[16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse - 2/1

L'actualité du Racing en championnat
Verrouillé
Avatar du membre
D520
Trésorier@Directoire
Trésorier@Directoire
Messages : 6841
Enregistré le : 20 févr. 2005 0:00
Localisation : Gingsheim

Re: [16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse 19/05 à 20h

Message par D520 »

superbe article de Ouest France sur le racing !!!

http://www.ouest-france.fr/sport/footba ... ur-4986522
télésupporteur
Manager général@Directoire
Manager général@Directoire
Messages : 13645
Enregistré le : 3 juin 2004 13:56
Localisation : Mont-de-Marsan - Landes

Re: [16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse 19/05 à 20h

Message par télésupporteur »

FM17 a écrit :
Gotcha a écrit :ambiance pas survoltée comme sur d'autres matchs de la saison, mais on s'en branle, sur le match, on a été très moyens, mais on s'en branle
Monsieur se fait plaisir... :lol:
en attendant son pessimisme légendaire qui pourra s'exprimer l'année prochaine :oops:
Avatar du membre
Gotcha
Manager général@Directoire
Manager général@Directoire
Messages : 12942
Enregistré le : 17 juin 2004 13:10
Localisation : Knackiland, Oberhausbergen
Contact :

Re: [16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse 19/05 à 20h

Message par Gotcha »

:lol:

Je ne pense pas avoir sous-estimé l'équipe.... Je pense toujours qu'à part boutaib, et éventuellement les coups de pieds arrêtés de Liénard, aucun n'a le niveau L1
mais par contre j'ai sur-estimé les autres équipes de L2.... au final on est champions avec l'un des plus faibles total de points pour un champion. Et voir 2 promus finir aux 2 premières places, c'est inédit. Cette L2 était extrêmement faible cette année et on en a bien profité, tant mieux.
par contre je crois que les 3 ou 4 derniers champions de L2 sont systématiquement redescendus la saison d'après... :?
alphons
Responsable marketing @Directoire
Responsable marketing @Directoire
Messages : 4540
Enregistré le : 10 juin 2003 16:41
Localisation : WIEN

Re: [16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse 19/05 à 20h

Message par alphons »

Je ne pense pas avoir sous-estimé l'équipe.... Je pense toujours qu'à part boutaib, et éventuellement les coups de pieds arrêtés de Liénard, aucun n'a le niveau L1
dans une equipe de L1 de 2eme partie de tableau:

boutaib -> le seul à pouvoir avoir une place de titulaire.....

goncalves seka lienard Bahoken partirai pour moi en tant que remplacant

Il ne faut pas oublier que en L1 tu ne recherches pas du tout le meme profil de joueur. L1 =Grand, rapide & technique
mais par contre j'ai sur-estimé les autres équipes de L2.... au final on est champions avec l'un des plus faibles total de points pour un champion. Et voir 2 promus finir aux 2 premières places, c'est inédit. Cette L2 était extrêmement faible cette année et on en a bien profité, tant mieux.
Le racing monte en L1 grace au systeme de jeu offensif en losange et grace à l'efficacité offensive de nos attaquants. Si reims et lens ne montent c'est parceque leurs attaquants n'etaient pas assez performant. Brest qui n'avait que 14 joueurs sous contrat en juillet a fait une tres bonne saison, leur point faible a été leur gardien. Concernant Amiens ils peuvent remercier Kamara et Gurtner.....

Code : Tout sélectionner

La L1 j y crois encore
On est en L1 ...on est en L1 ....lalalallalalalalalalallaalaaaaaa
Avatar du membre
Kaniber
Président@Directoire
Président@Directoire
Messages : 23620
Enregistré le : 8 févr. 2012 14:18
Localisation : Dorlisheim

Re: [16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse 19/05 à 20h

Message par Kaniber »

dna a écrit :Que du bonheur
Image
Moment de communion et de partage pour les joueurs du Racing, hier sur le podium de la place Kléber.
Plus qu’un match, la victoire face à Bourg-en-Bresse donne lieu depuis vendredi à des scènes qui ne laissent guère la place au doute. Il y a de la joie dans les cœurs des suiveurs du Racing.
Les footballeurs sont souvent des grands superstitieux. Il a néanmoins fallu se forcer un peu avant le dernier match de la saison, à la Meinau. Il n’était absolument pas question de s’épancher sur les préparatifs de la fête attendue en cas de montée. Mais il a tout de même fallu prendre quelques dispositions au cas où, enfin, la roue tourne dans le bon sens. Le Racing et tous ses suiveurs étaient en position de force pour mettre fin à une parenthèse de neuf ans loin de l’élite face à Bourg-en-Bresse.

Encore fallait-il gagner et cela n’a rien eu d’une évidence, le visiteur de l’Ain ayant maintenu le suspense jusqu’au bout, surtout dans le dernier quart d’heure. L’arbitre, M. Lesage, a eu le bon goût de ne pas faire trop durer les arrêts de jeu.

Son ultime coup de sifflet a sonné la récréation, comme la sonnerie de l’école avant les grandes vacances. Les joueurs sont tombés dans les bras les uns des autres, Jérémy Grimm, l’Alsacien de la bande, en a profité pour demander sa compagne en mariage, un message limpide apparaissant sur son t-shirt porté sous le maillot. La sono assourdissante a un peu plombé l’ambiance mais le bonheur d’avoir réussi une entreprise encore inenvisageable il y a un an se lisait sur tous les visages.
« La plupart sont redescendus l’année d’après »

Après le feu d’artifice, les supporters ont déboulé sur le terrain de jeu de leurs favoris, la remise du trophée a matérialisé une conquête, le troisième titre de champion de Ligue 2 dans l’histoire du club (après 1977 et 1988). Le lourd plateau reste un bon moment dans les bras de l’entraîneur, Thierry Laurey, qui y attache une importance particulière (lire en page suivante). Il n’est pas question pour le coach d’y poser sa prochaine tarte flambée. Mais le patron du staff technique victorieux a déjà le regard porté sur le coup d’après. « Regardez, la plupart des champions sont redescendus l’année d’après et Nancy est en galère, note-t-il en pointant du doigt la liste des lauréats du passé inscrits sur le petit trésor doré. On sait ce qui nous attend. »

À moyen terme, à partir du 5 août et la première journée de L1, il y aura quelques galères. D’ici là, il y a tout de même quelques ripailles auxquelles se consacrer. Les joueurs semblent aussi fourbus qu’heureux, torse nu pour la plupart. Ils ont fait la tournée de tous les amoureux du club rassemblés, ils ont répété leur bonheur devant les caméras, les micros, les calepins.

Certains traînent encore autour du stade, passé minuit, alors qu’un début d’incendie sur le toit, tribune ouest, a nécessité l’intervention des pompiers. C’est à la Salamandre, un bar de la Krutenau, que la sarabande se prolonge. Pendant plus de six heures, jusqu’au petit jour, il n’est plus question de se polluer l’esprit de ballons, d’adversaires et d’enjeux sportifs.

Jérémy Blayac et ses coéquipiers peuvent se lâcher et « cela fait du bien » à les écouter. Les voix sont cassées au réveil et même dans le vestiaire, hier matin, où Thierry Laurey, l’entraîneur, se voit contraint de pousser la chansonnette devant les joueurs. Le week-end se poursuit en mode collectif car, après tout, ce n’est pas non plus tous les ans qu’un club accède à la Ligue 1.

Les Bleus et leur entourage enchaînent les mondanités au centre-ville, dans l’après-midi. Ils sont attendus de pied ferme. La preuve ? Les exemplaires de L’Équipe se sont arrachés avant midi dans tous les kiosques de Strasbourg.

Quand ils arrivent dans la cour de l’hôtel de ville, les héros commencent à être un peu fatigués. Nombre d’entre eux gardent leurs lunettes de soleil. On imagine pourquoi. Les yeux sont moins pétillants que quelques boissons en vogue lors de la troisième mi-temps. La grande famille du club est réunie autour des élus municipaux qui n’ont pas été pour rien dans la renaissance du mort-vivant de 2011.

La Meinau, propriété de la Municipalité, a contribué à quelques victoires, jusqu’à la dernière en date, si savoureuse. « C’est un événement que l’on attendait depuis six ans et la descente en CFA2 et même neuf ans, lors de la dernière descente en Ligue 2, s’exclame Roland Ries, le maire strasbourgeois. Avec Robert Herrmann (président de l’Eurométropole) , on a passé l’âge de marquer des buts. Mais on continuera à vous soutenir financièrement. » Il le faudra car la lutte pour rester parmi les vingt meilleurs sera assurément acharnée et exige quelques moyens (voir ci-contre).
« Apaisé à l’intérieur comme à l’extérieur »

« On ne va pas gagner tous les matches, indique Marc Keller. Mais le club est apaisé à l’intérieur comme à l’extérieur. On marche droit. Et on a pu constater qu’on n’est pas obligé de jouer la coupe d’Europe pour remplir la Meinau. » Il n’y a sans doute jamais eu autant de liesse autour du Racing depuis la remontée de 1992.

Et les supporters ont pu en faire une nouvelle démonstration, non loin de là. Sur la place Kléber, le club et la Ville avaient organisé une nouvelle occasion d’entrer en communion. Les grilles de la Fan Zone n’étaient pas ouvertes et les joueurs ne devaient pas apparaître sur le podium installé moins de trois heures après qu’ils sont déjà quelques dizaines agrippés aux grilles. L’inoxydable Manolo est là. « Oui, toujours là, sourit-il, la mine témoignant d’un sommeil allégé. On n’a pas beaucoup dormi mais qu’est-ce que c’est bon ! »

Et ils sont environ 6 000, au pied de l’Aubette, à accueillir les grands Bleus. Ils ont eu le temps de s’échauffer. En accumulant le temps partagé, c’est comme s’il voulait que le week-end dure à jamais.
Avatar du membre
Kaniber
Président@Directoire
Président@Directoire
Messages : 23620
Enregistré le : 8 févr. 2012 14:18
Localisation : Dorlisheim

Re: [16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse - 2/1

Message par Kaniber »

dna a écrit :Capitaliser sur la confiance retrouvée
De mémoire de suiveurs, cela fait belle lurette que le Racing n’avait pas suscité un tel élan de sympathie à travers la région et réuni autant de monde autour de ses héros.

Les barrages homériques de 1992, quand Stephen Keshi et les siens avaient battu Rennes, restent la référence ultime d’une génération devenue aujourd’hui quadragénaire. Quant aux sexagénaires, ils parlent encore avec passion et nostalgie du titre de 1979 – le seul à ce jour dans l’élite –, empoché par la bande à Gilbert Gress du côté de Lyon, le retour à Strasbourg étant digne d’une tournée des Beatles.

Si les trophées glanés, entre-temps, par les Bleu et Blanc – Coupe de France 2001, coupes de la Ligue 1997 et 2005 – ont permis d’étoffer le palmarès du club centenaire, ceux-ci n’ont plus jamais soulevé l’enthousiasme des foules de manière aussi ardente. C’est que sous chaque exploit sourdaient déjà une pousse de convoitise, une pointe amère de jalousie, une tige de ressentiment qui débouchaient invariablement sur un sacré foutoir et une violente implosion. La pire d’entre elle a conduit au dépôt de bilan, voilà six ans.

Paradoxalement, c’est au moment où Marc Keller et ses amis, étroitement soutenus par les collectivités, ont « racheté un club dans la nuit », comme le dit joliment le président, que la plus belle lueur d’espoir a éclairé la Meinau.

Son intensité était alors encore faible, son éclat timide. Mais de voyages initiatiques du côté de Chaumont ou de Jarville, en passant par d’âpres batailles menées contre Mulhouse et Colmar, jusqu’aux coups d’éclat réalisés à Épinal ou Belfort, la flamme s’est remise à crépiter, chaque jour un peu plus fort.

Depuis vendredi soir et le succès contre Bourg-en-Bresse (2-1), c’est un volcan qui est entré en éruption. Le vent de folie qui a parcouru la ville dans la nuit s’est engouffré sur la place Kléber hier après-midi, où plusieurs milliers de fans conquis sont venus fêter les hommes de Thierry Laurey. Humble et lucide face à la foule, il a tenté de tempérer les ardeurs, rappelant invariablement que « le plus dur est à venir ».

Au moins le technicien peut-il s’appuyer sur un « club apaisé, sain financièrement », aux dires du président Keller. Pour avoir lui même vécu de l’intérieur l’amorce de la grande dégringolade, en 2006, il sait que « sa petite start-up qui remonte » n’est pas à l’abri des secousses. Les traverser sans sombrer dans la crise sera son plus grand défi dans les mois à venir.

Porté par l’impulsion populaire d’une nouvelle génération, celle qui est née dans la ferveur du 19 mai 2017, le Racing doit apprendre à capitaliser sur cette confiance retrouvée. En ces heures de grande liesse, et malgré les difficultés, on a envie de croire que le meilleur est à venir.
Alkand
Entraineur@Staff
Entraineur@Staff
Messages : 2894
Enregistré le : 12 juil. 2008 16:39
Localisation : Saint Herblain - 44

Re: [16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse - 2/1

Message par Alkand »

D520 a écrit :par contre, le racing peut, et doit enlever les sièges dans cette zone au plus vite, l'an prochain, ils ne serviront pas non plus. et debout sur les sièges, c'est inconfortable
Le problème c'est qu'aujourd'hui les tribunes debout sont interdites.
Avatar du membre
D520
Trésorier@Directoire
Trésorier@Directoire
Messages : 6841
Enregistré le : 20 févr. 2005 0:00
Localisation : Gingsheim

Re: [16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse - 2/1

Message par D520 »

c'est complètement idiot. :pan:
ubu roi !!!

ne me parler pas de confort dans les stades ou de sécurité lorsque tu dois rester debout sur un siège en plastique.

complètement hypocrite !!!!
Dropsy
Entraineur@Staff
Entraineur@Staff
Messages : 2633
Enregistré le : 16 juin 2005 8:46
Localisation : Strasbourg

Re: [16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse - 2/1

Message par Dropsy »

En fait la LFP prévoit de rajouter des ceintures de sécurité aux sièges dans les stades de foot.
Avatar du membre
lolo
Manager général@Directoire
Manager général@Directoire
Messages : 11107
Enregistré le : 5 janv. 2003 13:32
Localisation : Montbéliard

Re: [16/17] 38ème J:Strasbourg / Bourg en Bresse - 2/1

Message par lolo »

D520 a écrit :c'est complètement idiot. :pan:
ubu roi !!!

ne me parler pas de confort dans les stades ou de sécurité lorsque tu dois rester debout sur un siège en plastique.

complètement hypocrite !!!!
Eh ouais... mais en théorie, et toujours selon les mêmes règlements, il est obligatoire de s'asseoir... (véridique) :emu:
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
Verrouillé