[17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice - 1/1

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Gotcha
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Re: [17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice le 28/04 à 20h

Message par Gotcha »

sur les 2 derniers matchs (perdus), on ne balançait plus de longs ballons devant.
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Kaniber
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Re: [17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice le 28/04 à 20h

Message par Kaniber »

FM17 a écrit : Si seulement Metz pouvait nous aider ;)
D'abord c'est Metz on Tenc---- et après on vient les supplier qu'il nous aide. :mrgreen:
Stan
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Re: [17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice le 28/04 à 20h

Message par Stan »

La victoire de Metz nous arrangerait clairement.
Matt67
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Re: [17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice le 28/04 à 20h

Message par Matt67 »

Je pense que dans l état d esprit Metz à clairement plus de chance de l emporter que Lille.
C est le match de la peur pour les 2 équipes. Tant qu à faire, je serais supporter lorrain pour une fois, moi le mosellan !!!!! ;)
Avec le temps les gens changent.....Certains murissent et d'autres pourrissent.
pekser
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Re: [17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice le 28/04 à 20h

Message par pekser »

Je crois Metz mieux armé que Lille pour cette rencontre. Les messins ne joueront pas pour faire plaisir aux strasbourgeois, ils ont encore une chance de s'en sortir ne serait-ce qu'au moyen des barrages. Contre Nice il s'agira de gagner tout simplement et ne pas tenir compte des poursuivants. Keller élève le ton dans les medias, je suppose qu'il n'a pas attendu ce moment pour le faire.
Samedi il s'agira ( je sais j'enfonce des portes ouvertes ) de jouer une " finale " contre une équipe supérieure certes mais pas imbattable. On peut toujours penser que des Kamara ou Saadi feraient du bien et devraient être titularisés, ce n'est pas mon avis.
Quoi qu'on dise Oukidja n'a pas été le plus mauvais joueur à Amiens et Bahoken n'a pas forcément démérité. Laurey ne va pas à quatre journées de la fin tenter une formule qui n'a jamais marché. Je préfèrerais de loin voir Blayac associé à Bahoken d'entrée de jeu et Seka replacé à gauche ( N'Dour n'a pas le niveau ) avec le retour de Martinez.
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Roswell Man
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Re: [17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice le 28/04 à 20h

Message par Roswell Man »

Stan a écrit :La victoire de Metz nous arrangerait clairement.
Un match nul encore plus.
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Kaniber
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Re: [17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice le 28/04 à 20h

Message par Kaniber »

dna a écrit :À l’assaut de la maison
Enfant de l’OGC Nice, Stéphane Bahoken, le meilleur buteur du Racing cette saison, s’apprête à vivre un match pas comme les autres. Mais il n’a qu’une idée en tête, confirmer sa belle redécouverte de la L1.
Il a tourné la page mais il ne renie rien non plus. Dans sa quatrième saison sous le maillot bleu, Stéphane Bahoken garde en mémoire ses premiers pas de footballeur.

Si c’est en Alsace qu’il aura pris définitivement son envol, qu’il sera devenu un acteur de l’élite hexagonale, qu’il aura suscité l’intérêt de la sélection camerounaise et connu ses premières capes internationales, tout a débuté près de 800 kilomètres au sud.

« J’ai rejoint le club de Nice à l’âge de 13 ans, j’ai été formé là-bas, j’ai grandi là-bas, j’ai mes parents qui vivent là-bas, c’est ma maison », souligne l’attaquant strasbourgeois.

À l’ombre de la Meinau, il n’est pas loin de s’être construit une jolie résidence secondaire. Car il laisse depuis l’été 2014 une belle empreinte, attaquant décisif pour réinstaller le Racing dans le foot pro puis en Ligue 1. Le joueur de 25 ans séduit, au point d’avoir inspiré un chant à sa gloire, entonné par les supporters quand le Lion indomptable est mordant.
« Je n’avais pas la confiance du coach, tout simplement »

Pas toujours la priorité de l’entraîneur en début de saison, Stéphane Bahoken force le passage tout en puissance, parfois par la fenêtre. Préposé aux bancs de touche jusqu’en novembre – une seule titularisation en championnat, face à Rennes jusqu’en décembre –, il a fait le dos rond et attendu son heure.

« Je n’avais pas la confiance du coach, tout simplement, souligne-t-il. Au match aller, à Nice, je suis d’ailleurs resté sur le banc ( le 22 octobre pour une victoire strasbourgeoise ). Ce n’était pas évident. Mais je me suis concentré sur moi, sachant que dans une saison les attaquants connaissent tous des méformes, à part Messi et Ronaldo… »

Le natif de Grasse a inversé la tendance, le Racing a été trois fois victorieux en Ligue 1 lors des trois premières titularisations du garçon. L’ancien international espoir est passé du statut de porte-bonheur à quasi indéboulonnable.

« C’est une spirale positive, explique-t-il. Tu joues plus, tu as plus confiance, tu joues mieux et tu continues de jouer. Pour l’instant, avec six buts, ma première saison en Ligue 1 n’est pas trop mal. » Il se place au premier rang des buteurs strasbourgeois mais la période lui laisse une pointe d’amertume au fond de la bouche.

Le Racing n’a pas gagné depuis neuf matches, a souvent perdu – cinq défaites – et, à moins d’un mois du bilan définitif, sa situation est incertaine. « Dans l’ensemble, on ne réalise pas des matches trop dégueulasses, constate-t-il. Si à Amiens, on a fait un non-match, on n’a pas eu de réussite face à Saint-Étienne, Metz ou Toulouse. En fait, on a tendance à se mettre au niveau de l’adversaire. Et notre principal problème, c’est qu’on prend trop de buts. »

Il n’est pas question de pointer du doigt un secteur particulier. Stéphane Bahoken se considère comme le premier défenseur de son équipe. « Des occasions, on en a à chaque fois, relève celui qui a manqué l’égalisation d’un rien, à la Licorne, à la faveur d’une tête passée juste à côté du cadre. Alors si on parvient à ne pas prendre de but… »
« Muscler notre jeu »

L’objectif du Franco-Camerounais serait rempli. En décrochant la montée avec le Racing, il voulait renouer avec une élite perdue de vue depuis 2013 et ses derniers feux niçois. Le voilà avec l’obsession d’y rester. En fin de contrat en juin, il trouvera assurément quelques membres du top-20 français prêts à l’accueillir. Il aura quelques semaines pour songer à la suite.

« Je ne pense pas à ça, garantit-il. Je suis seulement concentré sur le maintien du club avec lequel je suis monté. Et où je pourrais d’ailleurs rester. Tout ce qui m’importe, c’est ce match de Nice. » Observateur de toutes les sorties du club azuréen, l’attaquant décèle dans l’échéance à venir des raisons d’espérer.

Il connaît du monde dans le camp d’en face, notamment dans le staff, il sait les qualités et les défauts auxquels le Racing sera confronté.

« Nice est une équipe joueuse, qui n’a pas peur de partir de derrière, qui n’aime pas quand on la presse, conclut-il. On devra muscler notre jeu, être à fond pendant 93 ou 94 minutes pour la contrarier. » Visiblement, pour ce qui serait son 130e match officiel en Bleu, Bahoken a la plus grande envie de mettre le feu dans sa maison.
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Kaniber
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Re: [17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice le 28/04 à 20h

Message par Kaniber »

dna a écrit :« Ça n’a pas été anodin »
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Julien Fournier a été un météorique président du Racing. En tant que dirigeant, il a la possibilité d’exprimer ses qualités de bâtisseur, à Nice, depuis près de sept ans.

Le directeur général de l’OGC Nice et ex-président du Racing Julien Fournier reviendra demain pour la première fois à la Meinau. Pour pénible et brève qu’elle ait été, son expérience strasbourgeoise fin 2009-début 2010 occupe une place à part dans son cursus.

Sa présentation en conférence de presse est restée mythique. Le 4 décembre 2009, Julien Fournier débarque au salon des présidents de la Meinau en figure de proue du projet porté par le nouveau propriétaire du Racing à qui le désormais ex-actionnaire majoritaire, Philippe Ginestet, a refourgué un bébé à la santé chancelante.

Dès les premières secondes, le 22e président du club bas-rhinois se laisse aller à une confidence assez surréaliste qui laisse son auditoire pantois et sans voix.
« En m’associant à un projet aussi flou, j’ai commis une erreur de jeunesse »


Il croyait avoir été engagé par un investisseur estonien, l’invisible Roman Loban, mais travaille en réalité pour un certain « Monsieur Jafar » dont il ignore tout, jusqu’à son nom, sauf l’existence qu’il n’a apprise que quelques instants plus tôt.

Cette tartufferie, la première sous l’ère Jafar Hilali qui conduira le Racing à la liquidation judiciaire le 22 août 2011, Julien Fournier, conscient d’être tombé dans un traquenard, va vite y mettre fin.

Douze jours plus tard, l’ancien bras droit de Pape Diouf à l’OM se désolidarise de ses nouveaux employeurs. Il est évincé durant un mois. Mais pour épauler des salariés déboussolés qui l’ont prié de ne pas les laisser tomber, il revient quelque temps, avant de céder définitivement son fauteuil à Luc Dayan, futur CDD de très courte durée, comme tant d’autres.

Huit ans plus tard, le directeur général de l’OGC Nice depuis juillet 2011 se prépare à retrouver la Meinau à l’occasion du Racing – “Gym” de la 35e journée de Ligue 1. Avec une joie non feinte, illustrée par cette boutade lancée en préambule à l’autre bout du fil. « Ça fait plaisir de vous entendre, mais ça ne nous rajeunit pas ( rires ). »

Pour cruelle et brève qu’elle ait été, son expérience strasbourgeoise l’a en effet marqué. « Que les choses soient claires !, précise-t-il d’emblée. Je ne garde aucun bon souvenir des Jafar et consorts dont je n’ai plus jamais eu de nouvelles. Ah si, une fois ! Un jour, Christophe Cornélie ( l’ex-directeur général de Hilali ) m’a appelé pour me demander des conseils : il voulait se lancer comme agent et même me proposer des joueurs. Les bras m’en sont tombés. Pardonnez l’expression, mais il y a des gens qui ont le c… à la place du visage ! »

Près d’une décennie plus tard, le dirigeant azuréen s’interroge encore sur les motivations de Hilali et compagnie.

« Je n’ai toujours pas compris leur stratégie. Gérer un club de foot, c’est un métier, ça ne s’improvise pas. »

Il n’en dira pas plus sur son météorique – d’aucuns diront satellisé – ex-boss. Il préfère parler de son retour à la Meinau. « C’est la première fois que je reviens et j’en suis vraiment heureux. Les années passant, j’ai pris du recul. J’arrive à sourire des bouffonneries à l’époque, surtout maintenant que le Racing s’en est relevé. Mais je n’oublie évidemment pas que la liquidation a laissé les salariés sur le bord du chemin. »

À commencer par lui-même, même s’il a la pudeur de n’en point parler. Aujourd’hui, il dirige, avec le président Jean-Pierre Rivère, des Aiglons qu’il a propulsés dans une nouvelle dimension et qui se déplacent à la Meinau pour y conforter leur cinquième place, qualificative pour la Ligue Europa. « Naïvement, j’étais venu à Strasbourg avec la même ambition. Mais en m’associant à un projet aussi flou, j’ai commis une erreur de jeunesse. »

Pour autant, il ne renie rien. « Souvent, les gens du foot me disent : « On ne va pas te parler de Strasbourg. » Mais si, au contraire. Je ne ressens aucune honte. Le Racing n’a représenté qu’une petite partie de ma vie, mais cette dernière n’a pas été anodine. Ça reste un super souvenir et ce ne sont pas des mots de circonstances. Pourtant, dans l’exercice de mon métier, j’y ai vécu l’enfer. Mais j’ai été touché par l’attachement au club des employés, de la population et des supporters avec qui j’ai noué de bons contacts. »
« Marc Keller a abattu un travail magnifique »


Aussi, avant un match « au moins aussi important pour Strasbourg, qui joue son maintien, que pour nous qui visons l’Europe », le directeur général du Gym se réjouit-il de la résurrection du Phénix bas-rhinois.

Une renaissance qu’il attribue au président Marc Keller. « Je suis proche de Marc depuis l’époque où il était à Monaco ( ndlr : et lui à Marseille ). Je ne le dis pas parce que c’est un ami, mais il a abattu un travail magnifique. Il est toujours bon qu’un ancien joueur, du cru de surcroît, ait ces fonctions et cette réussite à la tête de son club de toujours. Avec lui, le Racing est entre de bonnes mains. »

Des mains qui auraient pu être les siennes s’il ne s’était laissé berner fin 2009 par le miroir aux alouettes tenu par quelque(s) farfelu(s).
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Re: [17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice le 28/04 à 20h

Message par FM17 »

Plea mais aussi Lee melou absents. Une défense niçoise régulièrement mise à mal. Je vois une victoire du Racing (cote 3.2 pour les parieurs)
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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Re: [17/18] 35ème J : Strasbourg / Nice le 28/04 à 20h

Message par Alkand »

Il est possible par contre que Cyprien revienne contre le Racing. C'est sûr qu'il manque de rythme mais s'il rentre en fin de match il peut faire très mal.
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