[14/15] 22ème J: Marseille-Consolat / Strasbourg - 1/1

[Kaniber]

Oui c'est vrai quel est l'intérêt du forum, surement pas de refaire les matchs mais plutôt de poster des articles sans intérêt à longueur de journée

je suis désolé mais c'est dernier temps je poste surement plus beaucoup d'articles sans intérêt et surtout pas en longueur de journée ..

[Gotcha]

Peux-tu expliquer quelle est la faute de Seka ? il a le ballon, va vers la ligne de touche, l'attaquant vient vers lui, s'empalle sur son épaule, tombe et on siffle penalty ?

on a du mal à se faire une vraie idée de l'action avec ces images mais j'ai tendance à penser comme tenor pour le coup : seka va vers la ligne de touche mais l'attaquant lui passe devant; pris dans son élan il le bourre dans le dos et hop péno
je m'attendais à plus scandaleux vu vos posts

sinon on a très peu d'occazes et en 2eme mi temps quand je vois celle où quelqu'un centre et ça arrive dans le dos de l'attaquant qui est déjà sur la ligne de but, ça me met en rage .... comment peut on jouer en attaque et être aussi mal placé vite reviens blayac!!!

[PoY]

Donc si tu cours à toute allure, et qu'un mec te coupe la route tu sais t'arrêter net ?
Il me semble qu'un penalty doit être sifflé quand une action de but est annihilé, ce n'est absolument pas le cas ici... il peut donc simplement siffler un coup franc indirect dans la surface

[Tenor]

Peux-tu expliquer quelle est la faute de Seka ? il a le ballon, va vers la ligne de touche, l'attaquant vient vers lui, s'empalle sur son épaule, tombe et on siffle penalty ?

on a du mal à se faire une vraie idée de l'action avec ces images mais j'ai tendance à penser comme tenor pour le coup : seka va vers la ligne de touche mais l'attaquant lui passe devant; pris dans son élan il le bourre dans le dos et hop péno
je m'attendais à plus scandaleux vu vos posts

sinon on a très peu d'occazes et en 2eme mi temps quand je vois celle où quelqu'un centre et ça arrive dans le dos de l'attaquant qui est déjà sur la ligne de but, ça me met en rage .... comment peut on jouer en attaque et être aussi mal placé vite reviens blayac!!!

d'accord ou pas d'accord avec moi, ce ballon devait être dégagé depuis longtemps
l'action dont le centre arrive dans le dos de l'attaquant montre la faiblesse des 2 : celui qui centre n'importe comment et le placement du buteur sur l'action; le match est terminé ça ne changera rien sur ces faiblesses

[argueti]

Les journées passent trop vite

Après l'euphorie d'un derby contre Colmar gagné dans une Meinau comble et en liesse, comme ici sur le 3e but d'Alassane N'Diaye (3-1), le voyage de vendredi à Marseille Consolat, conclu sur un nul plutôt positif (1-1), a ramené le Racing à un quotidien moins clinquant et une délicate réalité mathématique.

Les journées défilent, les matches sans défaite s'enchaînent - six d'affilée -, mais le débours du Racing sur le podium ne se réduit guère. Voire pas du tout. Pour deux raisons : un, les Bleus concèdent trop de nuls, lesquels - on le sait - sont un frein naturel à une ascension rapide vers les sommets ; deux, leurs rivaux, qui leur ont longtemps permis de ne pas payer trop cher leurs errements à Chambly, contre Avranches ou Fréjus/Saint-Raphaël (trois revers sur ces trois matches), ont eux aussi sensiblement accéléré le rythme.

Depuis le début de cette saga d'invincibilité en six épisodes, à Amiens le 18 décembre (1-1), les hommes de Jacky Duguépéroux n'ont rien repris ou si peu aux équipes de tête. Ils ont même cédé du terrain sur certaines. Ainsi, pendant que le RCSA raflait 10 points en 6 matches, le Paris FC, même battu à Strasbourg et au Red Star, en récoltait-il 15 (en 7 rencontres, dont 5 victoires), Bourg-Péronnas, 13, le Red Star, 10 (en seulement 4 matches), et Boulogne, 9 (en 5).

Le leader parisien surplombe ce matin les Bleus de 12 unités, Bourg, de 8, et le Red Star, de 4, mais avec deux rencontres de moins. « Ça fait beaucoup et nous sommes forcément déçus », a tôt fait de calculer le gardien Alexandre Oukidja. « Le Red Star et Avranches ont des matches en retard. Fréjus aussi, qui doit en jouer trois de plus que nous. S'il les gagne, il recollera au groupe des prétendants. Notre chance malgré tout, c'est que nous devons encore affronter certains de nos concurrents : Boulogne (ce vendredi à 20 h dans le Pas-de-Calais en match en retard de la 20e journée), Bourg-Péronnas (le 6 mars à la Meinau), Avranches (le 3 avril dans la Manche) et le Red Star (le 10 avril à domicile). Il faudra impérativement gagner ces confrontations directes. Mais la saison risque de se jouer sur les points que nous avons perdus au cycle aller contre Fréjus, à Chambly ou face à Avranches. J'espère que nous ne le paierons pas à la fin. Ce serait dur. »

« Il n'y a rien de définitif »

Pour dédramatiser une situation qui se complique de semaine en semaine, Jacky Duguépéroux a désormais recours à un subterfuge mathématique. « Il faudra battre Bourg-Péronnas chez nous. Je vais donc calculer comme ça maintenant, en considérant que cinq points - et non huit - nous séparent de Bourg. Il n'y a rien de définitif. »

Mais la méthode Couet a ses limites et il le sait. S'il assure ne jamais prêter attention au classement, le coach est aussi conscient que ses dirigeants que les points lâchés lors des matches aller constituent un handicap sinon insurmontable, du moins pas simple à combler. Les deux derniers mois sans défaite l'ont prouvé. « Tout ce que j'espère, c'est que nous n'aurons pas de gros regrets en fin de saison, parce que je pense que si ça ne devait pas bien se passer, nous pourrions en avoir », consentait-il d'ailleurs vendredi en quittant le stade de Marseille Consolat.

Avant d'accueillir le PFC le 30 janvier (victoire 2-1), « Dugué », dont l'équipe pointait alors à 7 longueurs du podium, avait décrit par ces mots la deuxième partie du championnat : « Seize matches de Coupe nous attendent. » Il n'en reste que 13. Les Bleus viennent d'engranger 7 points sur 9 et se sont rapprochés au classement (de la 9e à la 6e place). Mais ils naviguent toujours aussi loin ou presque des équipes de tête, même si le Red Star n'a de loin pas gagné d'avance ses trois rencontres en retard. En tout cas, pas davantage que le Racing la sienne à Boulogne vendredi.

Pour monter en Ligue 2, Ernest Seka et les siens ne pourront pas se contenter de ne pas perdre leurs 13 matches de Coupe. Ils devront en gagner le plus possible. Mais est-ce seulement imaginable si l'on se réfère au jeu très - trop - intermittent qu'ils ont produit durant les deux premiers tiers de la saison ?

Stéphane Godin

[Gotcha]

@poy : oui, si l'attaquant passe devant le défenseur, alors c'est lui qui a le contrôle du ballon : le défenseur doit anticiper cette situation et ralentir sa course pour éviter de faire faute (ou dégager bien bien avant). Honnêtement j'ai vu plus choquant comme coup de sifflet.

d'un point de vue mathématique : il reste 13 matchs à jouer au racing, il faut viser 10 victoires sur ces 13 matchs pour se garantir une place dans les 3 premiers (et battre tous les adversaires directs qu'on rencontrera). Et oui, c'est ça notre réalité. Ca va être très compliqué, surtout sans blayac et vue la faiblesse de nos autres attaquants

[Tenor]

lorsqu'on fait des fautes de ce genre à l'extérieur, l'arbitrage ne le pardonne pas. Ce ballon brulant aurait du être dégagé sans fioriture.
Gagner 10 matchs sur 13 me semble irréalisable avec ce qu'on nous propose comme prestations, mais on peut toujours rêver

[baskath]

Honnêtement j'ai vu plus choquant comme coup de sifflet.

J'ai par exemple assisté ce week-end au penalty sifflé pour Bordeaux à Rennes... Celui-ci est scandaleux !

[Tenor]

pourquoi scandaleux, personne n'avait rien à redire ....si je me souviens bien c'est le gars qui fait un tacle glissé et qui emmène le ballon de la main en corner, c'est tout à fait correct à mon sens

[baskath]

Ah non, tu te trompes, ce n'est pas du tout ça.
C'est un duel, ballon à mi hauteur. Rolan contrôle un centre le ballon s'élève, il veut reprendre, mais Gelson lui ôte le ballon, sans le toucher, on voit bien sa jambe passer au-dessus de celle de Rolan. Et Rolan s'écroule... L'arbitre hésite 3 secondes et quand il voir l'attaquant s'écrouler, il siffle. Et pourtant, il est bien placé ! Il a lui-même reconnu son erreur.