Les inscriptions au forum sont rouvertes 
j'espere qu'ils vont laisser la procédure la bas !
FC Sochaux-Montbéliard
-
argueti
- Sélectionneur@InfosRacing
- Messages : 37460
- Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
- Localisation : Strasbourg
- Contact :
-
Maneo
- Sélectionneur@InfosRacing
- Messages : 3725
- Enregistré le : 8 août 2002 0:41
- Localisation : Haguenau (67)
- Contact :
-
argueti
- Sélectionneur@InfosRacing
- Messages : 37460
- Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
- Localisation : Strasbourg
- Contact :
Eh ben dur la chute ... 
Bastia (13) 0-0 Monaco (1)
Bordeaux (8) 2-0 Guingamp (18)
Lille (14) 0-1 Toulouse (20)
Lyon (3) 3-0 Montpellier (16)
Nantes (10) 4-0 AC Ajaccio (15)
Nice (7) 0-1 Le Mans (19)
Paris-SG (2) 0-0 Metz (17)
Rennes (12) 4-0 Sochaux (5)
Strasbourg (11) 0-2 Auxerre (4)
Bastia (13) 0-0 Monaco (1)
Bordeaux (8) 2-0 Guingamp (18)
Lille (14) 0-1 Toulouse (20)
Lyon (3) 3-0 Montpellier (16)
Nantes (10) 4-0 AC Ajaccio (15)
Nice (7) 0-1 Le Mans (19)
Paris-SG (2) 0-0 Metz (17)
Rennes (12) 4-0 Sochaux (5)
Strasbourg (11) 0-2 Auxerre (4)
L'histoire est en marche ...
-
Manu
- Manager général@Directoire
- Messages : 10821
- Enregistré le : 19 août 2002 16:52
Vous pouvez me dire ce que Sochaux a plus que nous ? c'est pas croyable cette équipe ! des joueurs pas trés connus en + !
Par contre eux la chance qu'ils ont c'est d'avoir 2 excellents gardien.
IL N'Y A PLUS DE PLACES POUR L'INTER
Les places misent en vente pour le match Sochaux-Inter ont été vendues en un peu plus d'une heure, ce mercredi matin. Le Stade Bonal sera donc à guichets fermés le 26 février prochain.
Les guichets du Stade Bonal ouvraient à 8 heures ce vendredi matin, afin de délivrer les précieux sésames pour le troisième tour aller de Coupe UEFA. Un peu plus d'une heure après, plus une place n'était disponible. Il faut dire que dès 5 heures du matin, plusieurs centaines de supporters des Jaune et Bleu faisaient déjà le siège de la billetterie sochalienne.
Ils étaient sacrément dépités, tous ceux qui ont subitement vu, aux guichets du stade Bonal, les stores se baisser, signifiant qu'il n'y avait plus de places pour la rencontre entre le FCSM et l'Inter de Milan. Vers 9 h 30 hier, la longue file d'attente s'est délitée rapidement, chacun regagnant, la tête basse, sa voiture, après avoir attendu dans la nuit, parfois, et le froid. À l'instar de cette maman venue avec son fils de la région mulhousienne, faisant la queue depuis 6 h 30 du matin. Elle atteignait presque son but lorsqu'elle s'est entendue dire que, finalement, on jouerait à guichets fermés, mais sans son fils et son mari dans les gradins. L'esclandre était bien inutile -et contre qui, d'ailleurs ? Restait alors aux malchanceux à se serrer les coudes en pestant contre « toutes ces entreprises qui ont acheté des tas de places pour satisfaire leurs clients ». Et même si l'information est discutable, le maximum d'achat ayant été fixé à cinq places par personne, la rumeur a bien vite fait le tour du stade. Et les futurs téléspectateurs de Sochaux-Inter ont trouvé un moyen de se rassurer
Par contre eux la chance qu'ils ont c'est d'avoir 2 excellents gardien.
IL N'Y A PLUS DE PLACES POUR L'INTER
Les places misent en vente pour le match Sochaux-Inter ont été vendues en un peu plus d'une heure, ce mercredi matin. Le Stade Bonal sera donc à guichets fermés le 26 février prochain.
Les guichets du Stade Bonal ouvraient à 8 heures ce vendredi matin, afin de délivrer les précieux sésames pour le troisième tour aller de Coupe UEFA. Un peu plus d'une heure après, plus une place n'était disponible. Il faut dire que dès 5 heures du matin, plusieurs centaines de supporters des Jaune et Bleu faisaient déjà le siège de la billetterie sochalienne.
Ils étaient sacrément dépités, tous ceux qui ont subitement vu, aux guichets du stade Bonal, les stores se baisser, signifiant qu'il n'y avait plus de places pour la rencontre entre le FCSM et l'Inter de Milan. Vers 9 h 30 hier, la longue file d'attente s'est délitée rapidement, chacun regagnant, la tête basse, sa voiture, après avoir attendu dans la nuit, parfois, et le froid. À l'instar de cette maman venue avec son fils de la région mulhousienne, faisant la queue depuis 6 h 30 du matin. Elle atteignait presque son but lorsqu'elle s'est entendue dire que, finalement, on jouerait à guichets fermés, mais sans son fils et son mari dans les gradins. L'esclandre était bien inutile -et contre qui, d'ailleurs ? Restait alors aux malchanceux à se serrer les coudes en pestant contre « toutes ces entreprises qui ont acheté des tas de places pour satisfaire leurs clients ». Et même si l'information est discutable, le maximum d'achat ayant été fixé à cinq places par personne, la rumeur a bien vite fait le tour du stade. Et les futurs téléspectateurs de Sochaux-Inter ont trouvé un moyen de se rassurer
Modifié en dernier par Manu le 5 févr. 2004 9:47, modifié 1 fois.
-
argueti
- Sélectionneur@InfosRacing
- Messages : 37460
- Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
- Localisation : Strasbourg
- Contact :
5 jours avant ils joueront contre nous, alors suis presque sur qu'il serait obliger de preserver qq joueurs pour ce match 
Modifié en dernier par argueti le 19 mai 2004 21:22, modifié 1 fois.
-
Manu
- Manager général@Directoire
- Messages : 10821
- Enregistré le : 19 août 2002 16:52
Santos
C'est pour qu'il n'existe pas d'affaire Santos que le FC Sochaux a préféré prendre le maximum de garanties. Et éviter ainsi à son joueur et au club d'être pris au piège du contrôle antidopage.
Lors de Coupe d'Afrique des Nations, Santos a subi de la part du staff médical de la sélection tunisienne des infiltrations articulaires pour soigner un tendon douloureux. Déclaré négatif au sortir d'un contrôle effectué à l'issue de la finale, l'attaquant doubiste n'a donc pas été inquiété. Les corticoïdes n'ont pas été décelés à cet instant, la FIFA dans ses contrôles ne recherchant pas systématiquement ces produits-là . En revanche, soucieux de connaître l'état de ses joueurs à leur retour d'Afrique, le FCSM leur a fait passer un bilan de santé qui a permis de découvrir la présence de corticoïdes dans les urines de Santos (ce qu'a révélé «L'Equipe» hier), les autres joueurs Adel Chedli et Jaouad Zaïri ne présentant aucune anomalie. Le FC Sochaux n'a eu connaissance des résultats de ces bilans, envoyés par l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, que quelques heures avant le match de l'Inter. De ce fait, le président Plessis a pris la décision de ne pas faire jouer Santos face aux Italiens en prétextant une gastro-entérite pour préserver son joueur et le secret médical. LES RAISONS. On se souvient du cas de Philippe Raschke, il y a un an (23 mars 2002) déclaré positif aux corticoïdes après avoir soigné un genou récalcitrant et qui avait omis de signaler ce soin apparemment anodin lors d'un contrôle antidopage à Metz. Le joueur et le médecin du club, Michel Marey, les premiers visés en pareille circonstance, avaient eu gain de cause, leur bonne foi n'étant plus mis en doute par la Ligue, seul un léger manquement à la procédure réservée aux justifications leur ayant été reproché. Pour la forme. Si contre l'Inter Milan, jeudi, et face à Bastia, hier, le néo Tunisien a «gardé la chambre» prétextant une gastro-entérite, c'est justement dans l'attente de posséder tous les documents, le protocole médical notamment mis en place par la Fédération tunisienne, et ce afin de se mettre à l'abri de toutes accusations. Les documents n'étant pas parvenus assez rapidement, le FC Sochaux n'a pu prendre le risque que Santos subisse un contrôle antidopage contre Bastia, hier soir. Michel Marey a procédé à de nouveaux examens du joueur et le fera encore aujourd'hui afin de bien définir si la présence de corticoïdes est encore décelable dans l'organisme de Santos. Les résultats de tous ces examens ne parviendront que mercredi dans la journée. Il faut également savoir que, même sans jouer, Santos aurait pu être sujet, comme tous les autres joueurs de tous les clubs, à un contrôle inopiné à l'entraînement. LE RESULTAT. Le FC Sochaux a été contraint de se passer de son joueur deux matchs durant, et aurait pu, si un contrôle avait été mis en place à Strasbourg, où Santos a joué, être lourdement sanctionné… sans qu'il ne soit responsable. La démarche sochalienne ne peut donc qu'être louée mais révèle, une fois de plus, les problèmes que génèrent ces contrôles antidopage dans le monde entier dès lors qu'il n'existe pas d'uniformité dans la recherche des produits dopants. Comment se fait-il que Santos ait pu être négatif pour les instances internationales à Tunis et, éventuellement, positif à Sochaux pour les instances françaises? Toujours est-il que Santos ne saura que mercredi s'il peut prétendre affronter l'Inter dans la soirée.
Lors de Coupe d'Afrique des Nations, Santos a subi de la part du staff médical de la sélection tunisienne des infiltrations articulaires pour soigner un tendon douloureux. Déclaré négatif au sortir d'un contrôle effectué à l'issue de la finale, l'attaquant doubiste n'a donc pas été inquiété. Les corticoïdes n'ont pas été décelés à cet instant, la FIFA dans ses contrôles ne recherchant pas systématiquement ces produits-là . En revanche, soucieux de connaître l'état de ses joueurs à leur retour d'Afrique, le FCSM leur a fait passer un bilan de santé qui a permis de découvrir la présence de corticoïdes dans les urines de Santos (ce qu'a révélé «L'Equipe» hier), les autres joueurs Adel Chedli et Jaouad Zaïri ne présentant aucune anomalie. Le FC Sochaux n'a eu connaissance des résultats de ces bilans, envoyés par l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, que quelques heures avant le match de l'Inter. De ce fait, le président Plessis a pris la décision de ne pas faire jouer Santos face aux Italiens en prétextant une gastro-entérite pour préserver son joueur et le secret médical. LES RAISONS. On se souvient du cas de Philippe Raschke, il y a un an (23 mars 2002) déclaré positif aux corticoïdes après avoir soigné un genou récalcitrant et qui avait omis de signaler ce soin apparemment anodin lors d'un contrôle antidopage à Metz. Le joueur et le médecin du club, Michel Marey, les premiers visés en pareille circonstance, avaient eu gain de cause, leur bonne foi n'étant plus mis en doute par la Ligue, seul un léger manquement à la procédure réservée aux justifications leur ayant été reproché. Pour la forme. Si contre l'Inter Milan, jeudi, et face à Bastia, hier, le néo Tunisien a «gardé la chambre» prétextant une gastro-entérite, c'est justement dans l'attente de posséder tous les documents, le protocole médical notamment mis en place par la Fédération tunisienne, et ce afin de se mettre à l'abri de toutes accusations. Les documents n'étant pas parvenus assez rapidement, le FC Sochaux n'a pu prendre le risque que Santos subisse un contrôle antidopage contre Bastia, hier soir. Michel Marey a procédé à de nouveaux examens du joueur et le fera encore aujourd'hui afin de bien définir si la présence de corticoïdes est encore décelable dans l'organisme de Santos. Les résultats de tous ces examens ne parviendront que mercredi dans la journée. Il faut également savoir que, même sans jouer, Santos aurait pu être sujet, comme tous les autres joueurs de tous les clubs, à un contrôle inopiné à l'entraînement. LE RESULTAT. Le FC Sochaux a été contraint de se passer de son joueur deux matchs durant, et aurait pu, si un contrôle avait été mis en place à Strasbourg, où Santos a joué, être lourdement sanctionné… sans qu'il ne soit responsable. La démarche sochalienne ne peut donc qu'être louée mais révèle, une fois de plus, les problèmes que génèrent ces contrôles antidopage dans le monde entier dès lors qu'il n'existe pas d'uniformité dans la recherche des produits dopants. Comment se fait-il que Santos ait pu être négatif pour les instances internationales à Tunis et, éventuellement, positif à Sochaux pour les instances françaises? Toujours est-il que Santos ne saura que mercredi s'il peut prétendre affronter l'Inter dans la soirée.