[03/04] 30ème J: RCS / Rennes - 0/3

[alison]

les scores en direct

[Alex Barotchais]

toulouse, allez prenez en encore un... allez auxere

[EDES]

Oui, Alison, tu as raison,

Pour fautes graves répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées, répétées,


DEHORS !!!

[argueti]

Frei assomme le Racing

Auteur de deux buts en deux minutes, l'international suisse du Stade rennais a plongé hier soir à  la Meinau le Racing Strasbourg dans la crise. Sa situation au classement devient de plus en plus inquiétante.
Ce matin, le Racing-Club de Strasbourg est, sportivement, plongé dans la crise. Il ne peut plus le nier après sa catastrophique prestation d'hier soir face au Stade rennais, qui n'a pourtant remporté que son second succès de la saison sur terrain adverse, après sa victoire à  Guingamp. Certes, il n'occupe pas encore une position de relégable, mais au train où vont les choses, il fera très vite partie des trois bannis de la L1. Ne vient-il pas d'encaisser 8 buts en trois matches sans en inscrire un seul? Le Racing a été tout simplement pathétique hier soir, ne donnant jamais l'impression d'avoir la volonté de s'en sortir. C'est peut-être ce constat qui est le plus alarmant. Visiblement, les récents mauvais résultats trottent dans les têtes des joueurs strasbourgeois, qui ne semblent pas très sereins au cours de la première période. On sent bien que la priorité numéro 1 est de ne pas commettre d'erreur rédhibitoire, de ne pas encaisser le premier pour être, une nouvelle fois, obligé de courir après le score. Le jeu s'en ressent et les Bas-Rhinois ont un mal fou à  construire vers l'avant. Il est vrai que Cyril Chapuis se retrouve le plus souvent en position de hors-jeu, ce qui ne facilite guère la fluidité des offensives locales. Certes, face à  la plus faible équipe du championnat à  l'extérieur… avant le match d'hier (seulement 7 points en 14 sorties), le Racing parvient quand même à  se créer quelques occasions. Sur un corner de Le Pen, Bassila place une tête repoussée par Le Lan sur sa ligne (12e). Cech a enfin l'occasion de se réchauffer les doigts sur une tentative de lob de Mouloungui (30e), avant d'être enfin mis à  contribution à  la 38e : Mouloungui lance en profondeur Le Pen, qui perd son duel avec le gardien tchèque de Rennes. Sur le corner, tiré en deux temps, Bassila place une nouvelle tête, sur laquelle Cech est attentif. Son vis-à -vis Richard Dutruel n'a guère plus l'occasion de s'illustrer. C'est dire la faiblesse de cette première période. Le portier strasbourgeois n'est cependant pas mécontent de voir deux lourdes frappes de Sorlin filer de peu à  côté de ses buts (6e, 28e). Mais il est parfait sur le coup-franc de 28 m tiré par Kallstrà¶m, qu'il détourne d'une main ferme en corner (44e).

Un but et plus rien

Au retour des vestiaires, on ne sent pas vraiment une révolte du côté des Strasbourgeois, qui poursuivent sur un train de sénateur, ne semblant pas réellement conscients du danger qui les guette en bas de tableau. Monterrubio (50e), puis Kallstrà¶m de la tête (54e), font même passer des frissons au sein de leur arrière-garde, mais rien n'y fait. Certains reprennent espoir lorsque Mouloungui s'offre une percée (58e), mais l'embellie est de courte durée. Sur un corner de Monterrubio, prolongé par Kallstrà¶m, Frei se retrouve tout seul à  50 cm de la ligne et ouvre le score de la tête (60e). Les Strasbourgeois sont anéantis par ce coup du sort. Deux minutes plus tard, Monterrubio peut tranquillement ajuster son centre, que vient couper Frei pour doubler la mise. L'international suisse, auteur de quatre buts face à  l'OM dimanche dernier, est décidément en grande forme. Au contraire d'un Racing incapable de se révolter et qui encaisse même un troisième but signé Monterrubio (83e). A ce rythme-là , il file droit vers la Ligue 2. Incroyable quand on songe à  son fonds de jeu à  l'automne.



5000 femmes étaient invitées hier. Et c'est la petite Claire (7 ans), mascotte de l'opération « graines de championnes » lancée par la Ligue d'Alsace, qui a donné le coup d'envoi de la rencontre.

La pauvre gosse, comment il la tiré par la main le speaker

Farnerud : « Là , on est mal »

Antoine Kombouaré (entraîneur du Racing) : « On a vu des garçons qui ont joué la peur au ventre, la peur de mal faire. Il y a eu un nombre incalculable de mauvaises passes et de mauvais contrôles. On n'ose plus, on joue contre nature. C'est le premier match où mon équipe est inexistante. Il ne fallait surtout pas arriver dans cet état d'esprit, avec la peur. C'est notre premier non-match. Nous avons été baladés dans tous les compartiments du jeu. Jusque-là , nous étions insouciants, ne nous doutant pas du danger. Nous avons pris une grosse claque. On va récupérer avant de songer à  notre prochain déplacement à  Bordeaux, mais le danger est réel si le mental est touché. Après cette défaillance collective, c'est le plus dur qui commence ». Laszlo Bà¶là¶ni (entraîneur de Rennes) : « A aucun moment, notre jeu n'a été perturbé. Le mental est le moteur du physique, de la technique, de la discipline de jeu. Nous avons été supérieurs dans de nombreux domaines à  notre adversaire. Je pense que grâce à  ce succès, nous avons assuré notre maintien en Ligue 1. Nous avons fait une bonne saison jusque-là  ». Pontus Farnerud (milieu strasbourgeois) : « Je suis très déçu par notre jeu, par notre défaite, par le classement ce matin. Il est difficile de réagir à  chaud après une telle déconvenue. Après deux défaites à  l'extérieur, nous avions tous envie. Nous travaillons dur pendant la semaine, mais quand arrive le week-end, nous avons du mal à  marquer, et nous encaissons comme d'habitude. Nous sommes tendus par rapport à  la pression. Désormais, chque match sera dur, nous le savons, il ne faut pas rêver. Personne ne s'attendait à  une telle situation. Là , on est vraiment mal. Il faut regarder vers le bas. » Corentin Martins (capitaine strasbourgeois) : « C'est toujours difficile à  expliquer. Hier soir, nous n'avons pas senti de solidarité, d'agressivité. Nous avons laissé jouer, on ne peut pas gagner des duels comme cela. C'est une grosse déception, Rennes a été largement supérieur. Nous n'avions pas de qualité de jeu, car les Bretons ont maîtrisé la partie en ressortant la balle. Nous n'avons jamais trouvé de solution. Il y a une pression qui est liée aux résultats. Mais il ne faut pas se retrancher derrière cela. Nous avons pris une claque. C'est bien d'avoir envie, encore faut-il le montrer sur le terrain. Le public peut siffler en fin de rencontre. A nous d'être au-dessus de cela et de nous ressaisir. »

L'angoisse du président

« J'espérais n'avoir pas à  prononcer ce mot cette saison, mais je dois bien admettre que nous jouons le maintien. » Le président Egon Gindorf était un brin angoissé hier à  quelques minutes du coup d'envoi. Comme l'ensemble des dirigeants strasbourgeois, l'industriel allemand n'imaginait pas, au coeur d'un faste début d'automne, que son équipe en serait à  trembler pour son avenir en Ligue 1 à  l'aube de la 30e journée. Présent à  Strasbourg cette semaine, il a fait un détour par les vestiaires mardi et jeudi, sans éprouver le besoin de tenir un discours mobilisateur à  Corentin Martins et ses partenaires. « Les techniciens sont là  pour leur mettre la pression. Il était inutile, en cette période délicate, d'en rajouter. Les joueurs semblent suffisamment touchés dans les têtes pour ne pas les inhiber davantage. »

l'Alsace

[argueti]

Mdr alsacien2 ... regardez le forum du SO

[Invité]

c'est le risque face a monaco, sa aurait fait:la tout de suite sa fait 375 000 francs, je pense que c'est vraiment po négligeable tu crois po?

comme tu dit on verra face a monaco si le satde est plus remplie..

bon, d'accord avec toi, c'est un risque à  prendre mais j'ai l'impression que toutes les décisions qu'ils prennent m'enervent en ce moment...pas m'en vouloir...je suis qu'humain!!!

[argueti]

Ca assez simple contre Bordeaux, dehors Chapuis et Deroff ...

Dutruel
Lacour-Kanté-Drobny-Ehret
Coco-Pontus-Bassila-Alex
Moulou-Le Pen

[Frantz]

Mouloungui le seul a avoir surnagé dans ce désastre.

[seb]

1/ mouloungui (incontestablement)
2/ bassilia (qui était motivé, et bizzarement, un joueur normalement motivé se retrouve dans le top 3, juste à  la motivation)
3/ dutruel (match sérieux, et comme les autres ne l'ont pas été...)

[alphons]

pour ce nom match........je retirerais a chacun 10.000 euros de leurs salaires........