un entraîneur", a rétorqué le directeur sportif. Samir Nasri, issu du centre de formation du club provençal, a disputé son premier match professionnel avec l'OM en septembre 2004 quand José Anigo en était l'entraîneur.
orange sport

[RACING1906]

Je ne pense pas qu'ANIGO ait des leçons à donner à DESCHAMPS, son ennemi intime.

Qu'il réussisse d'abord son diplôme d'entraîneur et obtienne des résultats...

Les supporters de l'OM n'en veulent plus, d'ailleurs.