[03/04] 28ème J: Marseille / RCS - 4/0

L'actualité du Racing en championnat
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argueti
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On refait le match : Marseille - RCS

Message par argueti »

SO :

Les premières minutes du match étaient marseillaises avec Célestini (3e) et Drogba (7e), qui se montraient menaçants devant le but de Vincent Fernandez. Le Racing, sans Mamadou Niang resté sur le banc en raison de douleurs persistantes à  la cuisse, répliquait et faisait même mieux puisque Ulrich Le Pen, l'homme en forme du moment, ouvrait le score (14e). Mais l'arbitre M. Lannoy refusait, injustement, d'accorder le but aux Alsaciens en raison d'un hors-jeu.

Les Marseillais reprenaient leur pressing et allaient voir leurs efforts récompensés lorsque Drogba, bien lancé, était bousculé dans la surface par Fabrice Ehret. Cette action constituait le tournant du match. Le Racing concédait non seulement un penalty, transformé par Drogba, son 17e but cette saison, et perdait aussi son défenseur expulsé sévèrement.

Marseille 4-0 Racing : les réactions

Retrouves les déclarations des deux entraîneurs à  l'issue du match entre l'OM et le Racing.

José Anigo : "Ce sont surtout les trois points qui sont importants, on aurait gagné 1-0, je serais quand même content. On a eu du mal à  entrer dans le match mais les joueurs ont été très professionnels car ils ont laissé beaucoup de force à  Liverpool. Ils ne sont pas plaints et la semaine prochaine avec une rencontre le dimanche va nous faire du bien. Le défenseur empêche Drogba d'aller au but et comme il est en position de dernier défenseur, l'exclusion est logique. Je n'ai pas revu les images mais je pense que Didier n'a pas triché. C'est le règlement, il a été appliqué à  la lettre. Ce soir, la réussite était de notre côté. Strasbourg a laissé des espaces sur le côté et on en a profité. L'objectif n'est pas tellement le classement mais plus le nombre de points. Il faut se rapprocher de Sochaux, on ne veut pas laisser de points à  la maison. Il va falloir rester sérieux jusqu'au bout."

Antoine Kombouaré : "Le but que l'on marque est valable. J'aurai bien voulu voir le match avec le Racing menant au score. Ensuite, il y a penalty et expulsion. On a pris un gros coup sur la tête, tout est devenu plus compliqué. On rentre à  la maison avec ce 4-0, à  nous de bosser et de redresser la tête. Il aurait fallu que l'on soit plus présent dans les duels, plus attentifs, plus concentrés car le penalty résulte d'une erreur d'inattention qui finalement coûte très cher. Marseille a pris sa revanche du match aller. Je leur souhaite de repartir de plus belle. De notre côté, nous devons penser les plaies."

Source : olympiquedemarseille.com
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The_Key_Player
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Message par The_Key_Player »

"Penser les plaies!" :lol:
Si c'est fait exprès la formule est bien trouvée! Je croyais qu'on pansait les plaies moi!
Faire aisément ce qui est difficile aux autres, voilà le talent; faire ce qui est impossible au talent, voilà le génie...
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PoY
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Message par PoY »

Qui a dis que les journalistes étaient forcément intelligent ? :lol:
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Tchoule
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Message par Tchoule »

Les fautes d'orthographe / grammaire n'ont rien a voir avec le fait d'etre intelligent ou non... et je ne pense pas que tu me contredises, surtout vu les 2 belles fautes que tu viens de faire dans le post juste au dessus... :wink: :lol:
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argueti
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Message par argueti »

Finalement en y reflechisant un peu, qu'esy ce qu'on peut dire sur hier soir ...

- Le match a basculé lors de ce but refusé et ce rouge tres severe ...
- Le deuxieme est completement pour notre pomme, c t porte ouverte encore une fois ...
- Les deux derniers viennnent ... du coté gauche, coté de Ehret

Le bouillon était salé

Le Racing a bu la tasse hier à  Marseille. Sa plus sévère défaite de la saison (4-0) le plonge dans des abîmes de perplexité, alors que sa situation au classement ne cesse de se dégrader.

FAUT-IL, cette fois, tirer la sonnette d'alarme? En encaissant hier à  Marseille son plus cuisant échec (4-0) face à  un OM pourtant physiquement entamé par son périple européen de jeudi à  Liverpool (1-1), le Racing a-t-il dépassé la cote d'alerte? Si l'on s'en tient à  son récent bilan chiffré, la réponse est indiscutablement oui. Depuis sa démonstration de l'aller (4-1), il n'a emmagasiné que 15 points en 18 journées. Le tableau est même encore plus détestable en 2004: 6 pts en 9 rencontres. Surtout, son matelas sur la zone de relégation commence à  manquer de ressort et devient de plus en plus inconfortable. Ce matin, le RCS ne possède plus que 7 longueurs d'avance sur le 18e, le voisin lorrain Metz, qui compte un match en retard (à  Guingamp le 16 avril) et chez qui il se rend ce samedi pour un explosif derby. Et on a beau se dire que les Messins balbutient leur football à  Saint-Symphorien (9 points sur 42 en 14 rencontres), quelques gouttes de sueur froide n'en perlent pas moins le long de l'échine.

«Vraiment la guigne»

Pourtant, le Racing n'a pas rendu au Vélodrome une copie aussi pitoyable que ne semble l'indiquer le score. Le drame - car c'en est un pour les Strasbourgeois - s'est en effet noué sur deux coups du sort: l'ouverture du score refusée à  Le Pen pour un hors-jeu de... Chapuis (14e) et le penalty, doublé de l'expulsion d'Ehret, transformé par Drogba à  la 21e (voir ci-dessous). «Je n'ai pas pour habitude de parler de l'arbitrage, commente avec un brin d'ironie un Antoine Kombouaré acide, mais j'avais lu dans le journal "La Provence" du matin que M. Lannoy était le porte-bonheur de l'OM cette saison. Je veux bien le croire. "Lulu" n'était pas hors-jeu sur son but (Ndlr: mais Chapuis l'était et faisait action de jeu). Quant au penalty litigieux, il peut le siffler s'il le veut, mais l'exclusion d'un joueur qui n'avait pas volonté de faire faute était superflue. Le 4-0 est lourd. Notre début de match était plutôt bon, mais nous avons ensuite pris de sacrés coups sur la tronche (sic). Après l'ouverture du score, à  10 contre 11, c'est devenu dur. Nous n'avions pas besoin de ça, d'autant que nous avons montré des lacunes, accumulé les erreurs.» Comme sur le 2e but. L'heureux bénéficiaire Steve Marlet ne s'est sans doute pas encore remis des largesses de la défense bas-rhinoise. Et notamment d'un Yacine Abdessadki pris de court. «Nous étions venus ici sans appréhension, rappelle le jeune milieu de terrain, nous voulions poser notre jeu et nous l'avons plutôt bien fait en début de partie. Après le but refusé à  "Lulu", le penalty litigieux nous a mis un coup au moral. Sur le 2e but, nous nous sommes dit que nous avions vraiment la guigne. Au départ, Marlet veut alerter Meriem. Mais il réussit un petit pont involontaire sur Vava (Drobny) qui dévie le ballon. Ce ballon file dans mon dos alors que je suis à  l'interception sur la passe. Je suis surpris, Marlet l'est aussi. D'ailleurs, sa frappe n'est pas pure et c'est sans doute ce qui trompe Vincent (Fernandez, qui laisse passer le ballon sous son ventre). Un gros coup de chance pour Marlet, la poisse pour nous. Le score est lourd. Nous allons essayer de l'oublier, mais nous allons aussi nous dire les choses en face. Nous continuons à  ne pas trop regarder vers le bas pour ne pas nous mettre trop de pression. Mais j'admets que le derby à  Metz sera un tournant.» Antoine Kombouaré répète, lui, qu'il a toujours considéré la saison comme «très dure», que son équipe «a du mal à  engranger les points depuis la trêve hivernale» et que «seul l'avenir dira si elle a la capacité à  relever la tête.» Un avenir immédiat en fait, avec ce derby à  6 points programmé à  Metz samedi. S'il veut éviter de couler dans les bas-fonds du classement, le Racing, désormais 14e, doit impérativement redresser la barre.

l'Alsace

Ils ont rendu la valise

Pontus Farnerud a beau tacler Johansen, c'est le Racing qui se retrouve à  terre. (Photo AFP)

Le 17 octobre dernier, le Racing alors euphorique passait quatre buts à  l'OM plongeant les Marseillais dans la tourmente. Au Vélodrome, les Marseillais leur ont rendu la pareille. Les Strasbourgeois qui, avec la victoire de Toulouse hier, pourraient commencer à  faire quelques cauchemars avant un match importantissime à  Metz.

On appelle ça une déculottée. Ou boire la tasse. Ou encore prendre un bouillon, une bouillabaisse plutôt vu l'endroit. Le Racing n'aura existé que 21 minutes. 21 minutes à  faire face, à  contrecarrer le trop-plein d'agressivité des Marseillais. A marquer même un but, refusé pour un hors-jeu de position de Cyril Chapuis pour une fois pas transparent.
Et puis, sur cette longue balle de Mathieu Flamini, Fabrice Ehret vient tacler et percuter Didier Drogba. Penalty et expulsion, logique pour les textes, mais forcément contestable dans l'esprit. « C'est la première fois que je vais parler de l'arbitre, s'exclamera Antoine Kombouaré. Qu'il siffle penalty, s'il le veut, OK. Mais l'expulsion de Fabrice me semble injuste. D'autant que, pour moi, le but qu'on nous refuse est valable. »

Une expulsion qui change tout

Et cette expulsion, presque plus que le penalty transformé, a été le tournant du match. « On était bien entré dans ce match, raconte Yacine Abdessadki. Mais ce penalty et cette expulsion nous ont mis un gros coup sur la tête. Et puis, il était dit qu'on aurait la poisse ce soir. »
Sans franchement souffrir, et céder trop d'occasions aux Olympiens, les Strasbourgeois vont craquer une nouvelle fois, sur un nouveau but-gag. « En fait, Marlet veut passer le ballon à  Meriem et j'anticipe, reprend Yacine Abdessadki. Drobny prend un petit pont, mais le ballon touche sa cheville. Je suis pris à  contre-pied et Marlet, surpris lui-même, récupère le ballon et frappe. »

« Des coups sur la tronche »

Et le ballon, lui, seul à  ne pas se poser de questions, passera sous le corps de Vincent Fernandez et terminera sa course au ralenti au fond des filets strasbourgeois.
Le match est désormais plié, seulement 39 minutes après sa création, et le Racing est incapable de réagir à  dix contre onze. L'OM peut alors dérouler, et José Anigo faire tourner son effectif. « Ce n'est pas faute d'avoir essayé. Mais nous restons trop frileux, trop craintifs. Nous avons pris de sacrés coups sur la tronche », argumente Antoine Kombouaré. Les Marseillais, presque tranquillement, ajouteront deux buts à  leur collection. Ce qui ne leur était plus arrivé depuis le 13 septembre et une victoire sur Le Mans (5-0).

« On va savoir »

Et on aura beau penser et estimer que ce score est sévère - « il est beaucoup trop lourd », consent Yacine Abdessadki -, cette nouvelle défaite plonge un peu plus le Racing dans le doute. « N'y pensons pas. Ne regardons pas trop derrière sous peine de se mettre trop de pression, poursuit le milieu de terrain strasbourgeois. Essayons de bien dormir, même si ce sera difficile. Disons-nous ce que nous avons à  nous dire ce mardi. »
Ce matin, le Racing retourne au travail. Bleu de chauffe obligatoire. Et défaite interdite à  Metz, qui compte toujours un match de retard à  Guingamp, ce samedi. « On va savoir si on aura les arguments pour relever la tête », termine Antoine Kombouaré.

Défaite interdite à  Metz

Pour rappel (douloureux), ses joueurs n'ont pris que quinze points sur leurs dix-huit derniers matches. Et n'en n'ont plus que sept d'avance sur leur prochain adversaire.
Et ils doivent se relever de la valise pleine rapportée de Marseille. « Non, non, on leur a refilé la valise qu'ils nous avaient mise au match aller, sourira Brahim Hemdani. La boucle est bouclée », Pour Marseille, elle l'est. Pour le Racing, le plus dur commence ou continue...

DNA
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argueti
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Message par argueti »

En pleine bouillabaisse

Le sort de ce Marseille - Strasbourg s'est-il noué à  la 21e minute? On ne le saura sans doute jamais, mais une chose est sûre: la physionomie de la rencontre aurait été tout autre sans le double événement de cette minute-là . Au départ, une ouverture de Flamini pour Drogba, suivie d'un contrôle orienté de l'Ivoirien en pleine course. Un peu court, Fabrice Ehret se jette pour tenter lui chiper le ballon d'un tacle glissé, sans volonté de le descendre en pleine surface de réparation. Penalty? L'action sur le vif suggère un non catégorique. Les ralentis télé tendront à  prouver que oui. M. Lannoy, qui a offert un arbitrage de calibre "international" depuis le coup d'envoi, désigne illico le point fatidique et aggrave la sanction, déjà  rude, d'un carton rouge pour le Haut-Rhinois, déjà  expulsé à  Lyon et automatiquement suspendu à  Metz samedi. On eût aimé que l'arbitre se montrât aussi empressé à  sanctionner d'un rouge un attentat de Sommeil, seulement averti, sur Pontus Farnerud (18e) et qu'il n'oubliât pas de siffler deux fautes, pourtant évidentes, sur son frère Alexander. En convertissant le penalty, Didier Drogba, poison permanent durant ses 45' de présence (il sortira à  la mi-temps sur une blessure aux adducteurs), enterre précocement les espoirs bas-rhinois. Car à  0-1 à  10 contre 11, la mission strasbourgeoise devient impossible. La pilule est d'autant plus difficile à  avaler pour le Racing que le sort s'est déjà  acharné contre lui. Ainsi Antoine Kombouaré a-t-il préféré laisser Mamadou Niang sur le banc de touche, de peur d'aggraver la douleur à  l'adducteur droit qui tenaille le Sénégalais. Il s'est gardé le droit de l'utiliser comme joker. Il n'en usera jamais, l'OM pliant l'affaire juste après le repos. Ainsi l'invisible Chapuis a-t-il réussi le petit "exploit" de gâcher une occasion en or sans même avoir touché le ballon. A la 14e, les Strasbourgeois ont récupéré un ballon de contre conduit par Camadini et négocient un 3 contre 2 avec Le Pen et Chapuis. Le Corse du RCS opte pour le Breton, esseulé côté gauche, et "Lulu" Le Pen fait mouche pour la 9e fois. Du moins va-t-il le croire une fraction de seconde. Car Chapuis, au lieu de s'excentrer sur le flanc droit, a croisé sa course et s'est mis dans une position de hors-jeu logiquement signalée par l'arbitre assistant. Camadini lui en fera d'ailleurs vertement le reproche. Ce qui n'empêchera pas le dernier venu du Racing de passer le plus clair de son temps en position illicite. Incompréhensible et hautement préjudiciable.

«Hemdani: l'affront est lavé»

Bref, d'un 1-0 potentiel, Strasbourg se retrouve mené 0-1 et réduit à  10. Et comme si ça ne suffisait pas, il va concéder un second but gag à  la 39e, raconté ci-dessus par Yacine Abdessadki et que l'indulgence impose de ne pas avoir la cruauté de détailler ici une nouvelle fois par le menu. Le Racing peut remballer les gaules: ce n'est pas ce dimanche que sa pêche aux points sera fructueuse. D'autant que sitôt la reprise, Ferreira, parfaitement décalé par Meriem, ajoute un 3e but d'une frappe croisée du droit sans rémission pour Fernandez (47e). La 2e mi-temps se résumera ensuite à  un pensum sans grand intérêt, seulement éclairé par un second but du Brésilien de l'OM dans les arrêts de jeu. «L'affront du match aller (1-4) est lavé, pourra se réjouir le capitaine olympien (et ex-Racingman) Brahim Hemdani. Après la valise rapportée de la Meinau, c'est bien de finir notre belle semaine par un succès enfin large au Vélodrome.»

l'Alsace
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Maneo
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Message par Maneo »

Marseille ou plutôt Anigo a créé une équipe qui provoque la chance par des fautes répétées, de l'antijeu et du cinéma ! Maintenant pour le racing çà  devient compliqué, la zone rouge se rapproche chaque journée ...
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Frantz
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Message par Frantz »

La question que je me pose, c'est pourquoi Niang n'a pas joué :?:
Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
http://rernes.free.fr/
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Seb T.
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Message par Seb T. »

Problèmes d'adducteurs... :wink:
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
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Message par argueti »

Maneo a écrit :Marseille ou plutôt Anigo a créé une équipe qui provoque la chance par des fautes répétées, de l'antijeu et du cinéma ! Maintenant pour le racing çà  devient compliqué, la zone rouge se rapproche chaque journée ...
Dommage Ravanelli joue plus la-bas :roll: :lol:
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Verrouillé